samedi 27 mars 2010

Votre version de la semaine : pour le 2 avril

El rugido de un motor me devolvió a la realidad. Hoy era el primer día de clase, último curso por fin. Estaba preparándome en mi pequeña habitación, inmersa en mis pensamientos, cuando aquel sonido ensordecedor me sobresaltó. Corrí a la ventana de mi cuarto intentando vislumbrar quién había provocado semejante escándalo. Una moto de gran cilindrada, de un rojo intenso como sangre fresca, estaba parada frente a mi casa. Tenía un pie apoyado en el suelo, mientras con una mano sacaba un móvil del interior de su cazadora. El motor de aquella máquina seguía gruñendo, mientras yo lo miraba embobada desde mi ventana. No sabía porque, pero no podía dejar de mirar. La curiosidad me dominaba. Vi como alzaba su rostro hacia arriba, como si percibiera mi mirada. Me escondí tras las cortinas de forma instintiva, sorprendiéndome a mí misma. ¿Qué estaba haciendo? ¿Desde cuándo me dedicaba a fisgar detrás de las cortinas como mi abuela? Me sentía inquieta, ansiosa, volví a asomarme tímidamente a través de los visillos. ¿Quién era él? No conocía a nadie con semejante moto por aquí y eso era raro, porque en un pueblecito como el mío nos conocíamos casi todos. Habíamos pasado por distintas etapas, de la infancia a la adolescencia, en el mismo colegio, dentro del mismo pueblo. No es que las cosas por aquí hubieran cambiado mucho en los últimos tiempos.

Francine L. Zapater, Luna azul

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Laëtitia Sw. nous propose sa traduction :

Le rugissement d’un moteur me ramena à la réalité. C’était le premier jour de classe aujourd’hui, et le dernier cours de la journée, enfin. Je me préparais dans ma petite chambre, plongée dans mes pensées, lorsque ce bruit assourdissant me fit sursauter. Je courus à la fenêtre de mon appartement pour essayer d’apercevoir la personne qui avait provoqué un tel tapage. Une moto de grosse cylindrée, d’un rouge intense comme le sang frais, stationnait devant chez moi. Il avait un pied posé par terre et, d’une main, il sortait un téléphone portable de l’intérieur de son blouson. Le moteur de ladite moto continuait à gronder, tandis que je le regardais ébahie depuis ma fenêtre. Je ne savais pas pourquoi, mais je ne pouvais pas arrêter de regarder. La curiosité me dominait. Je remarquai la façon qu’il avait de tourner son visage vers le haut, comme s’il percevait mon regard. Je me cachai instinctivement derrière les rideaux, me surprenant moi-même. Qu’est-ce que j’étais en train de faire ? Depuis quand passais-je mon temps à épier derrière les rideaux comme ma grand-mère ? Je me sentais inquiète, anxieuse ; timidement, je regardai de nouveau à travers les rideaux. Qui était-il ? Je ne connaissais personne avec une moto pareille par ici, ce qui était bizarre, parce que dans un petit village comme le mien, nous nous connaissions quasiment tous. Nous étions passés par différentes étapes, de l’enfance à l’adolescence, dans le même collège, au sein du même village. On ne peut pas dire que les choses avaient beaucoup changé par ici ces derniers temps.

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Laëtitia nous propose sa traduction :

Le rugissement d’un moteur me ramena à la réalité. Aujourd’hui c’était la rentrée des classes, dernière année, enfin. J’étais en train de me préparer dans ma petite chambre, plongée dans mes pensées, quand ce bruit assourdissant me fit sursauter. Je courus à la fenêtre de ma chambre pour essayer de visualiser qui avait provoqué pareil vacarme. Une moto de grosse cylindrée, d’un rouge intense comme du sang frais, était arrêtée en face de chez moi. Il avait un pied appuyé par terre, tandis qu’avec une main il sortait un téléphone portable de la poche intérieure de son blouson. Le moteur de cette machine continuait de gronder, pendant que moi je le regardais ébahie depuis ma fenêtre. Je ne savais pas pourquoi, mais je ne pouvais pas m’empêcher de le regarder. La curiosité me dominait. Je le vis relever son visage vers le haut, comme s’il percevait mon regard. Je me cachai derrière les rideaux de manière instinctive, ce qui m’étonna moi-même. Qu’étais-je en train de faire ? Depuis quand m’adonnais-je à épier derrière les rideaux comme ma grand-mère ? J’étais inquiète, anxieuse, je m’avançai à nouveau timidement à travers les voilages. Qui était-il ? Je ne connaissais personne avec une telle moto par ici et c’était bizarre, parce que dans un petit village comme le mien nous nous connaissions presque tous. Nous étions passés par différentes étapes, de l’enfance à l’adolescence, dans le même collège, dans le même village. Non, les choses n’avaient pas beaucoup changé par ici ces derniers temps.

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Amélie nous propose sa traduction :

Le rugissement d’un moteur me ramena à la réalité. Aujourd’hui, c’était le premier jour de cours, dernière année, enfin ! Je me préparais dans ma petite chambre, plongée dans mes pensées, lorsque ce bruit assourdissant me fit sursauter. Je me précipitai à la fenêtre de la pièce pour essayer d’apercevoir qui était à l’origine d’un tel scandale. Une moto de grosse cylindrée, d’un rouge vif couleur sang frais, était garée en face de chez moi. Un pied sur le sol, le conducteur sortait un portable de l’intérieur de son blouson. Le moteur de ladite machine continuait de gronder, tandis que je le regardais depuis ma fenêtre, ébahie. Je ne savais pas pourquoi, mais je ne pouvais détourner les yeux. La curiosité me dévorait. Je le vis relever la tête, comme s’il avait perçu mon regard. Je me dissimulai instinctivement derrière les rideaux, me surprenant moi-même : qu’étais-je en train de faire ? Depuis quand passais-je mon temps à épier derrière les rideaux comme ma grand-mère ? J’étais troublée et fébrile ; timidement, je regardai de nouveau à travers les voilages. Qui était-il ? Je ne connaissais personne qui possédait une moto comme ça dans les environs, ce qui était étrange, car dans un petit village comme le mien, nous nous connaissions presque tous. Nous étions passés par différents étapes, de l’enfance à l’adolescence, dans le même collège, au sein du même village. Et on ne peut pas dire que les choses avaient beaucoup évolué ici ces derniers temps.

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Émeline nous propose sa traduction :

Le rugissement d’un moteur me ramena à la réalité. Aujourd’hui, c’était le premier jour de cours, début de la dernière année, enfin. J’étais en train de me préparer dans ma petite chambre, perdue dans mes pensées, quand ce bruit assourdissant me fit sursauter. Je courus à la fenêtre, essayant d’apercevoir qui avait provoqué un tel tapage. Une moto, une grosse cylindrée, d’un rouge intense comme du sang frais, était arrêtée devant chez moi. Il avait un pied sur le sol, tandis que d’une main il sortait un portable de l’intérieur de sa veste. Le moteur de cette machine continuait de râler, et moi, je le regardais, fascinée, depuis la fenêtre. Je ne savais pas pourquoi, mais je ne pouvais pas arrêter de regarder. La curiosité me possédait. Je le vis lever la tête, comme s’il avait senti mon regard. Je me cachai derrière les rideaux, instinctivement, me surprenant moi-même. Qu’est-ce que je faisais ? Depuis quand j’épiais derrière les rideaux comme le faisait ma grand-mère ? Je me sentais nerveuse, anxieuse. À nouveau, je me penchai timidement à travers les voilages. Qui était-il ? Je ne connaissais personne ici avec une moto pareille et cela me semblait étrange, car, dans un petit village comme le mien, nous nous connaissions presque tous. Nous étions passés par différentes étapes, de l’enfance à l’adolescence, dans la même école, dans le même village. Ce n’est pas comme si les choses avaient beaucoup changé par ici ces derniers temps.

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Coralie nous propose sa traduction :

Le rugissement d’un moteur me ramena à la réalité. C’était le premier jour de classe, dernière année, enfin. J’étais en train de me préparer dans ma petite chambre, plongée dans mes pensées, quand ce bruit assourdissant me fit sursauter. Je courus jusqu’à la fenêtre pour tenter d’entrevoir ce qui avait provoqué un tel tapage. Une moto de grosse cylindrée, d’un rouge intense, comme du sang frais, était garée en face de chez moi. Il avait un pied posé à terre et d’une main il sortait un portable de l’intérieur de son blouson. Le moteur de cette machine continuait de gronder, alors que je le regardais, ébahie, depuis ma fenêtre. Je ne savais pas pourquoi, mais je ne pouvais pas cesser de regarder. La curiosité me dominait. Je le vis tourner la tête vers le haut, comme s’il percevait mon regard. Je me cachai derrière les rideaux de façon instinctive, me surprenant moi-même. Qu’étais-je en train de faire ? Depuis quand guettais-je derrière les rideaux comme ma grand-mère ? Je me sentais inquiète, anxieuse, je me montrai de nouveau, timidement, à travers les voilages. Qui était-il ? Je ne connaissais personne avec une moto semblable par ici et c’était étrange, parce que dans un petit village comme le mien nous nous connaissions presque tous. Nous étions passés par les différentes étapes, de l’enfance à l’adolescence, dans le même collège, dans le même village. On ne peut pas dire que les choses avaient beaucoup changé ici ces derniers temps.

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Chloé nous propose sa traduction :

Le rugissement d’un moteur me ramena à la réalité. Aujourd’hui c’était le premier jour de cours, dernière année, enfin ! Je me préparais dans ma petite chambre, plongée dans mes pensées, quand ce bruit assourdissant me fit sursauter. Je me précipitai à la fenêtre de ma chambre pour essayer d’entrevoir qui avait provoqué un tel vacarme. Une moto, une grosse cylindrée, d’un rouge intense comme le sang frais, était garée en face de chez moi. Le conducteur avait un pied au sol, et d’une main, il sortait un portable de l’intérieur de son blouson. Le moteur de cette machine continuait de gronder, tandis que je le regardais, ébahie, depuis ma fenêtre. Je ne savais pas pourquoi, mais je ne pouvais détacher mon regard. La curiosité me dominait. Je le vis relever la tête, comme s’il avait senti mon regard. Je me cachai instinctivement derrière les rideaux, me surprenant moi-même : qu’étais-je en train de faire ? Depuis quand passais-je mon temps à épier derrière les rideaux comme ma grand-mère ? J’étais inquiète, anxieuse, je regardai à nouveau timidement à travers les voilages. Qui c’était ? Je ne connaissais personne du coin qui possédait une moto semblable, ce qui était étrange, car dans un petit village comme le mien, presque tout le monde se connaissait. Nous étions passés par différentes étapes, de l’enfance à l’adolescence, dans le même collège, dans le même village. Ici, les choses étaient loin d’avoir beaucoup changées ces derniers temps.

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Pascaline nous propose sa traduction :

Le rugissement d’un moteur me fit revenir à la réalité. Aujourd’hui était le premier jour de classe, dernière année, enfin. J’étais en train de me préparer dans ma petite chambre, plongée dans mes pensées, quand ce son assourdissant me fit sursauter. Je me précipitai à la fenêtre de ma chambre pour essayer d’apercevoir qui avait provoqué pareil scandale. Une moto de grosse cylindrée, d’un rouge intense comme du sang frais, était arrêtée devant ma maison. Il avait un pied posé à terre, tandis qu’avec une main il sortait un portable de l’intérieur de son blouson. Le moteur de cette machine continuait à grogner, tandis que je le regardais ébahie depuis ma fenêtre. Je ne savais pas pourquoi, mais je ne pouvais pas cesser de regarder. La curiosité me dominait. Je le vis lever son visage vers le haut, comme s’il avait senti mon regard. Je me cachai derrière les rideaux de façon instinctive, me surprenant moi-même. Qu’étais-je en train de faire ? Depuis quand me consacrais-je à épier derrière les rideaux comme ma grand-mère ? J’étais inquiète, anxieuse ; timidement, je regardai de nouveau à travers les rideaux. Qui était-il ? Je ne connaissais personne dans le coin avec une telle moto et cela était étrange, car dans un petit village comme le mien, nous nous connaissions presque tous. Nous étions passés par différentes étapes, de l’enfance à l’adolescence, dans le même collège, dans le même village. Et on ne peut pas dire que les choses ici eussent beaucoup changé ces derniers temps.

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Sonita nous propose sa traduction :

Le rugissement d’un moteur me fit revenir à la réalité. Aujourd’hui c’était le premier jour de la rentrée, et enfin la dernière année. J’étais en train de me préparer dans ma petite chambre, submergée dans mes pensées, quand ce bruit assourdissant me fit sursauter. Je courus à la fenêtre de ma chambre en essayant d’entrevoir qui avait provoqué un tel scandale. Une moto grosse cylindrée, d’un rouge intense comme du sang frais, était arrêtée devant chez moi. Il avait un pied posé à terre, tandis qu’avec une main il sortait un portable de l’intérieur de son blouson. Le moteur de cette machine continuait de rugir, tandis que je regardais ébahie depuis ma fenêtre. Je ne savais pas pourquoi, mais je ne pouvais pas arrêter de regarder. La curiosité me dominait. Je vis comment il levait son visage vers le haut, comme s’il sentait mon regard. Je me cachai derrière les rideaux de manière instinctive, me surprenant moi-même. Qu’étais-je en train de faire ? Depuis quand je me consacrais à épier derrière les rideaux comme ma grand-mère ? Je me sentais nerveuse, anxieuse, je regardais à nouveau, timidement, à travers les rideaux. Qui était-il ? Je ne connaissais personne avec une telle moto dans le coin et ça c’était étrange, parce que dans un petit village comme le mien on se connaissait presque tous les uns les autres. Nous étions passés par différentes étapes, de l’enfance à l’adolescence, dans le même collège, dans le même village. Et on ne peut pas dire que les choses avaient beaucoup changé par ici ces derniers temps.

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