vendredi 29 avril 2011

Test traduction automatique, 2

Et voyons ce que cela donne avec le texte d'Elvira Lindo que vous aviez à rendre cette semaine.

Ceci est seulement le principe

Ici suis autre fois. Suis Manolito, ce dernier d'un livre qui est appelé Manolito Gafotas. Il y a des oncles qu'on pense qu'ils savent tout sur ma vie pour avoir lu ce livre. Il y a des oncles dans la Planète Terre qui sont créés très prêts. Dit mon grand-père Nicolás qu'avec ma vie on pourrait remplir des encyclopédies ; et ne le dit pas parce qu'il est mon grand-père, il le dit parce qu'il est certain. Durant les huit années que je vis dans la boule du monde (du monde mondial) mo'ils sont passés tant de choses qu'il ne se donnerait pas du temps à les compter durant les prochaines 92 années ; et je dis 92 parce que, s'il pouvait choisir, je m'aimerais mourir moi par cent ans ; il est qu'être mort avant cela n'en vaut pas la peine. Il l'est ce que je lui dis grand-père.
- Être mort à aux quatre-vingt-sept non mola, grand-père ; tu te meurs par cent ans et es comme un roi, avec deux ceros comme cathédrales.
Je ne peux pas comprendre à ces personnes tellement importantes qu'ils sont mis à écrire leurs mémoires quand ils seront vieux et seulement il les sale un livre de 357 pages. Je te dis une chose : j'ai seulement huit années et, là, dans 357 pages, ma vie ne m'entre pas. Donc je doive écrire des livres et livres et livres pour que tu t'informes de la vérité de ma vie : Manolito on achète un chándal, l'Imbécil a nom, les blagues de Manolito, Manolito à New York. Bon, ce dernier est de science fiction, parce que j'à New York ne vais jamais être ; c'est une tradition qui il y doit dans ma famille, celle ne pas aller jamais à New York ; elle est presque tellement ancienne comme celle de manger douze raisins en Vieille Nuit ou danser la conga dans les festivités de Carabanchel. Jusqu'à où je peux savoir de mes ancêtres aucun il est allé à New York, et ne crois pas que j'aille être le d'abord, parce que durant mes huit années de vie dans cette Planète je n'ai pas été le premier dans rien ; pregúntaselo Prise en charge située, qui m'a définie en finissant le cours comme « l'enfant classique du tas ». Mais je ne veux pas adelantarte la fin du livre, je ne vais pas être comme l'Orejones, qu'on va trois jours avant que toi à voir un film pour contarte la fin et reventártela. C'est une tolérance typique de mon grand ami (bien que c'est un porc traître).
Dans ce livre viennent certaines des aventures qui me sont passée dans les derniers mois, et sont tant, tant, les choses que me se produisent tous les jours que m'a beaucoup coûté décider je par quel contarte. ET l'ennui est que tout le monde devait mettre atout :
Yihad m'a dit que s'il ne sortait pas l'aventure du sifflet nous nous verrions les faces une tombée du jour dans le parc de l'Ahorcado.
La Susana Bragas-sucias moi demandait tous les jours un chapitre pour elle seule :
–... et non comme dans l'autre livre, qui as seulement compté ce qui est des bragas, amusant - il m'a dite.
Luisa ne voulait pas qu'apparaisse l'histoire des cochinitos, mais, comme dans le fonds, il lui faisait beaucoup de tolérance, m'il a proposé qu'à à elle et à Bernabé il sorte avec pseudonyme. À la fin, m'on a oublié et sont avec ses véritables noms. Ma mère a dit :
- Nous verrons déjà les répercussions de de ce qui est librito dans le quartier.
L'Imbécil, comme pour l'instant il est illettré, a une seule obsession : qui le sortent continuellement dans les dessins. Ainsi, il prendra le livre, il indiquera ses images avec le chupete (en remplissant les feuilles de babas) et il dira :
- Je.
ET il passera les feuilles jusqu'à ce qu'il soit trouvé à nouveau. Quand il saura lire il exigera d'être le protagoniste. Je fixe.
La mère Arturo Román a appelé mère pour le dire :
- Avec amical ce qu'est mon Arturo de Manolito et la fois précédente ce qui est pauvre seulement il disait une phrase.
L'Orejones mo'a admis l'autre jour qui après penser beaucoup est arrivé à la conclusion que les parties qui molan plus sont celles qu'il sale.
- Te le dis avec le coeur - m'a dite en étant porté la main au côté droit (son fort n'est pas l'anatomie humaine).
Le propriétaire du Tropezón m'a demandé que ne sorte pas que l'année passée intoxicó à un demi - Haut Carabanchel avec une ensaladilla russe qui était expiré ; donc ce chapitre je le garde pour lui faire du chantage de temps à autre.
Ce qui est seuls qu'ils n'ont pas protesté ni ont demandé rien ont été mon père (bien que je sais qu'il est très heureux parce que dans ce livre apparaît quantité) et mon grand-père, qui, voyant qu'entre tous ne me laissaient pas en paix, m'a dite :
- Toi à ta boule, Manolito ; s'ils veulent sortir dans un livre qui le lui écrivent ils.
Donc cela j'aie fait, je suis allé boule, qui arrête cela suis celui qui compte ces histoires espeluznantes.

Elvira Lindo, Pobre Manolito

1 commentaire:

Auréba a dit…

ça me fait penser aux exercices de style de Raymond Queneau : réécriture façon non pas "hispanisme" ou "italianisme" mais façon "traduction automatique".
Le résultat m'a bien fait rire.
Merci.