lundi 16 mai 2011

Étonnante métaphore ou belle coquille ?

Je croise à l'instant (sous la plume d'un traducteur dont je tairais le nom – je dis souvent qu'on commet tous des erreurs et qu'il est facile de coincer n'importe qui, même les professionnels les plus expérimentés. Personnellement, j'ai sur la conscience un scaphandre en lieu et place du scaphandrier) une erreur fréquente :
« La flèche du Parthe ainsi décochée, il s'éloigna, plantant là les deux rivaux béants. »
La confusion entre « béat » et « béant » est évidemment à éviter dans les traductions longues !

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