Dépendance excessive d’un homme à l’activité sportive, notamment pour développer sa masse musculaire.
le mot est une composé du terme anglais "big" et du suffixe -orexie.
Plus connu dans le monde de la médecine comme le complexe d'Adonis, ce phénomène, qui touche, il faut bien l'avouer, principalement la gent masculine (et j'ai bien dit "principalement" et non "exclusivement"...) devient de plus en plus courant au sein de notre société lipophobe. Cousin de l'anorexie, la bigorexie trouve son origine dans le rapport pernicieux au corps, la vision erronée de sa propre image et le sentiment d'anormalité physique.
De quoi rassurer le traducteur ventripotent qui, le siège confortablement posé sur son fauteuil, ingurgite à longueur de temps carrés de chocolat, confiserie en tout genre et autres délices salés (et j'en parle en connaissance de cause !). De quoi lui faire aussi aimer son cher et tendre goitre... (après tout, il est pas si vilain que ça mon petit goitre)
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BIGOREXIE,
Dépendance excessive d’un homme à l’activité sportive, notamment pour développer sa masse musculaire.
le mot est une composé du terme anglais "big" et du suffixe -orexie.
Plus connu dans le monde de la médecine comme le complexe d'Adonis, ce phénomène, qui touche, il faut bien l'avouer, principalement la gent masculine (et j'ai bien dit "principalement" et non "exclusivement"...) devient de plus en plus courant au sein de notre société lipophobe.
Cousin de l'anorexie, la bigorexie trouve son origine dans le rapport pernicieux au corps, la vision erronée de sa propre image et le sentiment d'anormalité physique.
De quoi rassurer le traducteur ventripotent qui, le siège confortablement posé sur son fauteuil, ingurgite à longueur de temps carrés de chocolat, confiserie en tout genre et autres délices salés (et j'en parle en connaissance de cause !). De quoi lui faire aussi aimer son cher et tendre goitre... (après tout, il est pas si vilain que ça mon petit goitre)
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