vendredi 20 janvier 2012

Les StelR-2 – phrase 28

El verdadero amor se había ido con la muerte de su mujer hacía 37 años; la riqueza material le sobraba; y la salud fue fácil conservarla, porque a esas alturas ya nadie se enfermaba,  ni siquiera en la hambrienta Europa, además la tecnología permitía recuperar o reemplazar casi cualquier miembro u órgano humano, y si no se podía, siempre estaba la opción de la criogenización.

Traduction temporaire :
Le véritable amour s’en était allé à la mort de sa femme, trente-sept ans auparavant ; les richesses matérielles, il n'en manquait pas, loin de là ; quant à la santé, à l'heure actuelle, il était facile d'être toujours en forme dans la mesure où plus personne ne tombait malade,  pas même en Europe, où sévissait la famine. Sans compter que la technologie permettait de sauver ou de remplacer presque n’importe quel membre ou organe humains, et dans le cas contraire, il restait toujours l’option de la cryogénisation.

18 commentaires:

Cloé a dit…

Bon, la phrase est vraiment très longue ! Je ne l'ai coupée qu'une seule fois pour l'instant.
J'avoue que je suis perturbée par l'utilisation massive du point virgule, est-ce un tic d'écriture ?


Le véritable amour s’était envolé à la mort de sa femme il y a trente-sept ans ; la richesse matérielle, il en avait plus qu'il n’en faut ; et il était facile de garder la santé, car à l’heure actuelle, plus personne ne tombait malade, pas même dans l’Europe affamée. De plus, la technologie permettait de sauver ou de remplacer presque n’importe quel membre ou organe du corps humain, et lorsque c’était impossible, il restait toujours l’option de la cryogénisation.

Tradabordo a dit…

Non, les points-virgules ne sont pas un tic d'écriture ici… mais une façon de rythmer son énumération. Il faut donc effectivement faire la même chose.

On va faire petit bout par petit bout, avec des récapitulatifs intermédiaires :

1) El verdadero amor se había ido con la muerte de su mujer hacía 37 años;
- « envolé » n'est pas du tout adapté ici. Il est dans la poésie !
Mets : « s'en était allé…
- Ponctuation après « trente-sept ans »

2) la riqueza material le sobraba;
Je n'ai pas beaucoup comment tu as traduit « le sobraba ». Je te donne : il ne manquait de rien, loin de là.
À toi, maintenant, de l'articuler dans la phrase.

3) y la salud fue fácil conservarla, porque a esas alturas ya nadie se enfermaba, ni siquiera en la hambrienta Europa,
Quant à… Refais la phrase avec ce début.

4) Remplace « à l'heure actuelle » par « désormais » ; sauf si on l'a déjà

5) « L'europe affamée » ? Quelle horreur. Un petit effort…

On s'arrête là pour l'instant. Vois déjà ce que tu peux faire avec ça.

Cloé a dit…

4)On a déjà "désormais"...
5)Je ne suis pas sûre d'avoir compris ce qu'il voulait dire : que l'Europe crie famine, qu'elle est avide ou qu'elle est misérable ?

Le véritable amour s’en était allé à la mort de sa femme, il y a trente-sept ans ; la richesse matérielle, il n'en manquait pas, loin de là ; quant à la santé, il était facile de la garder, car à l'heure actuelle, plus personne ne tombait malade, pas même dans l'insatiable Europe.

Tradabordo a dit…

4) alors OK pour « à l'heure actuelle »

5) Oui, c'est ça : que c'est la famine en Europe. Mais c'était mal exprimé.

6) Dans ta reprise « il y a » ne va pas – pauvre en soi et je crois qu'on l'a déjà. Essaie de trouver un équivalent… juste avec un adverbe ; qui commence par A… ;-)

7) Si tu dis « il n'en manquait pas », il vaut mieux mettre richesse matérielle au pluriel.

8) « car » / « dans la mesure » ; c'est plus « argumentatif ».

9) « insatiable » = FS.

8) « il était facile de la garder » / « d'être toujours en forme »

Cloé a dit…

Le véritable amour s’en était allé à la mort de sa femme, trente-sept ans auparavant ; les richesses matérielles, il n'en manquait pas, loin de là ; quant à la santé, il était facile d'être toujours en forme, dans la mesure où à l'heure actuelle, plus personne ne tombait malade, pas même en Europe, qui criait famine.

Tradabordo a dit…

Deux ou trois petits changements encore – pour la fin :

quant à la santé, à l'heure actuelle, il était facile d'être toujours en forme dans la mesure plus personne ne tombait malade, pas même en Europe, où sévissait la famine.

Ça te va ?

Cloé a dit…

Oui je préfère !

Tradabordo a dit…

Tu reprends l'ensemble de la phrase, stp ?

Cloé a dit…

Le véritable amour s’en était allé à la mort de sa femme, trente-sept ans auparavant ; les richesses matérielles, il n'en manquait pas, loin de là ; quant à la santé, à l'heure actuelle, il était facile d'être toujours en forme dans la mesure où plus personne ne tombait malade, pas même en Europe, où sévissait la famine.

Tradabordo a dit…

Merci !

Cloé a dit…

Je vois que t'as publié la phrase 29, mais il nous manque la moitié de la phrase 28, je l'avais coupée en deux !

De plus, la technologie permettait de sauver ou de remplacer presque n’importe quel membre ou organe du corps humain, et lorsque c’était impossible, il restait toujours l’option de la cryogénisation.

Tradabordo a dit…

Oui… Je fais plusieurs choses en même temps ;-)
Laisse tomber la 29 pour l'instant. Terminons la 28.

Tradabordo a dit…

además la tecnología permitía recuperar o reemplazar casi cualquier miembro u órgano humano, y si no se podía, siempre estaba la opción de la criogenización.

De plus, la technologie permettait de sauver ou de remplacer presque n’importe quel membre ou organe du corps humain, et lorsque c’était impossible, il restait toujours l’option de la cryogénisation.

1) À la place de « de plus » = « sans compter ».

2) « sauver » est peut-être un peu fort…, non ?

3) Est-ce qu'on ne devrait pas mettre un « S » à humain ?

4) « et dans le cas contraire »

Le reste : OK

Cloé a dit…

2) En fait j'ai directement pensé à "sauver un membre", car c'est ce qui n'est pas toujours faisable dans la médecine d'aujourd'hui. Mais c'est vrai que c'est plus fort. Tu penses que "préserver" irai?

3) Oui, j'ai lu trop vite et traduit par "du corps humain", donc je remplace par "humainS" tout court.

Sans compter que la technologie permettait de préserver ou de remplacer presque n’importe quel membre ou organe humains, et dans le cas contraire, il restait toujours l’option de la cryogénisation.

Tradabordo a dit…

2) Non, ok… tu as raison, gardons « sauver ».

L'ensemble me semble pas mal… Juste une question : a-t-on beaucoup de « tout » et « tous » dans ce qui précède ?

Cloé a dit…

On a 1 "tous" et 3 "tout" dont 1 dans la phrase précédente. C'était pour remplacer "n'importe quel" ?

Tradabordo a dit…

Oui… Mais du coup, on va garder ce qu'on a. Je colle la fin de la phrase et attaque-toi à la suite.

Cloé a dit…

Attention, dans ma dernière proposition, j'avais mis "préserver". Il faut donc le remplacer par "sauver" dans la traduction provisoire.