samedi 28 janvier 2012

Les StelR-2 – phrase 33

Una sonrisa cómplice lo regocijó al imaginar lo curioso que se sentiría ser cliente de su propia empresa,  la que estaba en las confiables manos de uno de sus herederos,  quien en persona trataría su caso a pesar de no ser su labor.

Traduction temporaire :
Un sourire espiègle se peignit sur son visage lorsqu’il imagina combien il serait bizarre d’être client de sa propre entreprise, désormais confiée aux mains expertes de l'un de ses héritiers, qui, d'ailleurs, se chargerait de son cas en personne, et ce alors que ce n’était pas dans ses attributions.

11 commentaires:

Cloé a dit…

Un sourire complice le dérida lorsqu’il imagina à quel point il serait étrange d’être client de sa propre entreprise, celle qui était entre les bonnes mains d’un de ses héritiers, qui allait traiter son cas en personne même si ce n’était pas son travail.

Tradabordo a dit…

Una sonrisa cómplice lo regocijó al imaginar lo curioso que se sentiría ser cliente de su propia empresa, la que estaba en las confiables manos de uno de sus herederos, quien en persona trataría su caso a pesar de no ser su labor.

1) Dans la mesure où il est seul…, je trouve bizarre le sourire « complice » ; oui, je sais que c'est la traduction littérale… mais je me demande si tu ne pourrais pas trouver quelque chose de plus adapté.

2) « regocijar » c'est quand même plus fort que simplement « dérider ».

3) Là, on devrait peut-être tout de suite faire l'inversion syntaxique et mettre qu'il imagine devant…

4) « à quel point » ou, plus synthétique et qui éviter une éventuelle répétition avec « point », « combien » ?

5) « étrange » ou « bizarre » ?

6) Tu n'as pas plus naturelle et plus simple que « celle qui était… »

7) On dit « être entre de bonnes mains » mais dit-on « être entre LES bonnes mains de quelqu'un » ?

8) D'un de ses / de l'un de ses… ?

9) « traiter » un « cas » ?

10) « même si »… est-ce qu'on ne devrait pas avoir quelque chose de plus fort ?

Cloé a dit…

Lorsqu’il imagina combien il serait bizarre d’être client de sa propre entreprise, désormais confiée à l’un de ses héritiers qui traiterait son cas en personne, alors que ce n’était pas son travail, un sourire amusé illumina son visage.

Tradabordo a dit…

Bien… mais qu'est devenu « confiables » ?

Non, là, pour le coup, tu as beaucoup trop destructuré la phrase… Rapproche la fin du début, mais en laissant le début comme il est.

« illumina son visage » est de la réécriture. Reviens vers la V.O.

Cloé a dit…

J'avais oublié de mettre mes commentaires sur les commentaires !

Pour "confiables", je me suis dit que "confiée" traduisait le fait que l'entrepise est entre les mains d'un de ses héritiers en qui il a confiance, mais j'ai tendance à synthétiser...
En commençant la phrase par "Lorsqu'il imagina", je n'arrive pas à faire autrement qu'en mettant un point.


Lorsqu’il imagina combien il serait bizarre d’être client de sa propre entreprise, un sourire amusé l'égaya. Il l'avait désormais confiée à l’un de ses héritiers qui traiterait son cas en personne, alors que ce n’était pas son travail.

Tradabordo a dit…

Lorsqu’il imagina combien il serait bizarre d’être client de sa propre entreprise, un sourire amusé l'égaya. Il l'avait désormais confiée à l’un de ses héritiers qui traiterait son cas en personne, alors que ce n’était pas son travail.

1) Bon… dans ce cas, d'accord, on garde ta syntaxe du début ; et met que le sourire se peint sur son visage

2) Sourire + amusé est redondant ; je pense que tu devrais mettre « espiègle ».

3) «confiées » + « aux mains expertes »… qu'en penses-tu ?

4) Virgule avant « qui ».

5) « s'occuper de son cas » est mieux… si nous n'avons pas déjà ce verbe avant. Je te laisse vérifier.

6) Ajoute un petit « ce » avant « alors que ».

Vas-y, je te laisse reprendre et récapituler… puis nous passerons à la suite.

Cloé a dit…

5) On a "l'occupant" d'un véhicule un peu plus haut.
6) Euh... Je ne comprends pas le "ce" avant "alors que" !

Un sourire espiègle se peignit sur son visage lorsqu’il imagina combien il serait bizarre d’être client de sa propre entreprise, désormais confiée aux mains expertes de l'un de ses héritiers, qui s'occuperait de son cas en personne, alors que ce n’était pas son travail.

Tradabordo a dit…

Un sourire espiègle se peignit sur son visage lorsqu’il imagina combien il serait bizarre d’être client de sa propre entreprise, désormais confiée aux mains expertes de l'un de ses héritiers, qui s'occuperait de son cas en personne, alors que ce n’était pas son travail.

1) ça me gêne cet enchaînement « l'un de ses héritiers, qui s'occuperait »… On a l'impression qu'on passe du coq à l'âne.
2) Ah ok pour « s'occuper ». Se charger ?
3) « en personne, ce alors que ce n'était pas son travail » / ou même : « ce alors que n'entrait pas dans ses attributions ». Qu'en penses-tu ?

Cloé a dit…

1) Oui moi aussi je trouve ça moyen. Peut-on rajouter un "d'ailleurs" ou alors couper la phrase ?

2) Ok.
3) J'ai du mal avec "ce alors que" sans rajouter de "et".

Un sourire espiègle se peignit sur son visage lorsqu’il imagina combien il serait bizarre d’être client de sa propre entreprise, désormais confiée aux mains expertes de l'un de ses héritiers, qui se chargerait d'ailleurs de son cas en personne, ce alors que ce n’était pas dans ses attributions.

Tradabordo a dit…

Dernière version – tu me donneras ton avis.

Un sourire espiègle se peignit sur son visage lorsqu’il imagina combien il serait bizarre d’être client de sa propre entreprise, désormais confiée aux mains expertes de l'un de ses héritiers, qui, d'ailleurs, se chargerait de son cas en personne, et ce alors que ce n’était pas dans ses attributions.

Cloé a dit…

Oui, je pense que c'est la meilleure solution.
Passons à la suite !