mercredi 29 février 2012

Les StelR-2 – phrase 55

Vio en sus profundos ojos azulados, que no recordaba hasta ese entonces, el reflejo del azul del mar, el resplandor del azul del cielo, el azul que nunca más sería, ése que cuando nació por derecho le correspondió y que había dejado el planeta hacía años, y que él debió acompañar.

Traduction temporaire :
Il vit dans ses profonds yeux bleutés, dont il ne se souvenait pas jusque-là, le reflet du bleu de la mer, l'éclat du bleu du ciel, le bleu qui ne serait jamais plus, celui-là même qui lui revenait de droit à sa naissance mais qui avait quitté la planète depuis des années, et qu'il aurait dû accompagner.

8 commentaires:

Amélie a dit…

Il vit dans ses profonds yeux bleutés, dont il ne se souvenait pas jusqu'à ce jour, le reflet du bleu de la mer, l'éclat du bleu du ciel, le bleu qui ne serait jamais plus, celui-là même qui lui revenait de droit à sa naissance mais qui avait quitté la planète depuis des années, et qu'il devait accompagner.

Je sais que recordar = se rappeler, mais on l'a mis plus haut.

Tradabordo a dit…

- « jusque-là ».
- « dejado » = « quitté » ou « disparu » ici ? J'hésite beaucoup.
- « devait » ?????? Problème de temps = CS.

Cloé a dit…

2) Avec "quitté" j'aime bien cette idée d'abandon, comme si la planète ne valait pas ce bleu. Maintenant, est-ce dans ce sens que l'entend l'auteur?

3) J'avais traduit "devait", comme Amélie. En fait, "él debió" = son père ?

Il vit dans ses profonds yeux bleutés, dont il ne se souvenait pas jusque-là, le reflet du bleu de la mer, l'éclat du bleu du ciel, le bleu qui ne serait jamais plus, celui-là même qui lui revenait de droit à sa naissance mais qui avait quitté la planète depuis des années, et que son père avait dû accompagner.

Amélie a dit…

1) C'est vrai que la question mérite d'être posée : avec quitter, moi j'entends qu'il est parti de son plein gré et qu'on sait où il est, avec disparu, on ne sait pas où il est. Donc le fait que le narrateur doive l'accompagner me ferait pencher pour "quitter", comme s'il devait le rejoindre...
2) Oups, j'ai lu debía.

Il vit dans ses profonds yeux bleutés, dont il ne se souvenait pas jusque-là, le reflet du bleu de la mer, l'éclat du bleu du ciel, le bleu qui ne serait jamais plus, celui-là même qui lui revenait de droit à sa naissance mais qui avait quitté la planète depuis des années, et qu'il avait dû accompagner.

Tradabordo a dit…

Il vit dans ses profonds yeux bleutés, dont il ne se souvenait pas jusque-là, le reflet du bleu de la mer, l'éclat du bleu du ciel, le bleu qui ne serait jamais plus, celui-là même qui lui revenait de droit à sa naissance mais qui avait quitté la planète depuis des années, et qu'il avait dû accompagner.

OK pour tout… sauf la fin. Debió = aurait dû !!!!!!!!

Amélie a dit…

Il vit dans ses profonds yeux bleutés, dont il ne se souvenait pas jusque-là, le reflet du bleu de la mer, l'éclat du bleu du ciel, le bleu qui ne serait jamais plus, celui-là même qui lui revenait de droit à sa naissance mais qui avait quitté la planète depuis des années, et qu'il aurait dû accompagner.

Tradabordo a dit…

« accompagner » ou « suivre » ?

Amélie a dit…

Accompagner me semblait bien. On a vraiment l'impression qu'il aurait dû partir avec la couleur, et non après.