mardi 8 mai 2012

Les Étoiles filantes / 2 – phrase 163

Todos tenemos nuestras culpas y cuando se acerca el barquero éstas debe ser como puñales que se retuercen.

Traduction temporaire :
Nous avons nos fautes et lorsque le passeur approche, peut-être sont-elles comme des poignards qui torturent. 

12 commentaires:

Elena a dit…

Nous avons tous commis des péchés et lorsque le passeur approche ils deviennent des couteaux qui remuent.

Tradabordo a dit…

Je ne pense pas que ce soit bien de connoter avec « péché ». Reviens à la V.O.

Elena a dit…

Nous avons tous commis des fautes et lorsque le passeur approche, peut-être ressemblent-elles à des couteaux qui remuent.

Tradabordo a dit…

Faut-il nécessairement passer par « commettre » ?

Je trouve bizarre « el barquero » + « éstas »
J'ai compris qu'il s'agit des fautes, mais c'est le lien entre les deux… Explique.

Elena a dit…

Je crois que l'auteur veut dire qu'Adriana n'a pas trop envie de penser à l'enfer, de peur de prendre conscience d'y être pour de vrai, mais aussi, de peur d'avoir à faire le bilan de sa vie. Peut-être un peu ce que font les autres passagers du train.
Elle sait que nous avons tous quelque chose à nous reprocher et que, quand le moment de mourir vient, on est obligés d'accepter qu'on n'est pas tout blanc, alors la culpabilité fait surface.
Or, Adriana ne veut pas mourir, elle veut sortir de là, elle veut croire qu'elle est toujours vivante...
Euh... c'est mon interprétation...

Tradabordo a dit…

Oui… tout ça j'ai compris. Ce que je te demande est tr!s précis – la construction :

« el barquero » + « éstas » + « debe ser »

Elena a dit…

Ah ! Eh bien, il me semble qu'il y a une erreur, c'est "deben".

Tradabordo a dit…

Ah ! Du coup OK… Là, c'était nébuleux.

Tradabordo a dit…

Reprends sans « commettre »…

Elena a dit…

Nous avons tous des fautes et lorsque le passeur approche, peut-être ressemblent-elles à des couteaux qui remuent.

Tradabordo a dit…

Nous avons tous des fautes et lorsque le passeur approche, peut-être ressemblent-elles à des couteaux qui remuent.

Je te propose :

Nous avons nos fautes et lorsque le passeur approche, peut-être sont-elles comme des poignards qui torturent.

OK ?

Elena a dit…

Ok.
Oui, poignard est mieux. J'avais choisi "couteaux" pour rester près de l'expression.