mardi 8 mai 2012

Les Warmicusi – phrases 27-28

No entendíamos cómo no caían desmayadas por el sol. Sin embargo, seguían paradas imperturbablemente y la niña movía un brazo entre la manta que una de ellas llevaba en la espalda y lo más notorio era su moño rojo. 

Traduction temporaire :
Nous étions étonnés qu'elles ne s'évanouissent pas sous le poids de la touffeur. Et pourtant non, elles ne bougeaient pas, imperturbables. Quant à la petite fille, elle agitait un bras hors de la couverture qu'une des femmes portait dans le dos. On ne voyait guère plus que le rouge du ruban dans ses cheveux.

11 commentaires:

Laetitia Sw. a dit…

No entendíamos cómo no caían desmayadas por el sol. Sin embargo, seguían paradas imperturbablemente y la niña movía un brazo entre la manta que una de ellas llevaba en la espalda y lo más notorio era su moño rojo.

(Je pense - comme on le fait d'ailleurs depuis le début de ce texte pour les cas semblables - qu'il faut expliciter de nouveau ici l'idée de chaleur étouffante et compléter en français le simple mot "soleil").

Nous ne comprenions pas qu’elles ne s’évanouissent pas sous le soleil écrasant. Pourtant, elles restaient debout, imperturbables ; quant à la petite fille qui agitait un bras hors de la couverture qu’une d’elles portait dans le dos, le plus frappant chez elle était son chignon rouge.

Tradabordo a dit…

Nous ne comprenions pas qu’elles ne s’évanouissent pas sous le soleil écrasant. Pourtant, elles restaient debout, imperturbables ; quant à la petite fille qui agitait un bras hors de la couverture qu’une d’elles portait dans le dos, le plus frappant chez elle était son chignon rouge.

1) Nous ne comprenions pas qu’elles ne s’évanouissent pas sous le soleil écrasant.
Il vaut mieux ne pas trop expliciter ici, car nous cela suppose de multiplier les répétitions.

2) « Et pourtant non,… »

3) « elles ne bougeaient pas… »

4) Un problème de logique (pas de verbe…) dans ce morceau – à reprendre : « quant à la petite fille qui agitait un bras hors de la couverture qu’une d’elles portait dans le dos, le plus frappant chez elle était son chignon rouge. »

Laetitia Sw. a dit…

Nous ne comprenions pas qu’elles ne s’évanouissent pas sous le soleil. Et pourtant non, elles ne bougeaient pas, imperturbables ; la petite fille agitait un bras hors de la couverture qu’une d’elles portait dans le dos, le plus frappant chez elle était son chignon rouge.

Laetitia Sw. a dit…

Hmmm... à la relecture, cette deuxième phrase manque de liant...

Elena a dit…

Nous ne comprenions pas qu’elles ne s’évanouissent pas sous le soleil. Et pourtant non, elles ne bougeaient pas, imperturbables ; quant à la petite fille, elle agitait un bras hors de la couverture qu’une d’elles portait dans le dos et le plus frappant c'était son nœud rouge.

Moño (RAE) :
1. m. Rodete que se hace con el cabello para tenerlo recogido o por adorno.

2. m. Lazo de cintas.

Je pense qu'il s'agit de la deuxième acception.

Tradabordo a dit…

Nous ne comprenions pas qu’elles ne s’évanouissent pas sous le soleil. Et pourtant non, elles ne bougeaient pas, imperturbables ; quant à la petite fille, elle agitait un bras hors de la couverture qu’une d’elles portait dans le dos et le plus frappant c'était son nœud rouge.

Je vous propose :

Nous étions étonnés qu'elles ne s'évanouissent pas sous le poids de la touffeur. Et pourtant non, elles ne bougeaient pas, imperturbables. Quant à la petite fille, elle agitait un bras hors de la couverture qu'une des femmes portait dans le dos. Le plus frappant était son chignon ceint de rouge.

Qu'en pensez-vous ?

Elena a dit…

No sé, no estoy segura por "chignon". Las kollas se peinan con trenzas que atan en la punta con moños de colores, pero no se hacen "rodetes".

Tradabordo a dit…

Nous étions étonnés qu'elles ne s'évanouissent pas sous le poids de la touffeur. Et pourtant non, elles ne bougeaient pas, imperturbables. Quant à la petite fille, elle agitait un bras hors de la couverture qu'une des femmes portait dans le dos. Le plus frappant était son chignon ceint de rouge.

Oui… En fait, j'avais cherché à éviter la répétition de cheveux ; mais il est vrai que l'essentiel est l'exactitude lexicale.
Et d'ailleurs, du coup, ça me fait repérer un CS dans la fin…

Nous étions étonnés qu'elles ne s'évanouissent pas sous le poids de la touffeur. Et pourtant non, elles ne bougeaient pas, imperturbables. Quant à la petite fille, elle agitait un bras hors de la couverture qu'une des femmes portait dans le dos. On ne voyait guère plus que le rouge du ruban dans ses cheveux.

Elena a dit…

Ahora sí !

Tradabordo a dit…

Laëtitia ?

Laetitia Sw. a dit…

Le résultat est bon. En tout cas, je constate une fois de plus qu'il est toujours aussi difficile, au départ, de mesurer la part de liberté contenue que l'on doit prendre par rapport à la V.O. Finalement, on se rend compte que l'on explicite pas mal. Mais c'est souvent à ce prix-là qu'on a un résultat qui met dans le mille !