mardi 24 juillet 2012

Les Pikimachay – phrases 14-16

Los escasos transeúntes que cruzaba a esa hora, podían imaginarlo perdido. Pero se equivocaban. Él lo tenía claro a dónde quería llegar.

Traduction temporaire :
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient très bien s'imaginer qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.

14 commentaires:

Unknown a dit…

Les rares passants qu’il croisait à cette heure-ci pouvaient imaginer qu’il était perdu, mais ils se trompaient. Il ne savait pas clairement où il voulait arriver.

J'hésite entre "imaginer" et "s'imaginer" :

Les rares passants qu’il croisait à cette heure-ci pouvaient s'imaginer qu’il était perdu, mais ils se trompaient. Il ne savait pas clairement où il voulait arriver.

Tradabordo a dit…

Prends l'habitude de ne proposer qu'une seule solution ; ça fera partie de ton travail de traductrice… savoir trancher, même quand tu es dans l'hésitation et le doute.

J'attends que tu le fasses pour commenter ;-)

Unknown a dit…

Je me doutais que ce genre de commentaire arriverait tôt ou tard... :)

Et dans ce cas je choisis la première :

Les rares passants qu’il croisait à cette heure-ci pouvaient imaginer qu’il était perdu, mais ils se trompaient. Il ne savait pas clairement où il voulait arriver.

Tradabordo a dit…

Les rares passants qu’il croisait à cette heure-ci pouvaient imaginer qu’il était perdu, mais ils se trompaient. Il ne savait pas clairement où il voulait arriver.

Dans la mesure où le texte est au passé, il vaut mieux « à cette heure-là »

« imaginer » ou « croire » ? J'hésite.

Fais des phrases différentes, comme en V.O.

Commence la deuxième par « or ».

La fin ne va pas… Tu ne dirais pas cela spontanément en français. À reprendre en te focalisant strictement sur le sens.

Julie Sanchez a dit…

Je crois que justement, il sait où il veut aller. Les passants pensent qu'il est perdu mais il est sûr de son chemin.

Les rares passants qu’il croisait à cette heure-ci pouvaient imaginer qu’il était perdu, mais ils se trompaient. Il savait clairement où il voulait arriver.

Julie Sanchez a dit…

Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient imaginer qu’il était perdu, or ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.

Tradabordo a dit…

Les rares passants qu’il croisait à cette heure-ci pouvaient imaginer qu’il était perdu, mais ils se trompaient. Il savait clairement où il voulait arriver.

Ta proposition est arrivée après mon commentaire…

Fais la synthèse de tout – histoire qu'on ne parte pas sur deux versions différentes, qu'il sera ensuite difficile de fusionner.

Unknown a dit…

Merci Julie, j'ai lu 10 fois de suite "Él no tenía"...

J'essaye de tout regrouper :

Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient imaginer qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.

Unknown a dit…

Petite précision : Je n'ai pas remis croire parce que je trouvais que ça se "répétait" avec "croiser", mais je le mets pour que tout le monde se rende compte :

Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient croire qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait arriver.

Tradabordo a dit…

Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient croire qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait arriver.

Dans ce cas, ok pour « imaginer ». Tu remets la bonne version, stp ?

Unknown a dit…

Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient imaginer qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.

Tradabordo a dit…

Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient imaginer qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.

Je te propose :

Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient très bien s'imaginer qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.

OK ?

Julie Sanchez a dit…

Ok!

Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient très bien s'imaginer qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.

Unknown a dit…

Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient très bien s'imaginer qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.

OK!