vendredi 27 juillet 2012

Les Warmicusi – phrase 85

Pero sabían que sí existían porque las madrugadas estaban acompañadas de esos chillidos enloquecedores que hacían que nadie se atreviera a salir de sus hogares. 

Traduction temporaire :
Et pourtant, ils ne pouvaient ignorer qu'ils existaient, chaque lever du soleil étant immanquablement accompagné de ces couinements, tellement épouvantables que tout le monde restait cloîtré chez soi. 

9 commentaires:

Laetitia Sw. a dit…

Pero sabían que sí existían porque las madrugadas estaban acompañadas de esos chillidos enloquecedores que hacían que nadie se atreviera a salir de sus hogares.

1) "las madrugadas estaban acompañadas" : je pense qu'on doit s'éloigner de la traduction littérale. Mais dans quelle mesure ?

2) "que hacían que nadie" : "qui faisaient que personne" : peut-être pas très heureux ?

3) "se atreviera a" : j'ai choisi le verbe "oser" : on a bien fait de mettre ce verbe en réserve un peu plus haut...

4) "salir de sus hogares" : "sortir de chez lui / soi" ?

Mais ils savaient qu’ils existaient réellement parce que dès l'aube, on entendait leurs couinements affolants qui faisaient que personne n’osait sortir de chez lui.

Elena a dit…

Et pourtant, ils savaient qu'ils existaient parce qu'ils entendaient toujours à l'aube ces glapissements exaspérants, de sorte que tout le monde restait chez soi.

J'ai contourné "personne", nous l'avons déjà plusieurs fois.

Elena a dit…

3) Nous avons "oser" une fois…

Tradabordo a dit…

1) Oui pour « Et pourtant » ; ça fait un bon enchaînement.

2) Je me demande si ça ne serait pas plus fort avec « ils n'ignoraient pas » plutôt que « ils savaient ». Qu'en pensez-vous ?

3) Pour al suite, vous avez toutes les deux changé et c'est dommage ; revenez à la V.O.

Laetitia Sw. a dit…

Et pourtant, ils n'ignoraient pas qu'ils existaient parce que le lever du soleil s'accompagnait de ces couinements épouvantables, de sorte que tout le monde restait chez soi.

Tradabordo a dit…

Et pourtant, ils n'ignoraient pas qu'ils existaient parce que le lever du soleil s'accompagnait de ces couinements épouvantables, de sorte que tout le monde restait chez soi.

Je te propose :

Et pourtant, ils ne pouvaient ignorer qu'ils existaient, chaque lever du soleil étant immanquablement accompagné de ces couinements, tellement épouvantables que tout le monde restait cloîtré chez soi.

Elena a dit…

Et pourtant, ils ne pouvaient ignorer qu'ils existaient, chaque lever du soleil étant immanquablement accompagné de ces couinements, tellement épouvantables que tout le monde restait cloîtré chez soi.

On répète "couinements" ?

Laetitia Sw. a dit…

C'est parfait !

Tradabordo a dit…

Et pourtant, ils ne pouvaient ignorer qu'ils existaient, chaque lever du soleil étant immanquablement accompagné de ces couinements, tellement épouvantables que tout le monde restait cloîtré chez soi.

On verra après pour « couinements ».