mercredi 31 octobre 2012

Les Lituma – phrases 136-137

Llamé al consulado peruano para que hicieran algo con mi compatriota. La voz de quien me contestó se mostró consternada,  dolida y solidaria: era necesario actuar lo más pronto posible, era inconcebible dejar el cuerpo de un conciudadano sin sepultura y lejos de su familia. “Ya había ocurrido que un peruano se suicidara a comienzos de invierno”, escuché decir del otro lado.

Traduction temporaire :
Je téléphonai au consulat du Pérou pour qu'on s'occupe de mon ami. La voix de la personne qui me répondit laissa percer de la consternation, de la peine et de la solidarité : il fallait agir au plus vite car il était inconcevable de laisser le corps d'un concitoyen sans sépulture et loin de sa famille. « Il était déjà arrivé qu'un Péruvien se suicide au début de l'hiver » – entendis-je à l'autre bout du fil.

6 commentaires:

Elodie a dit…

J’appelai le consulat péruvien pour qu’ils fassent quelque chose de mon compatriote. La voix de la personne qui me répondit se montra consternée, triste et solidaire: il était nécessaire d’agir le plus rapidement possible, il était inconcevable de laisser le corps d’un concitoyen sans sépulture et loin de sa famille. « Il était déjà arrivé qu’un Péruvien se suicide au début de l’hiver » j’entendis dire de l’autre côté.

Justine a dit…

Je téléphonai au consulat péruvien pour qu'ils fasse quelque chose pour mon ami. La voix de la personne qui me répondit fut consternée, peinée et solidaire : il fallait agir au plus vite, il était inconcevable de laisser le corps d'un concitoyen sans sépulture et loin de sa famille. « Il était déjà arrivé qu'un Péruvien se suicide au début de l'hiver » – entendis-je à l'autre bout du fil.

Tradabordo a dit…

« téléphoner » ou « appeler » ; ça dépend de la fréquence d'usage de l'un et l'autre de ces verbes jusque-là. Regardez.

« péruvien » ou « du Pérou » ?

« pour qu’ils fassent quelque chose de mon compatriote » ; « qu'on » serait mieux. Et je me demande si un autre verbe ne serait pas plus indiqué.

Élodie : espace avant les deux points !!!!!

« La voix de la personne qui me répondit se montra consternée, triste et solidaire » ; passez par « laisser percer ».

Oui pour « il fallait ».

« CAR il était inconcevable »

« « Il était déjà arrivé qu'un Péruvien se suicide au début de l'hiver » – entendis-je à l'autre bout du fil. » : OUI

Justine a dit…

On a déjà « appeler »

Je téléphonai au consulat du Pérou pour qu'on s'occupe de mon ami. La voix de la personne qui me répondit laissa percer de la consternation,de la peine et de la solidarité : il fallait agir au plus vite car il était inconcevable de laisser le corps d'un concitoyen sans sépulture et loin de sa famille. « Il était déjà arrivé qu'un Péruvien se suicide au début de l'hiver » – entendis-je à l'autre bout du fil.

Tradabordo a dit…

Oui, mais je suppose qu'on a « téléphoner » aussi (quand il essaie de le joindre chez lui) ; donc, la question est la fréquence de l'usage. OK pour le reste.

Je téléphonai au consulat du Pérou pour qu'on s'occupe de mon ami. La voix de la personne qui me répondit laissa percer de la consternation, de la peine et de la solidarité : il fallait agir au plus vite car il était inconcevable de laisser le corps d'un concitoyen sans sépulture et loin de sa famille. « Il était déjà arrivé qu'un Péruvien se suicide au début de l'hiver » – entendis-je à l'autre bout du fil.

Sonita a dit…

OK.

Je téléphonai au consulat du Pérou pour qu'on s'occupe de mon ami. La voix de la personne qui me répondit laissa percer de la consternation, de la peine et de la solidarité : il fallait agir au plus vite car il était inconcevable de laisser le corps d'un concitoyen sans sépulture et loin de sa famille. « Il était déjà arrivé qu'un Péruvien se suicide au début de l'hiver » – entendis-je à l'autre bout du fil.