mardi 30 octobre 2012

Les Pachacamac – phrase 204

Treinta años más tarde, Rosario Santillán, tiró la toalla y después de tener su último orgasmo, como ella decía, decidió ser la matrona y guía de una treintena de jovencitas venidas de todo el país y otras tantas veteranas, algunas ya con cinco hijos sin padre conocido y unos nueve travestis y homosexuales peluqueros que hacían extras en la noche vendiendo su cuerpo y que trabajan diariamente en las inmediaciones del Aeropuerto Jorge Benzaquen Rengifo abandonado años atrás y que era una mala gestión del padre de Pedro Panduro.

Traduction temporaire :
Trente ans après, Rosario Santillán avait jeté l'éponge et, à peine avait-elle eu son dernier orgasme, pour reprendre ses propres termes,  qu'elle avait décidé de devenir la mère maquerelle et le guide d'une trentaine de jeunes filles venues de tout le pays et d'autant de véteranes – certaines ayant déjà cinq enfants de père inconnu – et de neuf travestis et homosexuels,  des coiffeurs qui faisaient des extras la nuit en vendant leur corps, et travaillaient le jour aux abords de l'Aéroport Jorge Benzaquen Rengifo desaffecté depuis des années – fruit d'une mauvaise gestion du père de Pedro Panduro.

10 commentaires:

Justine a dit…

Trente ans après, Rosario Santillán, avait jeté sa serviette et dès qu'elle avait eu son dernier orgasme, c'était ses mots, elle avait décidé de devenir la matrone et le guide d'une trentaine de jouvencelles venues de tout le pays et d'autant de véterannes – certaines ayant déjà cinq enfants de père inconnu – et de neuf travestis et homosexuels, coiffeurs, qui faisaient des extras la nuit, vendant leur corps, et travaillaient le jour aux abords de l'Aéroport Jorge Benzaquen Rengifo desaffecté depuis des années ; fruit d'une mauvaise gestion du père de Pedro Panduro.

Tradabordo a dit…

Trente ans après, Rosario Santillán, avait jeté sa serviette [??????????????]



et dès qu'elle avait eu son dernier orgasme, c'était ses mots, elle avait décidé de devenir la matrone et le guide d'une trentaine de jouvencelles venues de tout le pays et d'autant de véterannes – certaines ayant déjà cinq enfants de père inconnu – et de neuf travestis et homosexuels, coiffeurs, qui faisaient des extras la nuit, vendant leur corps, et travaillaient le jour aux abords de l'Aéroport Jorge Benzaquen Rengifo desaffecté depuis des années ; fruit d'une mauvaise gestion du père de Pedro Panduro.

Justine a dit…

Trente ans après, Rosario Santillán, avait rendu son tablier et dès qu'elle avait eu son dernier orgasme, c'était ses mots, elle avait décidé de devenir la matrone et le guide d'une trentaine de jouvencelles venues de tout le pays et d'autant de véterannes – certaines ayant déjà cinq enfants de père inconnu – et de neuf travestis et homosexuels, coiffeurs, qui faisaient des extras la nuit, vendant leur corps, et travaillaient le jour aux abords de l'Aéroport Jorge Benzaquen Rengifo desaffecté depuis des années ; fruit d'une mauvaise gestion du père de Pedro Panduro.


Tradabordo a dit…

Trente ans après, Rosario Santillán, avait rendu son tablier [ou « jeté l'éponge » ? Je te laisse trancher] et dès qu'elle [passe par « à peine »] avait eu son dernier orgasme, c'était ses mots [« pour reprendre ses propres termes »], elle avait décidé de devenir la matrone [j'ai un doute… Es-tu certaine qu'on le dit comme ça dans le milieu de la prostitution ; vérifie dans Le Robert] et le guide d'une trentaine de jouvencelles [mal dit ici] venues de tout le pays et d'autant de véterannes [orthographe] – certaines ayant déjà cinq enfants de père inconnu – et de neuf travestis et homosexuels, coiffeurs, qui faisaient des extras la nuit, [sans la virgule + « en »] vendant leur corps, et travaillaient le jour aux abords de l'Aéroport Jorge Benzaquen Rengifo desaffecté depuis des années ; fruit d'une mauvaise gestion du père de Pedro Panduro.

Justine a dit…

Dans le robert le 4 ème sens de « Matrone » est : Tenancière d'une maison de prostitution.Sinon « Mère maquerelle » est-il trop familier ?

Trente ans après, Rosario Santillán, avait jeté l'éponge et à peine avait-elle eu son dernier orgasme, pour reprendre ses propres termes, qu'elle avait décidé de devenir la mère maquerelle et le guide d'une trentaine de jeunes filles venues de tout le pays et d'autant de véteranes – certaines ayant déjà cinq enfants de père inconnu – et de neuf travestis et homosexuels, coiffeurs, qui faisaient des extras la nuit en vendant leur corps, et travaillaient le jour aux abords de l'Aéroport Jorge Benzaquen Rengifo desaffecté depuis des années ; fruit d'une mauvaise gestion du père de Pedro Panduro.

Tradabordo a dit…

Je fais un peu de ménage dans la ponctuation :

Trente ans après, Rosario Santillán avait jeté l'éponge et, à peine avait-elle eu son dernier orgasme, pour reprendre ses propres termes, qu'elle avait décidé de devenir la mère maquerelle et le guide d'une trentaine de jeunes filles venues de tout le pays et d'autant de véteranes – certaines ayant déjà cinq enfants de père inconnu – et de neuf travestis et homosexuels, des coiffeurs qui faisaient des extras la nuit en vendant leur corps, et travaillaient le jour aux abords de l'Aéroport Jorge Benzaquen Rengifo desaffecté depuis des années ; fruit d'une mauvaise gestion du père de Pedro Panduro.

OK ?

Justine a dit…

Trente ans après, Rosario Santillán avait jeté l'éponge et, à peine avait-elle eu son dernier orgasme, pour reprendre ses propres termes, qu'elle avait décidé de devenir la mère maquerelle et le guide d'une trentaine de jeunes filles venues de tout le pays et d'autant de véteranes – certaines ayant déjà cinq enfants de père inconnu – et de neuf travestis et homosexuels, des coiffeurs qui faisaient des extras la nuit en vendant leur corps, et travaillaient le jour aux abords de l'Aéroport Jorge Benzaquen Rengifo desaffecté depuis des années ; fruit d'une mauvaise gestion du père de Pedro Panduro.

OK.

Tradabordo a dit…

Perrine ?

perrine a dit…

Je ne suis pas sûre du point-virgule de la fin, je mettrais plutôt un autre tiret semi-cadratin, non ?

Trente ans après, Rosario Santillán avait jeté l'éponge et, à peine avait-elle eu son dernier orgasme, pour reprendre ses propres termes, qu'elle avait décidé de devenir la mère maquerelle et le guide d'une trentaine de jeunes filles venues de tout le pays et d'autant de véteranes – certaines ayant déjà cinq enfants de père inconnu – et de neuf travestis et homosexuels, des coiffeurs qui faisaient des extras la nuit en vendant leur corps, et travaillaient le jour aux abords de l'Aéroport Jorge Benzaquen Rengifo desaffecté depuis des années – fruit d'une mauvaise gestion du père de Pedro Panduro.

Tradabordo a dit…

OK.