lundi 29 octobre 2012

Les Pachacamac – phrases 202-203

Tarde se dio cuenta que estaba muy lejos de la capital y que ejercía clandestinamente la prostitución. Así con los ojos abiertos a la realidad y sus dieciocho años llegó a Ítaca y empezó con un trabajo que aún no era conocido en ese pueblo pero que la recibió bien y sobre todo no le discriminaba por su condición de meretriz.

Traduction temporaire :
Bien plus tard, elle s'était rendu compte qu'elle était très loin de la capitale et se livrait clandestinement à la prostitution. C'est ainsi, regardant la réalité les yeux bien ouverts et du haut de ses dix-huit ans, qu'elle était arrivée à Ítaca et avait débuté dans une profession encore méconnue dans cette contrée, où elle avait été bien accueillie et où, surtout, elle ne subissait pas la moindre discrimination à cause de sa condition de prostituée.

10 commentaires:

Justine a dit…

Tard, elle s'était rendu compte qu'elle était très loin de la capitale et qu'elle se livrait clandestinement à la prostitution. Du haut de ses dix-huit ans, les yeux ouverts sur la réalité, elle était arrivée à Ítaca et avait débuté dans une profession encore méconnue dans cette contrée, où elle avait été bien accueillie et surtout ne subissait pas la moindre discrimination malgré sa condition de prostituée.

Tradabordo a dit…

« Tard [« trop » ? « plus » ? Ajoute ce que tu veux… mais tu ne peux pas le laisser comme ça], elle s'était rendu compte qu'elle était très loin de la capitale et qu'elle se livrait clandestinement à la prostitution. »

« Du haut de ses dix-huit ans, les yeux ouverts sur la réalité [ça ne marchait pas en gardant la syntaxe de la V.O. Montre voir… On décidera ensemble si le changement s'impose effectivement], elle était arrivée à Ítaca et avait débuté dans une profession encore méconnue dans cette contrée, où elle avait été bien accueillie et surtout ne subissait pas la moindre discrimination malgré sa condition de prostituée. »

Tradabordo a dit…

« Tard [« trop » ? « plus » ? Ajoute ce que tu veux… mais tu ne peux pas le laisser comme ça], elle s'était rendu compte qu'elle était très loin de la capitale et qu'elle se livrait clandestinement à la prostitution. »

« Du haut de ses dix-huit ans, les yeux ouverts sur la réalité [ça ne marchait pas en gardant la syntaxe de la V.O. Montre voir… On décidera ensemble si le changement s'impose effectivement], elle était arrivée à Ítaca et avait débuté dans une profession encore méconnue dans cette contrée, où elle avait été bien accueillie et surtout ne subissait pas la moindre discrimination malgré sa condition de prostituée. »

Justine a dit…

Bien plus tard, elle s'était rendu compte qu'elle était très loin de la capitale et qu'elle se livrait clandestinement à la prostitution. Les yeux ouverts sur la réalité et du haut de ses dix-huit ans, elle était arrivée à Ítaca et avait débuté dans une profession encore méconnue dans cette contrée, où elle avait été bien accueillie et surtout ne subissait pas la moindre discrimination malgré sa condition de prostituée.

Tradabordo a dit…

Bien [pourquoi « bien » ? Un élément dans le texte pour étayer ?] plus tard, elle s'était rendu compte qu'elle était très loin de la capitale et qu'elle [on peut le supprimer ? J'hésite] se livrait clandestinement à la prostitution. Les yeux ouverts sur la réalité [ajoute le verbe « regarder »] et [virgule à la place de « et »] du haut de ses dix-huit ans, elle était arrivée à Ítaca et avait débuté dans une profession encore méconnue dans cette contrée, où elle avait été bien accueillie et [répète « où »] + [virgule] surtout [virgule + « elle »] ne subissait pas la moindre discrimination malgré [« por » en V.O. ; là, tu interprètes au lieu de traduire] sa condition de prostituée.

Justine a dit…

Parce qu'on passe de 15 ans quand elle cherche un moyen de survie à 18 maintenant.

Bien plus tard, elle s'était rendu compte qu'elle était très loin de la capitale et se livrait clandestinement à la prostitution. Les yeux ouverts sur la réalité qu'elle regardait, du haut de ses dix-huit ans, elle était arrivée à Ítaca et avait débuté dans une profession encore méconnue dans cette contrée, où elle avait été bien accueillie et où, surtout, elle ne subissait pas la moindre discrimination à cause de sa condition de prostituée.

Tradabordo a dit…

OK pour l'argument.

Bien plus tard, elle s'était rendu compte qu'elle était très loin de la capitale et se livrait clandestinement à la prostitution. Les yeux ouverts sur la réalité qu'elle regardait [bah non… « les yeux ouverts », ça doit venir après], du haut de ses dix-huit ans, elle était arrivée à Ítaca et avait débuté dans une profession encore méconnue dans cette contrée, où elle avait été bien accueillie et où, surtout, elle ne subissait pas la moindre discrimination à cause de sa condition de prostituée.

Justine a dit…

Bien plus tard, elle s'était rendu compte qu'elle était très loin de la capitale et se livrait clandestinement à la prostitution. Elle regardait la réalité les yeux ouverts, du haut de ses dix-huit ans, elle était arrivée à Ítaca et avait débuté dans une profession encore méconnue dans cette contrée, où elle avait été bien accueillie et où, surtout, elle ne subissait pas la moindre discrimination à cause de sa condition de prostituée.



Tradabordo a dit…

Bien plus tard, elle s'était rendu compte qu'elle était très loin de la capitale et se livrait clandestinement à la prostitution. Elle regardait la réalité les yeux ouverts, du haut de ses dix-huit ans, elle était arrivée à Ítaca et avait débuté dans une profession encore méconnue dans cette contrée, où elle avait été bien accueillie et où, surtout, elle ne subissait pas la moindre discrimination à cause de sa condition de prostituée.

Un petit problème… Je te propose :

Bien plus tard, elle s'était rendu compte qu'elle était très loin de la capitale et se livrait clandestinement à la prostitution. C'est ainsi, regardant la réalité les yeux bien ouverts et du haut de ses dix-huit ans, qu'elle était arrivée à Ítaca et avait débuté dans une profession encore méconnue dans cette contrée, où elle avait été bien accueillie et où, surtout, elle ne subissait pas la moindre discrimination à cause de sa condition de prostituée.

OK ?

Justine a dit…

Bien plus tard, elle s'était rendu compte qu'elle était très loin de la capitale et se livrait clandestinement à la prostitution. C'est ainsi, regardant la réalité les yeux bien ouverts et du haut de ses dix-huit ans, qu'elle était arrivée à Ítaca et avait débuté dans une profession encore méconnue dans cette contrée, où elle avait été bien accueillie et où, surtout, elle ne subissait pas la moindre discrimination à cause de sa condition de prostituée.

OK.