mercredi 31 octobre 2012

Les Pachacamac – phrases 210-211

La joven mulata quedó en la mente de Rogelio todo el resto de la mañana. Sus caderas y sus largas piernas bien torneadas y sin un ápice de vello hicieron al muchacho estremecerse y justamente sabiendo que era imposible que se volvieran a ver, quiso proponer a Pablo que pasara por última vez por la casucha del barrio de Morales para despedirse de ella.

Traduction temporaire :
La jeune mulâtresse occupa les pensées de Rogelio le reste de la matinée. Ses hanches et ses longues jambes, joliment galbées et sans le moindre poil, avaient ébranlées le jeune homme, qui, sachant justement qu'il était impossible qu'ils se revoient, voulut proposer à Pablo de passer une dernière fois par la petite maison du quartier de Morales pour lui dire au revoir.

5 commentaires:

Justine a dit…

La jeune mulâtresse occupa les pensées de Rogelio tout le reste de la matinée. Ses hanches et ses longues jambes, joliment galbées et sans une once de duvet, ébranlèrent le jeune homme qui, sachant justement qu'il était impossible qu'ils se revoient, voulut proposer à Pablo de passer une dernière fois par la petite maison du quartier de Morales pour lui dire au revoir.

Tradabordo a dit…

La jeune mulâtresse occupa les pensées de Rogelio tout [on peut supprimer « tout » ?] le reste de la matinée.

Ses hanches et ses longues jambes, joliment galbées et sans une once de duvet [je pense qu'il faut être plus précis : « sans le moindre poil » ?], ébranlèrent [passé simple ou PQP ?] le jeune homme qui, sachant justement qu'il était impossible qu'ils se revoient, voulut proposer à Pablo de passer une dernière fois par la petite maison du quartier de Morales pour lui dire au revoir.

Justine a dit…

La jeune mulâtresse occupa les pensées de Rogelio le reste de la matinée. Ses hanches et ses longues jambes, joliment galbées et sans le moindre poil, avaient ébranlées le jeune homme qui, sachant justement qu'il était impossible qu'ils se revoient, voulut proposer à Pablo de passer une dernière fois par la petite maison du quartier de Morales pour lui dire au revoir.

Tradabordo a dit…

La jeune mulâtresse occupa les pensées de Rogelio le reste de la matinée. Ses hanches et ses longues jambes, joliment galbées et sans le moindre poil, avaient ébranlées le jeune homme, qui, sachant justement qu'il était impossible qu'ils se revoient, voulut proposer à Pablo de passer une dernière fois par la petite maison du quartier de Morales pour lui dire au revoir.

OK.

Perrine ?

perrine a dit…

OK.