samedi 24 novembre 2012

Les Lituma – phrase 269

Cada vez que subía a un avión y veía a todos los Juanes del vuelo que, impertérritos y solitarios, miraban al vacío, yo decidía esquivarlos, negarles la conversación; entonces, abría mi libro y me zambullía en la historia que me contaba la novela con la que subía al avión hasta que la voz del piloto anunciaba el aterrizaje en Charles de Gaulle, París, veinte grados de temperatura.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

5 commentaires:

Sonita a dit…

À chaque fois que je montais dans un avion et regardais tous les Juans du vol, qui, imperturbables et solitaires, regardaient dans le vide, moi, je décidais de les esquiver, de leur refuser la conversation. Alors, j’ouvrais mon livre et je me plongeais dans la lecture de l’histoire que me racontait le roman avec lequel j’étais monté à bord jusqu’à ce que la voix du pilote annonce l’atterrissage à Charles de Gaulle, Paris, vingt degrés.

Tradabordo a dit…

À [supprime le « À »] chaque fois que je montais dans un avion et [cheville : « que »] regardais [voir !] tous les Juans du vol [mal dit], qui, imperturbables et solitaires, regardaient dans le vide, moi [supprime], je décidais [avec « préférer » ?] de les esquiver [mal dit], de leur refuser la conversation [mal dit]. Alors [pas besoin], j’ouvrais mon livre et je me plongeais dans la lecture de l’histoire que me racontait le roman avec lequel j’étais monté à bord [virgule !!!!!!] jusqu’à ce que la voix du pilote annonce l’atterrissage à Charles de Gaulle, Paris, vingt degrés.

Sonita a dit…

Chaque fois que je montais dans un avion et que je voyais tous les Juans de l'avion, qui, imperturbables et solitaires, regardaient dans le vide, je préférais les éviter, refuser de leur faire la conversation. J’ouvrais mon livre et je me plongeais dans la lecture de l’histoire que me racontait le roman avec lequel j’étais monté à bord, jusqu’à ce que la voix du pilote annonce l’atterrissage à Charles de Gaulle, Paris, vingt degrés.

Tradabordo a dit…

Chaque fois que je montais dans un avion et que je voyais tous les Juans de l'avion, qui, imperturbables et solitaires, regardaient dans le vide, je préférais les éviter, refuser de leur faire la conversation. J’ouvrais mon livre et je me plongeais dans la lecture de l’histoire que me racontait le roman avec lequel j’étais monté à bord, jusqu’à ce que la voix du pilote annonce l’atterrissage à Charles de Gaulle, Paris, vingt degrés.

OK.

Validation d'une autre Lituma, svp.

Elodie a dit…

Chaque fois que je montais dans un avion et que je voyais tous les Juans de l'avion, qui, imperturbables et solitaires, regardaient dans le vide, je préférais les éviter, refuser de leur faire la conversation. J’ouvrais mon livre et je me plongeais dans la lecture de l’histoire que me racontait le roman avec lequel j’étais monté à bord, jusqu’à ce que la voix du pilote annonce l’atterrissage à Charles de Gaulle, Paris, vingt degrés.

OK.