jeudi 27 décembre 2012

Projet Céline – phrase 42

Desde luego, él ocupaba un extremo del vagón, iba sentado junto a la ventanilla y nadie se había sentado junto a él, tampoco nadie estaba ocupando el asiento frontero, sí, probablemente ese tren no iba lejos, lo que le inquietaba un poco, pues él deseaba, y de había nacido probablemente su decisión de irse, de irse para siempre, pero cuando miraba las redes donde se alineaban las maleas, cuando volvía la vista atrás para cerciorarse de su duda o de su seguridad, se daba cuenta de que si eran pocos los viajeros que iban con él,  llevaban muchas, muchísimas maletas, con ese aspecto y ese olor peculiar de las valijas,  sacos de mano,  tapados que han viajado por muchos climas, que han atravesado montañas tapizadas por la nieve y colinas sembradas de amables casitas, que han respirado y aspirado humos de chimeneas lejanas, chimeneas industriales,  chimeneas de albergos, chimeneas de simples residencias aldeanas, probablemente, entonces,  ese tren iba más lejos de lo que él suponía y esto lo tranquilizaba, pero en esa tranquilidad se deslizaba también una agradable duda.

Traduction temporaire :
Naturellement, il était à un bout du wagon, assis près de la fenêtre et, naturellement, personne ne s’était installé à côté de lui, ni en face ; oui, ce train n’allait probablement pas loin, ce qui l’inquiétait vaguement dans la mesure où il souhaitait, au contraire, que ce fût le cas – raison qui l’avait sans doute incité à prendre la décision de partir, de partir pour toujours. Et cependant, quand il regardait les filets dans lesquels les bagages s’alignaient, quand il jetait un coup d'œil derrière lui pour évaluer ses doutes ou ses certitudes, il se rendait compte que si,  effectivement,  peu de voyageurs l’entouraient, ils transportaient de nombreux, très nombreux bagages, avec cet aspect et cette odeur particulière qu'ont les valises, les sacs à main, les manteaux ayant voyagé sous quantité de climats, franchi des montagnes tapissées de neige et des collines parsemées de charmantes maisonnettes, respiré et aspiré des fumées de cheminées lointaines, de cheminées industrielles, de cheminées d’auberges,  de cheminées de simples habitations rurales ; au vu de cela, il était probable que ce train allât plus loin que ce qu’il supposait, déduction qui le tranquillisait, à cette restriction près que dans cette tranquillité se glissait également une agréable incertitude.

14 commentaires:

Unknown a dit…

Naturellement, il occupait une extrémité du wagon ; il était assis près de la fenêtre et personne n’avait pris place à côté de lui, personne non plus ne se trouvait sur le siège d’en face ; oui, probablement, ce train n’allait pas loin, ce qui l’inquiétait un peu car il souhaitait que ce fût le cas – et c’était sans doute de là qu’était née sa décision de partir, de partir pour toujours. Cependant, quand il regardait les filets dans lesquels les bagages s’alignaient, quand il regardait derrière lui pour s’assurer de son doute ou de sa certitude, il se rendait compte que si peu de voyageurs l’entouraient, ils transportaient de nombreux, très nombreux bagages, avec cet aspect et cette odeur particulière des valises, des sacs à main, des manteaux qui ont voyagé sous de nombreux climats, qui ont traversé des montagnes tapissées de neige et des collines parsemées de charmantes petites maisons, qui ont respiré et aspiré des fumées de cheminées lointaines, de cheminées industrielles, de cheminées d’auberges, de cheminées de simples habitations de village ; probablement, alors, ce train allait plus loin de ce qu’il supposait et cela le tranquillisait, mais dans cette tranquillité se glissait également un agréable doute.

Tradabordo a dit…

Desde luego, él ocupaba un extremo del vagón, iba sentado junto a la ventanilla y nadie se había sentado junto a él,
Naturellement, il occupait une extrémité du wagon [je me demande si la trad littérale fonctionne en français ; je veux dire est-ce quelque chose que tu diras spontanément en français ? Un doute…] ; il [ou « , était assis » ?] était assis près de la fenêtre et personne n’avait pris place [ou avec « s'installer » ?] à côté de lui,

Fais déjà ça…

Unknown a dit…

Naturellement, il était à un bout du wagon, assis près de la fenêtre et personne ne s’était installé à côté de lui, personne non plus ne se trouvait sur le siège d’en face ; oui, probablement, ce train n’allait pas loin, ce qui l’inquiétait un peu car il souhaitait que ce fût le cas – et c’était sans doute de là qu’était née sa décision de partir, de partir pour toujours. Cependant, quand il regardait les filets dans lesquels les bagages s’alignaient, quand il regardait derrière lui pour s’assurer de son doute ou de sa certitude, il se rendait compte que si peu de voyageurs l’entouraient, ils transportaient de nombreux, très nombreux bagages, avec cet aspect et cette odeur particulière des valises, des sacs à main, des manteaux qui ont voyagé sous de nombreux climats, qui ont traversé des montagnes tapissées de neige et des collines parsemées de charmantes petites maisons, qui ont respiré et aspiré des fumées de cheminées lointaines, de cheminées industrielles, de cheminées d’auberges, de cheminées de simples habitations de village ; probablement, alors, ce train allait plus loin de ce qu’il supposait et cela le tranquillisait, mais dans cette tranquillité se glissait également un agréable doute.

Tradabordo a dit…

Naturellement, il était à un bout du wagon, assis près de la fenêtre et personne ne s’était installé à côté de lui, personne non plus ne se trouvait sur [supprime tout ça et simplifie avec un rapide enchaînement avec ce qui précède ; ça suffira] le siège d’en face ;

; oui, probablement [déplace-le], ce train n’allait pas loin, ce [ou un truc du genre « déduction » ?] qui l’inquiétait un peu [ou « vaguement » ?] car [ou « dans la mesure où » ?] il souhaitait [cheville « au contraire » ?] que ce fût le cas – et c’était sans doute de là [pas très clairement formulé] qu’était née sa décision de partir, de partir pour toujours.

Unknown a dit…

Naturellement, il était à un bout du wagon, assis près de la fenêtre et personne ne s’était installé à côté de lui, ni sur le siège d’en face ; oui, ce train n’allait probablement pas loin, ce qui l’inquiétait vaguement dans la mesure où il souhaitait, au contraire, que ce fût le cas – et c’était sans doute ce qui l’avait amené à prendre la décision de partir, de partir pour toujours. Cependant, quand il regardait les filets dans lesquels les bagages s’alignaient, quand il regardait derrière lui pour s’assurer de son doute ou de sa certitude, il se rendait compte que si peu de voyageurs l’entouraient, ils transportaient de nombreux, très nombreux bagages, avec cet aspect et cette odeur particulière des valises, des sacs à main, des manteaux qui ont voyagé sous de nombreux climats, qui ont traversé des montagnes tapissées de neige et des collines parsemées de charmantes petites maisons, qui ont respiré et aspiré des fumées de cheminées lointaines, de cheminées industrielles, de cheminées d’auberges, de cheminées de simples habitations de village ; probablement, alors, ce train allait plus loin de ce qu’il supposait et cela le tranquillisait, mais dans cette tranquillité se glissait également un agréable doute.

Tradabordo a dit…

Naturellement, il était à un bout du wagon, assis près de la fenêtre et personne ne s’était installé à côté de lui, ni sur le siège d’en face [est-ce que « en face » tout seul ne suffit pas ?] ; oui, ce train n’allait probablement pas loin, ce qui l’inquiétait vaguement dans la mesure où il souhaitait, au contraire, que ce fût le cas – et c’était [ou « raison » ?] sans doute ce qui l’avait amené à prendre la décision de partir, de partir pour toujours.

Unknown a dit…

Naturellement, il était à un bout du wagon, assis près de la fenêtre et personne ne s’était installé à côté de lui, ni en face ; oui, ce train n’allait probablement pas loin, ce qui l’inquiétait vaguement dans la mesure où il souhaitait, au contraire, que ce fût le cas –raison qui l’avait sans doute amené à prendre la décision de partir, de partir pour toujours. Cependant, quand il regardait les filets dans lesquels les bagages s’alignaient, quand il regardait derrière lui pour s’assurer de son doute ou de sa certitude, il se rendait compte que si peu de voyageurs l’entouraient, ils transportaient de nombreux, très nombreux bagages, avec cet aspect et cette odeur particulière des valises, des sacs à main, des manteaux qui ont voyagé sous de nombreux climats, qui ont traversé des montagnes tapissées de neige et des collines parsemées de charmantes petites maisons, qui ont respiré et aspiré des fumées de cheminées lointaines, de cheminées industrielles, de cheminées d’auberges, de cheminées de simples habitations de village ; probablement, alors, ce train allait plus loin de ce qu’il supposait et cela le tranquillisait, mais dans cette tranquillité se glissait également un agréable doute.

Tradabordo a dit…

Naturellement, il était à un bout du wagon, assis près de la fenêtre et personne ne s’était installé à côté de lui, ni en face ; oui, ce train n’allait probablement pas loin, ce qui l’inquiétait vaguement dans la mesure où il souhaitait, au contraire, que ce fût le cas – raison qui l’avait sans doute amené [ou « incité » ?] à prendre la décision de partir, de partir pour toujours. [ cheville « Et » ?] Cependant, quand il regardait les filets dans lesquels les bagages s’alignaient, quand il regardait [ou « jeter un coup d'œil » ?] derrière lui pour s’assurer [le verbe est bizarre pour les deux substantifs qui suivent, non ?] de son doute ou de sa certitude, il se rendait compte que si peu [il m'a fallu relire deux fois pour comprendre que ce n'est pas exclamatif ; imaginons que le lecteur lambda peut réagit comme moi et trouvons une solution pour éviter la confusion… pour le « que si peu »] de voyageurs l’entouraient, ils transportaient de nombreux, très nombreux bagages, avec cet aspect et cette odeur particulière des [ou « qu'ont » ?] valises, des sacs à main, des manteaux qui ont [ou « ayant » ?] voyagé sous de nombreux [ou « quantité » ?] climats, qui ont [on peut supprimer « qui ont » ?] traversé [ou « franchi » ?] des montagnes tapissées de neige et des collines parsemées de charmantes petites maisons [ou « maisonnettes » ?], qui ont [idem]

Fais déjà ça…

respiré et aspiré des fumées de cheminées lointaines, de cheminées industrielles, de cheminées d’auberges, de cheminées de simples habitations de village ; probablement, alors, ce train allait plus loin de ce qu’il supposait et cela le tranquillisait, mais dans cette tranquillité se glissait également un agréable doute.

Unknown a dit…

Naturellement, il était à un bout du wagon, assis près de la fenêtre et personne ne s’était installé à côté de lui, ni en face ; oui, ce train n’allait probablement pas loin, ce qui l’inquiétait vaguement dans la mesure où il souhaitait, au contraire, que ce fût le cas – raison qui l’avait sans doute incité à prendre la décision de partir, de partir pour toujours. Et cependant, quand il regardait les filets dans lesquels les bagages s’alignaient, quand il jetait un coup d'œil derrière lui pour confirmer son doute ou sa certitude, il se rendait compte que si, effectivement, peu de voyageurs l’entouraient, ils transportaient de nombreux, très nombreux bagages, avec cet aspect et cette odeur particulière qu'ont les valises, les sacs à main, les manteaux ayant voyagé sous quantité de climats, franchi des montagnes tapissées de neige et des collines parsemées de charmantes maisonnettes, respiré et aspiré des fumées de cheminées lointaines, de cheminées industrielles, de cheminées d’auberges, de cheminées de simples habitations de villages ; probablement, alors, ce train allait plus loin que ce qu’il supposait, et cela le tranquillisait, mais dans cette tranquillité se glissait également un agréable doute.

Tradabordo a dit…

Naturellement, il était à un bout du wagon, assis près de la fenêtre et [je me demande si ce ne serait pas intéressant de répéter « naturellement »] personne ne s’était installé à côté de lui, ni en face ; oui, ce train n’allait probablement pas loin, ce qui l’inquiétait vaguement dans la mesure où il souhaitait, au contraire, que ce fût le cas – raison qui l’avait sans doute incité à prendre la décision de partir, de partir pour toujours. Et cependant, quand il regardait les filets dans lesquels les bagages s’alignaient, quand il jetait un coup d'œil derrière lui pour confirmer [ou « évaluer » ?] son doute [au pluriel ?] ou sa certitude, il se rendait compte que si, effectivement, peu de voyageurs l’entouraient, ils transportaient de nombreux, très nombreux bagages, avec cet aspect et cette odeur particulière qu'ont les valises, les sacs à main, les manteaux ayant voyagé sous quantité de climats, franchi des montagnes tapissées de neige et des collines parsemées de charmantes maisonnettes, respiré et aspiré des fumées de cheminées lointaines, de cheminées industrielles, de cheminées d’auberges, de cheminées de simples habitations de villages [avec l'adjectif ?] ; probablement, alors, ce train allait plus loin que ce qu’il supposait [à partir du point-virgule, ça n'est guère naturel… reprends], et cela le tranquillisait, mais [ou « à cette restriction près que »] dans cette tranquillité se glissait également un agréable doute [n'est-ce pas ennuyeux de répéter ? À toi de voir et, le cas échéant, de trouver un synonyme].

Unknown a dit…

Naturellement, il était à un bout du wagon, assis près de la fenêtre et naturellement, personne ne s’était installé à côté de lui, ni en face ; oui, ce train n’allait probablement pas loin, ce qui l’inquiétait vaguement dans la mesure où il souhaitait, au contraire, que ce fût le cas – raison qui l’avait sans doute incité à prendre la décision de partir, de partir pour toujours. Et cependant, quand il regardait les filets dans lesquels les bagages s’alignaient, quand il jetait un coup d'œil derrière lui pour évaluer ses doutes ou ses certitudes, il se rendait compte que si, effectivement, peu de voyageurs l’entouraient, ils transportaient de nombreux, très nombreux bagages, avec cet aspect et cette odeur particulière qu'ont les valises, les sacs à main, les manteaux ayant voyagé sous quantité de climats, franchi des montagnes tapissées de neige et des collines parsemées de charmantes maisonnettes, respiré et aspiré des fumées de cheminées lointaines, de cheminées industrielles, de cheminées d’auberges, de cheminées de simples habitations rurales ; au vu de tout cela, il était probable que ce train allât plus loin que ce qu’il supposait, et cela le tranquillisait, à cette restriction près que dans cette tranquillité se glissait également une agréable incertitude.

Tradabordo a dit…

Naturellement, il était à un bout du wagon, assis près de la fenêtre et, naturellement, personne ne s’était installé à côté de lui, ni en face ; oui, ce train n’allait probablement pas loin, ce qui l’inquiétait vaguement dans la mesure où il souhaitait, au contraire, que ce fût le cas – raison qui l’avait sans doute incité à prendre la décision de partir, de partir pour toujours. Et cependant, quand il regardait les filets dans lesquels les bagages s’alignaient, quand il jetait un coup d'œil derrière lui pour évaluer ses doutes ou ses certitudes, il se rendait compte que si, effectivement, peu de voyageurs l’entouraient, ils transportaient de nombreux, très nombreux bagages, avec cet aspect et cette odeur particulière [au fait, particulier ne va qu'avec « odeur »] qu'ont les valises, les sacs à main, les manteaux ayant voyagé sous quantité de climats, franchi des montagnes tapissées de neige et des collines parsemées de charmantes maisonnettes, respiré et aspiré des fumées de cheminées lointaines, de cheminées industrielles, de cheminées d’auberges, de cheminées de simples [ou est-ce dans le sens de « modestes » ; vérifie] habitations rurales ; au vu de tout [un moyen de faire sans « tout » ?] cela, il était probable que ce train allât plus loin que ce qu’il supposait, et cela [encore un « cela » ; tu en as deux en quelques lignes ; le problème étant qu'ils ne sont pas sur le même plan argumentatif] le tranquillisait, à cette restriction près que dans cette tranquillité se glissait également une agréable incertitude [tu ne l'as pas non plus dans la phrase ?].

Unknown a dit…

Naturellement, il était à un bout du wagon, assis près de la fenêtre et, naturellement, personne ne s’était installé à côté de lui, ni en face ; oui, ce train n’allait probablement pas loin, ce qui l’inquiétait vaguement dans la mesure où il souhaitait, au contraire, que ce fût le cas – raison qui l’avait sans doute incité à prendre la décision de partir, de partir pour toujours. Et cependant, quand il regardait les filets dans lesquels les bagages s’alignaient, quand il jetait un coup d'œil derrière lui pour évaluer ses doutes ou ses certitudes, il se rendait compte que si, effectivement, peu de voyageurs l’entouraient, ils transportaient de nombreux, très nombreux bagages, avec cet aspect et cette odeur particulière qu'ont les valises, les sacs à main, les manteaux ayant voyagé sous quantité de climats, franchi des montagnes tapissées de neige et des collines parsemées de charmantes maisonnettes, respiré et aspiré des fumées de cheminées lointaines, de cheminées industrielles, de cheminées d’auberges, de cheminées de simples habitations rurales ; au vu de cela, il était probable que ce train allât plus loin que ce qu’il supposait, déduction qui le tranquillisait, à cette restriction près que dans cette tranquillité se glissait également une agréable incertitude.

Tradabordo a dit…

Naturellement, il était à un bout du wagon, assis près de la fenêtre et, naturellement, personne ne s’était installé à côté de lui, ni en face ; oui, ce train n’allait probablement pas loin, ce qui l’inquiétait vaguement dans la mesure où il souhaitait, au contraire, que ce fût le cas – raison qui l’avait sans doute incité à prendre la décision de partir, de partir pour toujours. Et cependant, quand il regardait les filets dans lesquels les bagages s’alignaient, quand il jetait un coup d'œil derrière lui pour évaluer ses doutes ou ses certitudes, il se rendait compte que si, effectivement, peu de voyageurs l’entouraient, ils transportaient de nombreux, très nombreux bagages, avec cet aspect et cette odeur particulière qu'ont les valises, les sacs à main, les manteaux ayant voyagé sous quantité de climats, franchi des montagnes tapissées de neige et des collines parsemées de charmantes maisonnettes, respiré et aspiré des fumées de cheminées lointaines, de cheminées industrielles, de cheminées d’auberges, de cheminées de simples habitations rurales ; au vu de cela, il était probable que ce train allât plus loin que ce qu’il supposait, déduction qui le tranquillisait, à cette restriction près que dans cette tranquillité se glissait également une agréable incertitude.

OK.