vendredi 25 janvier 2013

Projet Céline – phrase 53

Cuando estuvo delante de la ventanilla, dijo una sola palabra, Roma, y se dio cuenta de que tendría que apurarse si no quería esperar, por lo menos, una hora, paseándose en el andén, enfriándose en la sala de espera, convertido en el hombre pasivo y apacible del asiento de la sala de espera, del taburete del salón de bebidas, ese que no sabe qué hacer con su vida, es decir con su cuerpo, si echarlo a la basura, incluso a esa basura que es la costumbre y el silencio, o cargar con él una vez mas, como una vieja y personal maleta a la que hay que coger en la mano cuando uno decide irse.

Traduction temporaire :
Quand il se retrouva devant le guichet, il ne prononça qu’un seul mot : Rome ; puis il se rendit compte qu'il lui faudrait se dépêcher s’il ne voulait pas attendre au moins une heure à arpenter le quai, à prendre froid dans la salle d’attente,  devenant l’homme passif et paisible du siège de la salle d’attente, du tabouret du bar, celui qui ne sait pas quoi faire de sa vie, c’est-à-dire de son corps, s’il doit le jeter à la poubelle – y compris cette poubelle que représentent l’habitude et le silence –, ou le traîner une fois encore, comme une vieille valise personnelle qu’il faut porter à la main quand on décide de partir.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Quand il se trouva devant le guichet, il ne prononça qu’un seul mot : Rome ; puis il se rendit compte qu’il devrait se dépêcher s’il ne voulait pas passer au moins une heure à attendre, à se promener sur le quai, à prendre froid dans la salle d’attente, devenant l’homme passif et paisible du siège de la salle d’attente, du tabouret du bar, celui qui ne sait pas quoi faire de sa vie, c’est-à-dire de son corps, s’il doit le jeter à la poubelle – y compris à cette poubelle que représente l’habitude et le silence –, ou le porter une fois encore, comme une vieille valise personnelle qu’il faut prendre avec la main quand on décide de partir.

Tradabordo a dit…

Cuando estuvo delante de la ventanilla, dijo una sola palabra, Roma, y se dio cuenta de que tendría que apurarse si no quería esperar, por lo menos, una hora, paseándose en el andén, enfriándose en la sala de espera, convertido en el hombre pasivo y apacible del asiento de la sala de espera, del taburete del salón de bebidas,

Quand il se trouva [ou « retrouva » ?] devant le guichet, il ne prononça qu’un seul mot : Rome ; puis il se rendit compte qu’il devrait se dépêcher s’il ne voulait pas passer au moins une heure à attendre [tu as changé ; reviens à la V.O. / c'est inutile et tu modifie le rythme de la phrase], à se promener [ou « arpenter » / « faire les cent pas » ?] sur le quai, à prendre froid dans la salle d’attente, devenant l’homme passif et paisible du siège de la salle d’attente, du tabouret du bar,

Unknown a dit…

Quand il se retrouva devant le guichet, il ne prononça qu’un seul mot : Rome ; puis il se rendit compte qu’il devrait se dépêcher s’il ne voulait pas attendre au moins une heure à faire les cent pas sur le quai, à prendre froid dans la salle d’attente, devenant l’homme passif et paisible du siège de la salle d’attente, du tabouret du bar, celui qui ne sait pas quoi faire de sa vie, c’est-à-dire de son corps, s’il doit le jeter à la poubelle – y compris à cette poubelle que représente l’habitude et le silence –, ou le porter une fois encore, comme une vieille valise personnelle qu’il faut prendre avec la main quand on décide de partir.

Tradabordo a dit…

o cargar con él una vez mas, como una vieja y personal maleta a la que hay que coger en la mano cuando uno decide irse.


Quand il se retrouva devant le guichet, il ne prononça qu’un seul mot : Rome ; puis il se rendit compte qu’il devrait [ou « qu'il lui faudrait » ? JTLT] se dépêcher s’il ne voulait pas attendre au moins une heure à faire les cent pas sur le quai, à prendre froid dans la salle d’attente, devenant l’homme passif et paisible du siège de la salle d’attente, du tabouret du bar, celui qui ne sait pas quoi faire [tu as « faire les cent pas » un peu plus haut ; trouve une solution] de sa vie, c’est-à-dire de son corps, s’il doit le jeter à la poubelle – y compris à [pas sûre avec « à »] cette poubelle que représente [ou « ent » ??????] l’habitude et le silence –, ou le porter [pas plus fort en V.O. ?] une fois encore, comme une vieille valise personnelle qu’il faut prendre [du coup, tu peux mettre « porter » ici, non ?] avec [ou « dans » ?] la main quand on décide de partir.

Unknown a dit…

Quand il se retrouva devant le guichet, il ne prononça qu’un seul mot : Rome ; puis il se rendit compte qu'il lui faudrait se dépêcher s’il ne voulait pas attendre au moins une heure à arpenter le quai, à prendre froid dans la salle d’attente, devenant l’homme passif et paisible du siège de la salle d’attente, du tabouret du bar, celui qui ne sait pas quoi faire de sa vie, c’est-à-dire de son corps, s’il doit le jeter à la poubelle – y compris cette poubelle que représentent l’habitude et le silence –, ou le charger une fois encore, comme une vieille valise personnelle qu’il faut porter à la main quand on décide de partir.

Tradabordo a dit…

Quand il se retrouva devant le guichet, il ne prononça qu’un seul mot : Rome ; puis il se rendit compte qu'il lui faudrait se dépêcher s’il ne voulait pas attendre au moins une heure à arpenter le quai, à prendre froid dans la salle d’attente, devenant l’homme passif et paisible du siège de la salle d’attente, du tabouret du bar, celui qui ne sait pas quoi faire de sa vie, c’est-à-dire de son corps, s’il doit le jeter à la poubelle – y compris cette poubelle que représentent l’habitude et le silence –, ou le charger [mal dit / « traîner » ?] une fois encore, comme une vieille valise personnelle qu’il faut porter à la main quand on décide de partir.

Unknown a dit…

Quand il se retrouva devant le guichet, il ne prononça qu’un seul mot : Rome ; puis il se rendit compte qu'il lui faudrait se dépêcher s’il ne voulait pas attendre au moins une heure à arpenter le quai, à prendre froid dans la salle d’attente, devenant l’homme passif et paisible du siège de la salle d’attente, du tabouret du bar, celui qui ne sait pas quoi faire de sa vie, c’est-à-dire de son corps, s’il doit le jeter à la poubelle – y compris cette poubelle que représentent l’habitude et le silence –, ou le traîner une fois encore, comme une vieille valise personnelle qu’il faut porter à la main quand on décide de partir.

Tradabordo a dit…

Quand il se retrouva devant le guichet, il ne prononça qu’un seul mot : Rome ; puis il se rendit compte qu'il lui faudrait se dépêcher s’il ne voulait pas attendre au moins une heure à arpenter le quai, à prendre froid dans la salle d’attente, devenant l’homme passif et paisible du siège de la salle d’attente, du tabouret du bar, celui qui ne sait pas quoi faire de sa vie, c’est-à-dire de son corps, s’il doit le jeter à la poubelle – y compris cette poubelle que représentent l’habitude et le silence –, ou le traîner une fois encore, comme une vieille valise personnelle qu’il faut porter à la main quand on décide de partir.

OK.