lundi 25 février 2013

Projet Élodie – phrases 76-81

— Una vez conocí a un escritor muy joven. Esto fue a principios de los años ochentas. Él trabajaba en una librería del centro que era de un amigo mío. Una librería de libros antiguos, en la calle Junin,  creo. Yo iba por allá a ver a mi amigo y charlaba con él. Se llamaba Cesar Aira, supongo que todavía vive,  ¿no?

Traduction temporaire :
— Un jour, j'ai rencontré un très jeune écrivain. C'était au début des années quatre-vingt. Il travaillait dans une librairie du centre qui appartenait à un de mes amis. Une librairie de livres anciens,  dans la Calle Junin, je crois. J'y allais pour voir mon ami et discuter avec lui. Il s'appelait Cesar Aira ; je suppose qu'il est encore vivant,  non ?

4 commentaires:

Elodie a dit…

— Une fois, j'ai rencontré un écrivain très jeune. C'était au début des années quatre-vingt. Il travaillait dans une librairie du centre qui appartenait à un de mes amis. Une librairie de vieux livres, dans la rue Junin, je crois. J'allais là-bas pour voir mon ami et discuter avec lui. Il s'appelait Cesar Aira, je suppose qu'il est encore vivant, non ?

Tradabordo a dit…

— Une fois [ou « Un jour » ?], j'ai rencontré un écrivain très jeune [essaie avec une autre syntaxe]. C'était au début des années quatre-vingt. Il travaillait dans une librairie du centre qui appartenait à un de mes amis. Une librairie de vieux livres [ou de « livres anciens » ? Je te laisse trancher], dans la rue [ne traduit pas !] Junin, je crois. J'allais là-bas [ou « y » ?] pour voir mon ami et discuter avec lui. Il s'appelait Cesar Aira, [ou point-virgule ?] je suppose qu'il est encore vivant, non ?

Elodie a dit…

— Un jour, j'ai rencontré un très jeune écrivain. C'était au début des années quatre-vingt. Il travaillait dans une librairie du centre qui appartenait à un de mes amis. Une librairie de livres anciens, dans la calle Junin, je crois. J'y allais pour voir mon ami et discuter avec lui. Il s'appelait Cesar Aira ; je suppose qu'il est encore vivant, non ?

Tradabordo a dit…

— Un jour, j'ai rencontré un très jeune écrivain. C'était au début des années quatre-vingt. Il travaillait dans une librairie du centre qui appartenait à un de mes amis. Une librairie de livres anciens, dans la Calle Junin, je crois. J'y allais pour voir mon ami et discuter avec lui. Il s'appelait Cesar Aira ; je suppose qu'il est encore vivant, non ?

OK.