samedi 23 février 2013

Projet Émilie – phrase 17

En los paseos públicos, parques, jardines, cerros, se han prohibido todos los bancos, especialmente los individuales, que han sido quemados simbólicamente por el verdugo oficial, que es sordo y ciego y en una ocasión solemne varios bancos fueron quemados con sus ocupantes, un loco con su madre y un sordomudo con su hermanita, que, como era notorio, acumulaban cantidades de pensamientos sin uso en sus circunvoluciones cerebrales, sacrificio llevado a efecto con mucha fanfarria y pompa para predisponer los espíritus al terror y verificar, sin posibilidad de error, lo que probablemente piensa la gente.

Traduction temporaire :
Le long des promenades publiques, dans les parcs, les jardins, sur les collines, on a interdit tous les bancs, en particulier les bancs individuels, brûlés symboliquement par le bourreau officiel, sourd et aveugle ; lors d'un événement solennel, plusieurs bancs ont été brûlés avec leurs occupants – un fou et sa mère, un sourd-muet et sa petite sœur – qui, c'est de notoriété publique, engrangeaient quantité et quantité de pensées inutiles dans leurs circonvolutions cérébrales ; sacrifice mené en fanfare et en grande pompe afin de prédisposer à la terreur les esprits et avoir le contrôle, sans risque d’erreur, sur ce que pensent probablement les gens.

6 commentaires:

Emilie a dit…

Le long des promenades publiques, dans les parcs, les jardins, les collines, on a interdit tous les bancs, en particulier les bancs individuels, brûlés symboliquement par le bourreau officiel, sourd et aveugle ; dans une occasion solennelle, plusieurs bancs ont été brûlés avec leurs occupants – un fou et sa mère, un sourd-muet et sa petite sœur – qui, comme il était notoire, accumulaient quantité et quantité de pensées inutiles dans leurs circonvolutions cérébrales ; sacrifice accompli en fanfare et en grande pompe afin de prédisposer les esprits à la terreur et vérifier, sans risque d’erreur, ce que pensent probablement les gens.

Tradabordo a dit…

Le long des [ou « Sur » ? comme tu veux] promenades publiques, dans les parcs, les jardins, [« sur » ? Est-ce que ça peut-être régi par « dans » ?] les collines, on a interdit tous les bancs, en particulier les bancs individuels, brûlés symboliquement par le bourreau officiel, sourd et aveugle ; dans une occasion [« en un événement » ?] solennelle, plusieurs bancs ont été brûlés avec leurs occupants – un fou et sa mère, un sourd-muet et sa petite sœur – qui, comme il était notoire [pas très naturel], accumulaient [ou « engranger » ? Comme tu veux…] quantité et quantité de pensées inutiles dans leurs circonvolutions cérébrales ; sacrifice accompli [ou « mené » ?] en fanfare et en grande pompe afin de prédisposer les esprits à la terreur [avance-le] et vérifier [ou « avoir la mainmise » ?], sans risque d’erreur, ce que pensent probablement les gens.

Emilie a dit…

Mais est-ce que "avoir la mainmise" sur" fonctionne avec "sans risque d'erreur", du coup ?
Et faut-il un "d'" avant "avoir la mainmise" ?

Le long des promenades publiques, dans les parcs, les jardins, sur les collines, on a interdit tous les bancs, en particulier les bancs individuels, brûlés symboliquement par le bourreau officiel, sourd et aveugle ; en un événement solennel, plusieurs bancs ont été brûlés avec leurs occupants – un fou et sa mère, un sourd-muet et sa petite sœur – qui, comme tout le monde pouvait le constater, engrangeaient quantité et quantité de pensées inutiles dans leurs circonvolutions cérébrales ; sacrifice mené en fanfare et en grande pompe afin de prédisposer à la terreur les esprits et avoir la mainmise, sans risque d’erreur, sur ce que pensent probablement les gens.

Tradabordo a dit…

Le long des promenades publiques, dans les parcs, les jardins, sur les collines, on a interdit tous les bancs, en particulier les bancs individuels, brûlés symboliquement par le bourreau officiel, sourd et aveugle ; en [ou « lors d' » ?] un événement solennel, plusieurs bancs ont été brûlés avec leurs occupants – un fou et sa mère, un sourd-muet et sa petite sœur – qui, comme tout le monde pouvait le constater [« c'est de notoriété publique » ?], engrangeaient quantité et quantité de pensées inutiles dans leurs circonvolutions cérébrales ; sacrifice mené en fanfare et en grande pompe afin de prédisposer à la terreur les esprits et avoir la mainmise [ou alors « contrôle » ?], sans risque d’erreur, sur ce que pensent probablement les gens.

Emilie a dit…

Le long des promenades publiques, dans les parcs, les jardins, sur les collines, on a interdit tous les bancs, en particulier les bancs individuels, brûlés symboliquement par le bourreau officiel, sourd et aveugle ; lors d'un événement solennel, plusieurs bancs ont été brûlés avec leurs occupants – un fou et sa mère, un sourd-muet et sa petite sœur – qui, c'est de notoriété publique, engrangeaient quantité et quantité de pensées inutiles dans leurs circonvolutions cérébrales ; sacrifice mené en fanfare et en grande pompe afin de prédisposer à la terreur les esprits et avoir le contrôle, sans risque d’erreur, sur ce que pensent probablement les gens.

Tradabordo a dit…

Le long des promenades publiques, dans les parcs, les jardins, sur les collines, on a interdit tous les bancs, en particulier les bancs individuels, brûlés symboliquement par le bourreau officiel, sourd et aveugle ; lors d'un événement solennel, plusieurs bancs ont été brûlés avec leurs occupants – un fou et sa mère, un sourd-muet et sa petite sœur – qui, c'est de notoriété publique, engrangeaient quantité et quantité de pensées inutiles dans leurs circonvolutions cérébrales ; sacrifice mené en fanfare et en grande pompe afin de prédisposer à la terreur les esprits et avoir le contrôle, sans risque d’erreur, sur ce que pensent probablement les gens.

OK.