samedi 23 février 2013

Projet Nadia – phrase 53

Neruda rodaba por casas de pensión, por míseros hoteles, de peldaños gastados, vagaba tristemente iluminado y miserable, por los crepúsculos aleados de la calle Maruri, por los bares, lluviosos de la calle Bandera,  a la hora de la brutal soledad, hacia la madrugada, vuelto su rostro hacia el sur,  vuelta su poesía, a la soledad de la tierra.

Traduction temporaire :
Neruda traînait dans des pensions, des hôtels minables aux marches usées, il errait tristement, éclairé et misérable, dans les crépuscules convalescents de la Calle Maruri, dans les bars pluvieux de la Calle Bandera, à l'heure de la solitude brutale, aux alentours du petit matin, son visage tourné vers le sud, sa poésie tournée vers la solitude de la terre.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Neruda traînait dans des pensions, des hôtels minables aux marches d'escalier usées, il errait tristement, éclairé et misérable, dans les crépuscules amalgamés de la calle Maruri, dans les bars pluvieux de la calle Bandera, à l'heure de la solitude brutale, vers le petit matin, son visage tourné vers le sud, sa poésie tournée vers la solitude de la terre.

Tradabordo a dit…

Neruda traînait dans des pensions, des hôtels minables aux marches d'escalier [obligé ?] usées, il errait tristement, éclairé et misérable, dans les crépuscules amalgamés [pas très heureux… Une autre idée ?] de la Calle Maruri, dans les bars pluvieux de la Calle Bandera, à l'heure de la solitude brutale, vers le [ou « aux alentours de » ?] petit matin, son visage tourné vers le sud, sa poésie tournée vers la solitude de la terre.

Unknown a dit…

Neruda traînait dans des pensions, des hôtels minables aux marches usées, il errait tristement, éclairé et misérable, dans les crépuscules en fusion de la Calle Maruri, dans les bars pluvieux de la Calle Bandera, à l'heure de la solitude brutale, vaux alentours du petit matin, son visage tourné vers le sud, sa poésie tournée vers la solitude de la terre.

Tradabordo a dit…

Neruda traînait dans des pensions, des hôtels minables aux marches usées, il errait tristement, éclairé et misérable, dans les crépuscules en fusion [tu veux dire qui brûle ? Pas un peu ambigu ?] de la Calle Maruri, dans les bars pluvieux de la Calle Bandera, à l'heure de la solitude brutale, aux alentours du petit matin, son visage tourné vers le sud, sa poésie tournée vers la solitude de la terre.

Unknown a dit…

Neruda traînait dans des pensions, des hôtels minables aux marches usées, il errait tristement, éclairé et misérable, dans les crépuscules bigarrés de la Calle Maruri, dans les bars pluvieux de la Calle Bandera, à l'heure de la solitude brutale, aux alentours du petit matin, son visage tourné vers le sud, sa poésie tournée vers la solitude de la terre.

Tradabordo a dit…

Neruda traînait dans des pensions, des hôtels minables aux marches usées, il errait tristement, éclairé et misérable, dans les crépuscules bigarrés [je ne trouve pas les sens que tu indiques dans le dico ; regarde le DRAE et dis-moi…] de la Calle Maruri, dans les bars pluvieux de la Calle Bandera, à l'heure de la solitude brutale, aux alentours du petit matin, son visage tourné vers le sud, sa poésie tournée vers la solitude de la terre.

Unknown a dit…

J'avais pensé qu'il parlait du crépuscule comme un alliage :

Producir una aleación, fundiendo sus componentes..

Mais, finalement j'hésite avec:
3. intr. Dicho de una persona convaleciente o que se repara de algún afán o trabajo: Cobrar aliento o fuerzas. José va aleando.

4. intr. desus. Aspirar a algo o dirigirse con afán hacia ello.

On pourrait dire alors :

Neruda traînait dans des pensions, des hôtels minables aux marches usées, il errait tristement, éclairé et misérable, dans les crépuscules convalescents de la Calle Maruri, dans les bars pluvieux de la Calle Bandera, à l'heure de la solitude brutale, aux alentours du petit matin, son visage tourné vers le sud, sa poésie tournée vers la solitude de la terre.




Tradabordo a dit…

Neruda traînait dans des pensions, des hôtels minables aux marches usées, il errait tristement, éclairé et misérable, dans les crépuscules convalescents de la Calle Maruri, dans les bars pluvieux de la Calle Bandera, à l'heure de la solitude brutale, aux alentours du petit matin, son visage tourné vers le sud, sa poésie tournée vers la solitude de la terre.

Pas mal… Je ne sais pas si c'est le sens, mais ça marche pas mal avec l'ensemble.