mercredi 27 mars 2013

Projet Hélène – phrases 13-14

En el lobby del hotel la mirada del cíclope-guardián (tenía el ojo cubierto por un billete de diez dólares) se clava en mí y comprendo que yo soy su estaca ardiente. Después de aquel día,  “Cómeme” y “Bébeme” no tendrían el mismo significado (que conste que leí a Lewis Carroll muchos años después).

Traduction temporaire :
Dans le hall de l’hôtel, le regard du gardien-cyclope (l'un de ses yeux était aveuglé par un billet de dix dollars) se fixe sur moi et là, je comprends que je suis l'aiguillon de son désir. Après ça, « Mange-moi » et « Bois-moi » n’auraient plus jamais la même signification (notez que j’ai lu Lewis Caroll bien des années après).

7 commentaires:

Hélène a dit…

Dans le hall de l’hôtel, le regard du gardien-cyclope (il avait un œil recouvert par un billet de dix dollars) se fixe sur moi et je comprends que je suis un charbon ardent. Après ça, « Mange-moi » et « Bois-moi » n’auraient plus jamais la même signification (notez que j’ai lu Lewis Caroll bien des années après).

Tradabordo a dit…

Dans le hall de l’hôtel, le regard du gardien-cyclope (il avait un œil [ou : « l'un de ses yeux » ?] recouvert [ou carrément « aveuglé par » ?] par un billet de dix dollars) se fixe sur moi et je comprends que je suis [et « su » ?] un charbon ardent [tu es sûre ?]. Après ça, « Mange-moi » et « Bois-moi » n’auraient plus jamais la même signification (notez que j’ai lu Lewis Caroll bien des années après).

Hélène a dit…

Dans le hall de l’hôtel, le regard du gardien-cyclope (il avait l'un de ses yeux aveuglé par un billet de dix dollars) se fixe sur moi et je comprends que je suis l'aiguillon de son désir. Après ça, « Mange-moi » et « Bois-moi » n’auraient plus jamais la même signification (notez que j’ai lu Lewis Caroll bien des années après).

Je me suis recentrée sur le terme "estaca" qui est employé ici de façon figurée pour dire un stimulateur. Du coup, le mieux que j'ai trouvé c'est encore "aiguillon", mais bon..., le terme n'est pas très courant en français.

Tradabordo a dit…

Dans le hall de l’hôtel, le regard du gardien-cyclope (il avait [simplifie en ne passant pas par « il avait »… Fais de l'œil le sujet ; la phrase roulera mieux] l'un de ses yeux aveuglé par un billet de dix dollars) se fixe sur moi et je comprends que je suis l'aiguillon de son désir [du coup, que je sois sûre : que comprends-tu ?]. Après ça, « Mange-moi » et « Bois-moi » n’auraient plus jamais la même signification (notez que j’ai lu Lewis Caroll bien des années après).

Hélène a dit…

Dans le hall de l’hôtel, le regard du gardien-cyclope (l'un de ses yeux était aveuglé par un billet de dix dollars) se fixe sur moi et je comprends que je suis l'aiguillon de son désir. Après ça, « Mange-moi » et « Bois-moi » n’auraient plus jamais la même signification (notez que j’ai lu Lewis Caroll bien des années après).

Je comprends que notre Havanais devient l'objet du désir sexuel du gardien-cyclope. Il est possible qu'il y ait aussi un jeu de mots entre la "estaca ardiente" et le fait que le gardien soit cyclope. Le pic ou l'aiguillon servirait à transpercer son œil recouvert justement par le billet de dix dollars.

Tradabordo a dit…

Dans le hall de l’hôtel, le regard du gardien-cyclope (l'un de ses yeux était aveuglé par un billet de dix dollars) se fixe sur moi et [cheville : « là, » ?] je comprends que je suis l'aiguillon de son désir. Après ça, « Mange-moi » et « Bois-moi » n’auraient plus jamais la même signification (notez que j’ai lu Lewis Caroll bien des années après).

Hélène a dit…

Dans le hall de l’hôtel, le regard du gardien-cyclope (l'un de ses yeux était aveuglé par un billet de dix dollars) se fixe sur moi et là, je comprends que je suis l'aiguillon de son désir. Après ça, « Mange-moi » et « Bois-moi » n’auraient plus jamais la même signification (notez que j’ai lu Lewis Caroll bien des années après).

OK pour la cheville.