jeudi 28 mars 2013

Projet Kévin – phrase 31

El general contestó sin rodeos y sin aliño las preguntas de su entrevistador y, a la más importante de todas, ¿por qué fueron quemados esos libros, tantísimos libros, no sólo textos marxistas o de sociológa, ni exégesis de revolucionarios o historias de las revoluciones, sino obras literarias puras, novelas, poemas, teatro, Thomas Mann por ejemplo, Eugenio O’Neill, por ejemplo, Samuel Becket,  por ejemplo… ¿por qué, general?, éste respondió –aunque parezca increíble-, con honradez: ¿Sabe? … ¡Es que esa maña hacía tanto frío!

Traduction temporaire :
Le Général répondit sans détour et sans fioritures aux questions de son intervieweur et, à la plus importante de toutes, pourquoi a-t-on brûlé ces livres, tellement de livres, pas uniquement des textes marxistes ou de sociologie, ni d'exégèses de révolutionnaires ou d'histoires des révolutions,  mais de pures œuvres littéraires, des romans, des poèmes,  du théâtre, Thomas Mann par exemple, Eugene O'Neill par exemple, Samuel Beckett par exemple… pourquoi, Général ? Lequel répondit – aussi incroyable que cela puisse paraitre –, avec honnêteté : Eh bien… parce que ce matin-là, qu'est-ce qu'il faisait froid !

8 commentaires:

Unknown a dit…

Le général répondit sans détour et sans fioritures aux questions de son intervieweur et, à la plus importante de toutes, pourquoi a-t-on brûlé ces livres, tellement de livres, pas uniquement des textes marxistes ou de sociologie, ni d'exégèses de révolutionnaires ou d'histoires des révolutions, mais de pures œuvres littéraires, des romans, des poèmes, du théâtre, Thomas Mann par exemple, Eugene O'Neill par exemple, Samuel Beckett par exemple... pourquoi, général ?, lequel répondit - même si cela semble incroyable -, avec honnêteté : Le savez-vous ? C'est parce que ce matin-là, il faisait si froid !

Tradabordo a dit…

Le général répondit sans détour et sans fioritures aux questions de son intervieweur et, à la plus importante de toutes, [on met la question entre tirets ? Je te laisse choisir] pourquoi a-t-on brûlé ces livres [ou « pourquoi ces livres ont-ils été brûlés » ?], tellement de livres, pas uniquement des textes marxistes ou de sociologie, ni d'exégèses de révolutionnaires ou d'histoires des révolutions, mais de pures œuvres littéraires, des romans, des poèmes, du théâtre, Thomas Mann par exemple, Eugene O'Neill par exemple, Samuel Beckett par exemple... pourquoi, général [mets un majuscule ; à l'autre avant aussi] ?, [supprime la virgule] lequel répondit - même si cela semble incroyable [passe « aussi… »] -, avec honnêteté : Le savez-vous ? [CS] C'est [supprime] parce que ce matin-là, il faisait si [ça ne va pas pas, car on on attend « que……… »] froid !

Unknown a dit…

Le Général répondit sans détour et sans fioritures aux questions de son intervieweur et, à la plus importante de toutes, pourquoi a-t-on brûlé ces livres, tellement de livres, pas uniquement des textes marxistes ou de sociologie, ni d'exégèses de révolutionnaires ou d'histoires des révolutions, mais de pures œuvres littéraires, des romans, des poèmes, du théâtre, Thomas Mann par exemple, Eugene O'Neill par exemple, Samuel Beckett par exemple... pourquoi, Général ? lequel répondit - aussi incroyable que cela puisse paraitre -, avec honnêteté : Vous l'ignorez ? Parce que ce matin-là, qu'est-ce qu'il faisait froid !

Tradabordo a dit…

Le Général répondit sans détour et sans fioritures aux questions de son intervieweur et, à la plus importante de toutes, pourquoi a-t-on brûlé ces livres, tellement de livres, pas uniquement des textes marxistes ou de sociologie, ni d'exégèses de révolutionnaires ou d'histoires des révolutions, mais de pures œuvres littéraires, des romans, des poèmes, du théâtre, Thomas Mann par exemple, Eugene O'Neill par exemple, Samuel Beckett par exemple... pourquoi, Général ? lequel [majuscule après un point d'interrogation] répondit - aussi incroyable que cela puisse paraitre -, avec honnêteté : Vous l'ignorez ? [CS] [remets les points de suspension de l'espagnol] Parce que ce matin-là, qu'est-ce qu'il faisait froid !

Unknown a dit…

Le Général répondit sans détour et sans fioritures aux questions de son intervieweur et, à la plus importante de toutes, pourquoi a-t-on brûlé ces livres, tellement de livres, pas uniquement des textes marxistes ou de sociologie, ni d'exégèses de révolutionnaires ou d'histoires des révolutions, mais de pures œuvres littéraires, des romans, des poèmes, du théâtre, Thomas Mann par exemple, Eugene O'Neill par exemple, Samuel Beckett par exemple... pourquoi, Général ? Lequel répondit - aussi incroyable que cela puisse paraitre -, avec honnêteté : Eh bien... parce que ce matin-là, qu'est-ce qu'il faisait froid !

Tradabordo a dit…

Le Général répondit sans détour et sans fioritures aux questions de son intervieweur et, à la plus importante de toutes, pourquoi a-t-on brûlé ces livres, tellement de livres, pas uniquement des textes marxistes ou de sociologie, ni d'exégèses de révolutionnaires ou d'histoires des révolutions, mais de pures œuvres littéraires, des romans, des poèmes, du théâtre, Thomas Mann par exemple, Eugene O'Neill par exemple, Samuel Beckett par exemple... pourquoi, Général ? Lequel répondit - aussi incroyable que cela puisse paraitre -, avec honnêteté : Eh bien... parce que ce matin-là, qu'est-ce qu'il faisait froid !

OK.

Unknown a dit…

La phrase suivante n'a pas été postée.

Tradabordo a dit…

Je m'en occupe.