mercredi 24 avril 2013

Projet Céline 4 – phrase 55

También me dio a probar un poco de carne seca, y finalmente, con los últimos sorbos del café cuzqueño que saboreé sin prisas, encendí un cigarrillo que ella puso traviesamente en mis labios: yo no solía fumar, pero desde que salía con ella, acaso por un deseo de revancha por esa vida de moderación y sobriedad que había llevado hasta entonces,  acaso por la subterránea voluptuosidad que había en su gesto al ponérmelo en la boca, aceptaba de cuando en cuando darle unas pitadas a su cigarrillo.

Traduction temporaire :
Elle m’a également fait goûter un peu de viande séchée. Pour finir,  avec les dernières gorgées du café cuzquénien que j’ai savouré sans me presser, j’ai allumé une cigarette qu’elle avait malicieusement glissée entre mes lèvres. Je n’avais pas l'habitude de fumer,  mais depuis que je sortais avec elle, et peut-être poussé par l’envie de prendre ma revanche sur la vie de modération et de sobriété que j’avais menée jusqu’alors, peut-être à cause de la volupté souterraine de son geste quand elle me la mettait dans la bouche, j’acceptais de temps en temps de tirer quelques bouffées.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Elle m’a aussi fait goûter un peu de viande séchée et pour finir, avec les dernières gorgées du café cuzquénien que j’ai savouré sans hâte, j’ai allumé une cigarette qu’elle avait malicieusement glissé entre mes lèvres : je n’avais pas pour habitude de fumer, mais depuis que je sortais avec elle, peut-être par envie de prendre ma revanche sur la vie de modération et de sobriété que j’avais menée jusqu’alors, peut-être pour la volupté souterraine de son geste quand elle me la mettait dans la bouche, j’acceptais de temps en temps de tirer quelques bouffées sur sa cigarette.

Tradabordo a dit…

Elle m’a aussi [« également » ?] fait goûter un peu de viande séchée et pour finir [ou : « . Pour finir, »], avec les dernières gorgées du café cuzquénien que j’ai savouré sans hâte [« sans me presser » ?], j’ai allumé une cigarette qu’elle avait malicieusement glissé entre mes lèvres : [point ?] je n’avais pas pour [« l' » ?] habitude de fumer, mais depuis que je sortais avec elle, [cheville : « et » ?] peut-être [« poussé par l' » ?] par envie de prendre ma revanche sur la vie de modération et de sobriété que j’avais menée jusqu’alors, peut-être pour [« à cause de » ?] la volupté souterraine de son geste quand elle me la mettait dans la bouche, j’acceptais de temps en temps de tirer quelques bouffées sur sa cigarette [nécessaire ?].

Unknown a dit…

Elle m’a également fait goûter un peu de viande séchée. Pour finir, avec les dernières gorgées du café cuzquénien que j’ai savouré sans me presser, j’ai allumé une cigarette qu’elle avait malicieusement glissée entre mes lèvres. Je n’avais pas l'habitude de fumer, mais depuis que je sortais avec elle, et peut-être poussé par l’envie de prendre ma revanche sur la vie de modération et de sobriété que j’avais menée jusqu’alors, peut-être à cause de la volupté souterraine de son geste quand elle me la mettait dans la bouche, j’acceptais de temps en temps de tirer quelques bouffées.

Tradabordo a dit…

Elle m’a également fait goûter un peu de viande séchée. Pour finir, avec les dernières gorgées du café cuzquénien que j’ai savouré sans me presser, j’ai allumé une cigarette qu’elle avait malicieusement glissée entre mes lèvres. Je n’avais pas l'habitude de fumer, mais depuis que je sortais avec elle, et peut-être poussé par l’envie de prendre ma revanche sur la vie de modération et de sobriété que j’avais menée jusqu’alors, peut-être à cause de la volupté souterraine de son geste quand elle me la mettait dans la bouche, j’acceptais de temps en temps de tirer quelques bouffées.

OK.