samedi 20 avril 2013

Projet Justine / Céline – phrase 43

Me pregunto si ahora va a apretar el gatillo con la misma desenvoltura con que fotografió las hojas ocres, bermejas, de púrpura profundo que se sacudían hasta abandonar las ramas en un vuelo errático; fotos de hojas caídas y apilonadas en montañas secas, crujientes bajo los pasos del adulto hasta que el niño se les tiraba encima, y entonces lo que quedaba de ellas era el chisporroteo,  el grito de alegría.

Traduction temporaire :
Je me demande s’il va appuyer sur la gâchette avec la même désinvolture que celle avec laquelle il avait photographié les feuilles ocres, vermeilles, d'un pourpre profond, qui se secouaient jusqu'à abandonner leurs branches en un vol errant ; des photos de feuilles tombées et entassées en montagnes sèches,  craquant sous les pas de l'adulte avant que l'enfant ne les lui jette dessus ; alors, il ne restait d'elles que le crépitement,  le cri de joie.

8 commentaires:

Justine a dit…

Je me demande si il va maintenant appuyer sur la gâchette avec la même désinvolture que celle avec laquelle il avait photographié les feuilles ocres, vermeilles, d'un pourpre profond, qui se secouaient jusqu'à quitter les branches dans un vol errant ; des photos de feuilles tombées et entassées en montagnes sèches, crissant sous les pas de l'adulte jusqu'à ce que l'enfant les lui jette dessus ; là, il ne restait d'elles que le crépitement, le cri de joie.

Tradabordo a dit…

Je me demande si il [? Du coup, préventivement, relis l'ensemble ;-)] va maintenant appuyer sur la gâchette avec la même désinvolture que celle avec laquelle il avait photographié les feuilles ocres, vermeilles, d'un pourpre profond, qui se secouaient jusqu'à quitter les branches dans un vol errant ; des photos de feuilles tombées et entassées en montagnes sèches, crissant sous les pas de l'adulte jusqu'à ce que l'enfant les lui jette dessus ; là, il ne restait d'elles que le crépitement, le cri de joie.

Unknown a dit…

Je me demande s’il va maintenant appuyer sur la gâchette avec la même désinvolture que ce qu’il avait photographié les feuilles ocres, vermeilles, d'un pourpre profond, qui se secouaient jusqu'à quitter les branches dans un vol errant ; des photos de feuilles tombées et entassées en montagnes sèches, crissant sous les pas de l'adulte jusqu'à ce que l'enfant les lui jette dessus ; alors, il ne restait d'elles que le crépitement, le cri de joie.

Tradabordo a dit…

Je me demande s’il va maintenant [on peut supprimer] appuyer sur la gâchette avec la même désinvolture que ce qu’il [??????] avait photographié les feuilles ocres, vermeilles, d'un pourpre profond, qui se secouaient jusqu'à quitter [trad littérale ?] les [possessif ?] branches dans [« en » ?] un vol errant ; des photos de feuilles tombées et entassées en montagnes sèches, crissant [pas sûre pour des feuilles] sous les pas de l'adulte jusqu'à [débrouillez-vous pour ne pas répéter « jusqu'à »] ce que l'enfant les lui jette dessus ; alors, il ne restait d'elles que le crépitement, le cri de joie.

Justine a dit…

Je me demande s’il va appuyer sur la gâchette avec la même désinvolture que celle avec laquelle il avait photographié les feuilles ocres, vermeilles, d'un pourpre profond, qui se secouaient jusqu'à abandonner leurs branches en un vol errant ; des photos de feuilles tombées et entassées en montagnes sèches, craquant sous les pas de l'adulte avant que l'enfant ne les lui jette dessus ; alors, il ne restait d'elles que le crépitement, le cri de joie.

Unknown a dit…

Je me demande s’il va appuyer sur la gâchette avec la même désinvolture que celle avec laquelle il avait photographié les feuilles ocres, vermeilles, d'un pourpre profond, qui se secouaient pour abandonner leurs branches dans un vol errant ; des photos de feuilles tombées et entassées en montagnes sèches, craquant sous les pas de l'adulte jusqu'à ce que l'enfant les lui jette dessus ; alors, il ne restait d'elles que le crépitement, le cri de joie.

Tradabordo a dit…

Je me demande s’il va appuyer sur la gâchette avec la même désinvolture que celle avec laquelle il avait photographié les feuilles ocres, vermeilles, d'un pourpre profond, qui se secouaient jusqu'à abandonner leurs branches en un vol errant ; des photos de feuilles tombées et entassées en montagnes sèches, craquant sous les pas de l'adulte avant que l'enfant ne les lui jette dessus ; alors, il ne restait d'elles que le crépitement, le cri de joie.

OK pour la version de Justine…

Céline ?

Unknown a dit…

Je me demande s’il va appuyer sur la gâchette avec la même désinvolture que celle avec laquelle il avait photographié les feuilles ocres, vermeilles, d'un pourpre profond, qui se secouaient jusqu'à abandonner leurs branches en un vol errant ; des photos de feuilles tombées et entassées en montagnes sèches, craquant sous les pas de l'adulte avant que l'enfant ne les lui jette dessus ; alors, il ne restait d'elles que le crépitement, le cri de joie.

OK.