jeudi 25 avril 2013

Projet Manon / Élise – phrase 5

Cuando por fin nos detuvimos ya nada funcionaba, estábamos perdidas en alguna de las muchas dimensiones del universo, sin comunicaciones, sin cobijo la nave no nos servía ni para eso, el pobre Bidaiari ya no tenía estructura y su casco humeaba, sin saber con qué nos encontraríamos allí afuera; estábamos entrenadas para este tipo de contingencias, pero todo se fue al demonio: lloramos por horas, ya no veríamos más a nuestras familias, a nuestros amigos, a la Tierra.

Traduction temporaire :
Lorsque nous nous arrêtâmes enfin, plus rien ne fonctionnait. Nous étions perdues dans l'une des multiples dimensions de l'univers, sans moyen de communication, sans le moindre abri, puisque même la navette ne pouvait nous servir de refuge – le pauvre Bidaiari n'avait plus d'ossature et sa coque fumait – et sans savoir ce que nous trouverions dehors. Nous étions entraînées pour ce genre de situations imprévisibles, mais là, tout foutait le camp. Nous pleurâmes pendant des heures ; nous ne reverrions plus jamais nos familles, nos amis, la Terre.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Lorsque nous nous arrêtâmes enfin, plus rien ne fonctionnait. Nous étions perdues dans une des multiples dimensions de l'univers, sans moyens de communications, sans le moindre abri – la navette ne pouvait même pas nous servir de refuge, le pauvre Bidaiari était déstructuré et sa coque fumait – sans savoir ce que nous allions trouver là dehors. Nous étions entraînées pour ce genre de situations, mais tout était hors de contrôle : nous pleurâmes pendant des heures ; nous ne reverrions plus jamais nos familles, ni nos amis, ni la Terre.

Tradabordo a dit…

Lorsque nous nous arrêtâmes enfin, plus rien ne fonctionnait. Nous étions perdues dans [« l' » ?] une des multiples dimensions de l'univers, sans moyens de communications [au singulier ?], sans le moindre abri – [ce serait mieux avec quelque chose comme « puisque »] la navette ne pouvait même pas nous servir de refuge [simplifie ce petit bout], [là, en revanche, tu peux mettre ton tiret] le pauvre Bidaiari

Fais déjà ça… On y verra plus clair.

était déstructuré et sa coque fumait – sans savoir ce que nous allions trouver là dehors. Nous étions entraînées pour ce genre de situations, mais tout était hors de contrôle : nous pleurâmes pendant des heures ; nous ne reverrions plus jamais nos familles, ni nos amis, ni la Terre.

Unknown a dit…

Je n'ai pas touché la fin :

Lorsque nous nous arrêtâmes enfin, plus rien ne fonctionnait. Nous étions perdues dans l'une des multiples dimensions de l'univers, sans moyen de communication, sans le moindre abri, puisque même la navette ne pouvait nous servir de refuge – le pauvre Bidaiari était déstructuré et sa coque fumait – sans savoir ce que nous allions trouver là dehors. Nous étions entraînées pour ce genre de situations, mais tout était hors de contrôle : nous pleurâmes pendant des heures ; nous ne reverrions plus jamais nos familles, ni nos amis, ni la Terre.

Tradabordo a dit…

Lorsque nous nous arrêtâmes enfin, plus rien ne fonctionnait. Nous étions perdues dans l'une des multiples dimensions de l'univers, sans moyen de communication, sans le moindre abri, puisque même la navette ne pouvait nous servir de refuge – le pauvre Bidaiari était déstructuré [pas vraiment ce que dit la V.O.] et sa coque fumait – [point et enchaînez…] sans savoir ce que nous allions trouver [« trouverions »] là [nécessaire ?] dehors. Nous étions entraînées pour ce genre de situations [il faut un adjectif en soutien, pour rendre mieux l'espagnol], mais [cheville : « là, »] tout était hors de contrôle [pas formulé comme ça en V.O.] : nous pleurâmes pendant des heures ; nous ne reverrions plus jamais nos familles, ni nos amis, ni [pas en V.O.] la Terre.

Unknown a dit…

Lorsque nous nous arrêtâmes enfin, plus rien ne fonctionnait. Nous étions perdues dans l'une des multiples dimensions de l'univers, sans moyen de communication, sans le moindre abri, puisque même la navette ne pouvait nous servir de refuge – le pauvre Bidaiari n'avait plus d'ossature et sa coque fumait. Sans savoir ce que nous trouverions dehors. Nous étions entraînées pour ce genre de situations imprévisibles, mais là, tout foutait le camp : nous pleurâmes pendant des heures ; nous ne reverrions plus jamais nos familles, nos amis, la Terre.

Je ne suis pas convaincue pour le point après "fumait".

Tradabordo a dit…

Lorsque nous nous arrêtâmes enfin, plus rien ne fonctionnait. Nous étions perdues dans l'une des multiples dimensions de l'univers, sans moyen de communication, sans le moindre abri, puisque même la navette ne pouvait nous servir de refuge – le pauvre Bidaiari n'avait plus d'ossature et sa coque fumait – et sans savoir ce que nous trouverions dehors. Nous étions entraînées pour ce genre de situations imprévisibles, mais là, tout foutait le camp. Nous pleurâmes pendant des heures ; nous ne reverrions plus jamais nos familles, nos amis, la Terre.

J'ai fait quelques petites modifs. Dis-moi ce que tu en penses…

Unknown a dit…

Lorsque nous nous arrêtâmes enfin, plus rien ne fonctionnait. Nous étions perdues dans l'une des multiples dimensions de l'univers, sans moyen de communication, sans le moindre abri, puisque même la navette ne pouvait nous servir de refuge – le pauvre Bidaiari n'avait plus d'ossature et sa coque fumait – et sans savoir ce que nous trouverions dehors. Nous étions entraînées pour ce genre de situations imprévisibles, mais là, tout foutait le camp. Nous pleurâmes pendant des heures ; nous ne reverrions plus jamais nos familles, nos amis, la Terre.

OK !

Unknown a dit…

OK !