vendredi 24 mai 2013

Projet Kévin – phrases 57-58

El fascismo da de baja –lo hemos visto, lo seguiremos viendo-, a los seres humanos fusilándolos, a los libros quemándolos. La razón es la misma, el objeto dado de baja es el mismo, un ser humano, un libro, uno y otro son seres humanos, uno y otro son libros.

Traduction temporaire :
Le fascisme cause la perte – nous l'avons vu et nous le verrons encore – des êtres humains en les fusillant, des livres en les brûlant. La raison reste la même, l'objet dont la perte a été causée reste le même, un être humain, un livre ; l'un et l'autre sont des êtres humains, l'un et l'autre sont des livres.

14 commentaires:

Unknown a dit…

Le fascisme fait porter disparus - nous l'avons vu et le verrons encore - les êtres humains en les fusillant et les livres en les brûlant. La raison est la même, l'objet porté disparu est le même : un être humain, un livre. Quelques-uns sont des êtres humains, quelques autres sont des livres.

Tradabordo a dit…

Le fascisme fait porter disparus [sens ?] - nous l'avons vu et le verrons encore - les êtres humains en les fusillant et les livres en les brûlant. La raison est la même, l'objet porté disparu est le même : un être humain, un livre. Quelques-uns sont des êtres humains, quelques autres sont des livres.

Unknown a dit…

Le fascisme fait porter disparus [La métaphore est certainement volontaire (Les autres sens de "dar de baja" ne conviennent pas ici) et c'est sans doute aussi un euphémisme pour "le fascisme fait des victimes"] - nous l'avons vu et le verrons encore - les êtres humains en les fusillant et les livres en les brûlant. La raison est la même, l'objet porté disparu est le même : un être humain, un livre. Quelques-uns sont des êtres humains, quelques autres sont des livres.

Tradabordo a dit…

Le fascisme fait porter disparus [La métaphore est certainement volontaire (Les autres sens de "dar de baja" ne conviennent pas ici / non, mais d'accord… le pb n'est pas là ; est-ce correctement formulé ?) et c'est sans doute aussi un euphémisme pour "le fascisme fait des victimes"] - nous l'avons vu et le verrons encore - les êtres humains en les fusillant et les livres en les brûlant. La raison est la même, l'objet porté disparu est le même : un être humain, un livre. Quelques-uns sont des êtres humains, quelques autres sont des livres.

Unknown a dit…

Le fascisme fait disparaître [?] - nous l'avons vu et le verrons encore - les êtres humains en les fusillant et les livres en les brûlant. La raison reste la même, l'objet porté disparu reste le même : un être humain, un livre. Quelques-uns sont des êtres humains, quelques autres sont des livres.

Tradabordo a dit…

Le fascisme fait disparaître - nous l'avons vu et le verrons encore - les êtres humains en les fusillant, les livres en les brûlant. La raison reste la même, l'objet porté disparu [du coup, c'est un peu ennuyeux de changer, non ?] reste le même : un être humain, un livre. Quelques-uns [CS + tu as eu tort de modifier la ponctuation] sont des êtres humains, quelques autres sont des livres.

Unknown a dit…

Le fascisme fait porter disparu [Du coup, je le remets. La formulation est correcte.] - nous l'avons vu et le verrons encore - les êtres humains en les fusillant, les livres en les brûlant. La raison reste la même, l'objet porté disparu reste le même : un être humain, un livre ; l'un et l'autre sont des êtres humains, l'un et l'autre sont des livres.

Tradabordo a dit…

Le fascisme fait porter disparu [passe par « fait disparaître » ou alors vois un autre sens de « dar de baja »… parce que si ta formulation est grammaticalement compacte, c'est extrêmement lourd] - nous l'avons vu et le verrons encore - les êtres humains en les fusillant, les livres en les brûlant. La raison reste la même, l'objet porté disparu reste le même : un être humain, un livre ; l'un et l'autre sont des êtres humains, l'un et l'autre sont des livres.

Unknown a dit…

Le fascisme cause la perte - nous l'avons vu et le verrons encore - des êtres humains en les fusillant, des livres en les brûlant. La raison reste la même, l'objet porté disparu reste le même : un être humain, un livre ; l'un et l'autre sont des êtres humains, l'un et l'autre sont des livres.

Tradabordo a dit…

Le fascisme cause la perte - nous l'avons vu et [est-ce qu'il ne serait pas plus fort de répéter le « nous » ?] le verrons encore - des êtres humains en les fusillant, des livres en les brûlant. La raison reste la même, l'objet porté disparu [cf commentaire d'avant / Quel soit ton choix, il faut répéter – première phrase] reste le même : un être humain, un livre ; l'un et l'autre sont des êtres humains, l'un et l'autre sont des livres.

Unknown a dit…

Le fascisme cause la perte - nous l'avons vu et nous le verrons encore - des êtres humains en les fusillant, des livres en les brûlant. La raison reste la même, l'objet dont la perte a été causée reste le même : un être humain, un livre ; l'un et l'autre sont des êtres humains, l'un et l'autre sont des livres.

Tradabordo a dit…

Le fascisme cause la perte [et avec « faire une croix sur » ?] - nous l'avons vu et nous le verrons encore - des êtres humains en les fusillant, des livres en les brûlant. La raison reste la même, l'objet dont la perte a été causée reste le même : un être humain, un livre ; l'un et l'autre sont des êtres humains, l'un et l'autre sont des livres.

Unknown a dit…

Le fascisme cause la perte - nous l'avons vu et nous le verrons encore - des êtres humains en les fusillant, des livres en les brûlant. La raison reste la même, l'objet dont la perte a été causée reste le même : un être humain, un livre ; l'un et l'autre sont des êtres humains, l'un et l'autre sont des livres.

Tradabordo a dit…

Le fascisme cause la perte - nous l'avons vu et nous le verrons encore - des êtres humains en les fusillant, des livres en les brûlant. La raison reste la même, l'objet dont la perte a été causée reste le même, un être humain, un livre ; l'un et l'autre sont des êtres humains, l'un et l'autre sont des livres.

J'ai supprimé les deux points… Je pense que là, c'est mieux de faire comme en V.O.