samedi 25 mai 2013

Projet Manon 2 – phrases 207-210

No le recordaría el tema de las letras, porque al recordárselo, sería más fácil que esa temática se instalara,  se llenase el aire de ella, y la pequeña iba a reconocer que lo que había,  no era más que un conjunto de escritoras muertas. Nuevamente se contuvo, se quedó en silencio ante tal tremenda declaración. Nasón se sentó. No le respondió a Juana,  hizo como que no había oído.

Traduction temporaire :
Il ne mettrait pas la littérature sur le tapis,  car s’il le faisait,  le sujet s’installerait plus facilement dans la conversation, l’air s’emplirait d’elle, et la petite s'apercevrait qu'elle se trouvait en présence d’un rassemblement d’écrivaines mortes. De nouveau, Nasón se contint, garda le silence devant une déclaration aussi terrible. Il s’assit. Il ne répondit pas à Juana et il fit comme s’il n’avait pas entendu.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Il ne lui ferait pas mention de littérature, car, s’il le faisait, il serait plus facile que cette thématique s’installe, qu’elle emplisse l’air, et la petite allait reconnaître que ce qu’il y avait n’était rien de plus qu’un rassemblement d’écrivaines décédées. De nouveau, il se contint, garda le silence devant une déclaration si menaçante. Nasón s’assit. Il ne répondit pas à Juana, il fit comme s’il n’avait pas entendu.


Bon, c’est un premier jet…

1) Pas sûre pour “recordar”: est-ce que « ressortir » serait trop familier ici avec qqch comme « ressortir le sujet littérature » ?

2) Je me demande : est-ce qu’on ne peut pas inverser « il » et « Nasón » ? Je trouve que ça fait bizarre en français de rappeler son nom à cet endroit là, je propose donc :


Il ne lui ferait pas mention de littérature, car, s’il le faisait, il serait plus facile que cette thématique s’installe, qu’elle emplisse l’air, et la petite allait reconnaître que ce qu’il y avait n’était rien de plus qu’un rassemblement d’écrivaines décédées. De nouveau, Nasón se contint, garda le silence devant une déclaration si menaçante. Il s’assit. Il ne répondit pas à Juana, il fit comme s’il n’avait pas entendu.

Tradabordo a dit…

Il ne lui ferait pas mention [pourquoi pas une trad littérale ?] de littérature [idem – mais sans « thème » ?], car, s’il le faisait, il serait plus facile que cette thématique s’installe, qu’elle emplisse l’air [ça ne marche pas en restant près de la V.O. ?], et la petite allait reconnaître [« reconnaîtrait » ?] que ce qu’il y avait [mal dit] n’était rien de plus [« d'autre » ?] qu’un rassemblement d’écrivaines décédées [pas plus fort avec « mortes » ?]. De nouveau, Nasón se contint, garda le silence devant une déclaration si menaçante [sûre ?]. Il s’assit. Il ne répondit pas à Juana, [« et » ?] il fit comme s’il n’avait pas entendu.

Unknown a dit…

Il ne lui rappellerait pas les lettres, car, s’il les lui rappelait, il serait plus facile que cette thématique s’installe, que l’air s’emplisse d’elle, et la petite reconnaîtrait qu’il n’y avait là rien d'autre qu’un rassemblement d’écrivaines mortes. De nouveau, Nasón se contint, garda le silence devant une déclaration si terrible. Il s’assit. Il ne répondit pas à Juana et il fit comme s’il n’avait pas entendu.

J’ai remplacé par « là » pour le moment, mais il y a déjà « là » dans la phrase précédente, je cherche mieux.
Pour le début, je ne suis vraiment pas convaincue par le littéral… Et « les lettres », c’est ambigu je trouve, c’est pour ça que j’avais mis littérature. Non ?

Tradabordo a dit…

En tenant compte de ce que tu dis, je te propose :

Il ne mettrait pas la littérature sur le tapis, car, s’il le le faisait, le sujet s’installerait plus facilement, l’air s’emplirait d’elle, et la petite s'apercevrait qu'elle se trouvait en présence qu’un rassemblement d’écrivaines mortes. De nouveau, Nasón se contint, garda le silence devant une déclaration aussi terrible. Il s’assit. Il ne répondit pas à Juana et il fit comme s’il n’avait pas entendu.

Unknown a dit…

Dire que je me suis retenue de traduire par "mettre sur le tapis" !
;-)))))

Merci beaucoup pour le coup de pouce !

Je suis OK, je corrige juste les petites coquilles qui se sont glissées là :

Il ne mettrait pas la littérature sur le tapis, car, s’il le faisait, le sujet s’installerait plus facilement, l’air s’emplirait d’elle, et la petite s'apercevrait qu'elle se trouvait en présence d’un rassemblement d’écrivaines mortes. De nouveau, Nasón se contint, garda le silence devant une déclaration aussi terrible. Il s’assit. Il ne répondit pas à Juana et il fit comme s’il n’avait pas entendu.

Tradabordo a dit…

Moi aussi, au début, mais là, on peut difficilement faire autrement si on veut trouver un minimum de naturel.

Il ne mettrait pas la littérature sur le tapis, car s’il le faisait, le sujet s’installerait plus facilement dans la conversation, l’air s’emplirait d’elle, et la petite s'apercevrait qu'elle se trouvait en présence d’un rassemblement d’écrivaines mortes. De nouveau, Nasón se contint, garda le silence devant une déclaration aussi terrible. Il s’assit. Il ne répondit pas à Juana et il fit comme s’il n’avait pas entendu.