mardi 4 juin 2013

Projet Céline – phrase 77

Ella mostró sus dientes, unos hermosos dientes llenos de vida, en los que brillaba la vida y movió la cabeza, como si quisiera decirle que todo iba tan bien que le parecía un sueño que esa maravilla, esa felicidad intacta no se derrumbara, pero que también podía significarle que si una mujer suspira sola en un vagón de ferrocarril, cuando apenas son las dos de la tarde y va de regreso con sus tres hijos, con sus tres hijos y nadie más, capito?, entonces, entonces ella podría haber tenido derecho no sólo a suspirar sino a llorar a gritos, ¿pero y los bambini, la ropa, la comida, el llanto, la risa, las ropas mojadas de los bambini?

Traduction temporaire :
Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie sur lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien, que pour elle, cela tenait du rêve que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur, ne s’effondre pas ; cependant, elle pouvait également vouloir lui indiquer que si une femme soupire, seule dans un des wagons d'un train, quand il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois enfants – rien que ses trois enfants (capito ?) –, c’est qu’elle aurait pu, en plus de soupirer, avoir le droit de pleurer en criant ; mais alors, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires et les habits mouillés des bambini ?

21 commentaires:

Unknown a dit…

Elle montra ses dents, de jolies dents pleines de vie dans lesquelles se reflétait la vie, et elle bougea la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien qu’il lui semblait être un rêve que cette merveille, ce bonheur intact ne s’effondre pas ; cependant, elle pouvait également vouloir lui signaler que si une femme soupire, seule dans le wagon d’un train alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois fils et seulement ses trois fils (capito ?), alors en ce cas, en plus de soupirer, elle aurait pu avoir aussi le doit de pleurer en criant ; mais et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, les vêtements mouillés des bambini ?

Tradabordo a dit…

Elle montra [« découvrit » ?] ses dents, de jolies dents pleines de vie dans lesquelles se reflétait la vie, et elle bougea [« secoua » ?] la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait [« était » ?] si bien qu’il lui semblait être un rêve que cette merveille, ce bonheur intact ne s’effondre pas [pb de lisibilité ici… Reprends] ;

cependant, elle pouvait également vouloir lui signaler que si une femme soupire, seule dans le wagon d’un train alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois fils et seulement ses trois fils (capito ?), alors en ce cas, en plus de soupirer, elle aurait pu avoir aussi le doit de pleurer en criant ; mais et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, les vêtements mouillés des bambini ?

Unknown a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie dans lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien qu’il lui semblait être un rêve que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur, ne s’effondre pas ; cependant, elle pouvait également vouloir lui signaler que si une femme soupire, seule dans le wagon d’un train alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois fils et seulement ses trois fils (capito ?), alors en ce cas, en plus de soupirer, elle aurait pu avoir aussi le doit de pleurer en criant ; mais, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, les habits mouillés des bambini ?

Je pense que c’est « tout allait si bien » car c’est la réponse à la question de la phrase précédente « tutto va bene ? ».

Tradabordo a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie dans lesquelles se reflétait la vie [je trouve que la répétition de « vie » n'est pas géniale ; qu'en penses-tu ?], et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien qu’il lui semblait être un rêve que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur, ne s’effondre pas [tu inverseras la syntaxe / essaie avec « lui semblait être un rêve » à la fin…] ; cependant, elle pouvait également vouloir lui signaler que si une femme soupire, seule dans le wagon d’un train alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois fils et seulement ses trois fils (capito ?), alors en ce cas, en plus de soupirer, elle aurait pu avoir aussi le doit de pleurer en criant ; mais, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, les habits mouillés des bambini ?

Unknown a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie dans lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien que le fait que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur ne s’effondre pas lui semblait être un rêve ; cependant, elle pouvait également vouloir lui signaler que si une femme soupire, seule dans le wagon d’un train alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois fils et seulement ses trois fils (capito ?), alors en ce cas, en plus de soupirer, elle aurait pu avoir aussi le doit de pleurer en criant ; mais, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, les habits mouillés des bambini ?

Je me demande si la répétition de « vie » n’est pas voulue et si « en los que brillaba la vida » ne sert pas à expliciter « hermosos dientes llenos de vida ». Dans ce cas, il faudrait peut-être une virgule après « pleines de vie » ?

Tradabordo a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie dans [« sur » ?] lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien que le fait que [un moyen de faire sans ces trois « que » ? Pas facile…………] cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur ne s’effondre pas lui semblait être un rêve ; cependant, elle pouvait également vouloir lui signaler que si une femme soupire, seule dans le wagon d’un train alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois fils et seulement ses trois fils (capito ?), alors en ce cas, en plus de soupirer, elle aurait pu avoir aussi le doit de pleurer en criant ; mais, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, les habits mouillés des bambini ?

Unknown a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie sur lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tellement tout allait bien, le fait que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur ne s’effondre pas lui semblait être un rêve ; cependant, elle pouvait également vouloir lui signaler que si une femme soupire, seule dans le wagon d’un train alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois fils et seulement ses trois fils (capito ?), alors en ce cas, en plus de soupirer, elle aurait pu avoir aussi le doit de pleurer en criant ; mais, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, les habits mouillés des bambini ?

Tradabordo a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie sur lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tellement tout allait bien, le fait que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur ne s’effondre pas lui semblait être un rêve ;

Franchement, je crois que c'est du charabia… ;-)

cependant, elle pouvait également vouloir lui signaler que si une femme soupire, seule dans le wagon d’un train alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois fils et seulement ses trois fils (capito ?), alors en ce cas, en plus de soupirer, elle aurait pu avoir aussi le doit de pleurer en criant ; mais, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, les habits mouillés des bambini ?

Unknown a dit…

Et si on revient à la construction du début ? Comme ça, on a plus que deux « que »…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie sur lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien qu’il lui semblait être un rêve que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur, ne s’effondre pas ; cependant, elle pouvait également vouloir lui signaler que si une femme soupire, seule dans le wagon d’un train alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois fils et seulement ses trois fils (capito ?), alors en ce cas, en plus de soupirer, elle aurait pu avoir aussi le doit de pleurer en criant ; mais, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, les habits mouillés des bambini ?

Tradabordo a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie sur lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien qu’il lui semblait être un rêve [je te propose : « que pour elle, cela tenait du rêve » ?] que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur, ne s’effondre pas ; cependant, elle pouvait également vouloir lui signaler que si une femme soupire, seule dans le wagon d’un train alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois fils et seulement ses trois fils (capito ?), alors en ce cas, en plus de soupirer, elle aurait pu avoir aussi le doit de pleurer en criant ; mais, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, les habits mouillés des bambini ?

Unknown a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie sur lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien qu’il lui semblait que pour elle, cela tenait du rêve que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur, ne s’effondre pas ; cependant, elle pouvait également vouloir lui signaler que si une femme soupire, seule dans le wagon d’un train alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois fils et seulement ses trois fils (capito ?), alors en ce cas, en plus de soupirer, elle aurait pu avoir aussi le doit de pleurer en criant ; mais, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, les habits mouillés des bambini ?

Tradabordo a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie sur lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien [virgule] qu’il lui semblait [supprime] que pour elle, cela tenait du rêve que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur, ne s’effondre pas ; cependant, elle pouvait également vouloir lui signaler que si une femme soupire, seule dans le wagon d’un train alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois fils et seulement ses trois fils (capito ?), alors en ce cas, en plus de soupirer, elle aurait pu avoir aussi le doit de pleurer en criant ; mais, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, les habits mouillés des bambini ?

Unknown a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie sur lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien, que pour elle, cela tenait du rêve que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur, ne s’effondre pas ; cependant, elle pouvait également vouloir lui signaler que si une femme soupire, seule dans le wagon d’un train alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois fils et seulement ses trois fils (capito ?), alors en ce cas, en plus de soupirer, elle aurait pu avoir aussi le doit de pleurer en criant ; mais, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, les habits mouillés des bambini ?

Tradabordo a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie sur lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien, que pour elle, cela tenait du rêve que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur, ne s’effondre pas ;

OK… Je crois que cette fois, c'est bon ;-)

cependant, elle pouvait également vouloir lui signaler [« indiquer » ?] que si une femme soupire, seule dans le wagon d’un train [virgule ? J'hésite] alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois fils [on avait « fils » ou « enfants » ? J'ai oublié…] et seulement ses trois fils (capito ?), alors en ce cas [manque de naturel + tu as « alors que » un peu plus haut…], en plus de soupirer, elle aurait pu avoir aussi le doit de pleurer en criant ; mais, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, les habits mouillés des bambini ?

Unknown a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie sur lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien, que pour elle, cela tenait du rêve que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur, ne s’effondre pas ; cependant, elle pouvait également vouloir lui indiquer que si une femme soupire, seule dans le wagon d’un train, alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois enfants et seulement ses trois enfants (capito ?), c’est qu’elle aurait pu avoir aussi le droit de pleurer en criant, en plus de soupirer ; mais, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, les habits mouillés des bambini ?

Unknown a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie sur lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien, que pour elle, cela tenait du rêve que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur, ne s’effondre pas ; cependant, elle pouvait également vouloir lui indiquer que si une femme soupire, seule dans le wagon d’un train, alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois enfants et seulement ses trois enfants (capito ?), c’est qu’elle aurait pu avoir aussi le droit de pleurer en criant, en plus de soupirer ; mais, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, les habits mouillés des bambini ?

Tradabordo a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie sur lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien, que pour elle, cela tenait du rêve que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur, ne s’effondre pas ; cependant, elle pouvait également vouloir lui indiquer que si une femme soupire, seule dans le wagon [est-ce que du coup, on ne dirait pas qu'il n'y en a qu'un ?] d’un train, alors qu’il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois enfants et [tiret ?] seulement [« rien que » ?] ses trois enfants (capito ?) [tiret ?], c’est qu’elle aurait pu avoir aussi [ou « également avoir » ?] le droit de pleurer en criant, en plus de soupirer [avance-le] ; mais [cheville : « alors » ?], et les enfants [remets « bambini »], les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires, [« et » ?] les habits mouillés des bambini ?

Unknown a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie sur lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien, que pour elle, cela tenait du rêve que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur, ne s’effondre pas ; cependant, elle pouvait également vouloir lui indiquer que si une femme soupire, seule dans un des wagons du train, quand il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois enfants – rien que ses trois enfants (capito ?) –, c’est qu’elle aurait pu, en plus de soupirer, avoir également avoir le droit de pleurer en criant ; mais alors, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires et les habits mouillés des bambini ?

Tradabordo a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie sur lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien, que pour elle, cela tenait du rêve que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur, ne s’effondre pas ; cependant, elle pouvait également vouloir lui indiquer que si une femme soupire, seule dans un des wagons du train [avec « du », ça n'est plus une généralité], quand il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois enfants – rien que ses trois enfants (capito ?) –, c’est qu’elle aurait pu, en plus de soupirer, avoir également [redondant avec « en plus », non ?] avoir le droit de pleurer en criant ; mais alors, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires et les habits mouillés des bambini ?

Unknown a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie sur lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien, que pour elle, cela tenait du rêve que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur, ne s’effondre pas ; cependant, elle pouvait également vouloir lui indiquer que si une femme soupire, seule dans un des wagons d'un train, quand il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois enfants – rien que ses trois enfants (capito ?) –, c’est qu’elle aurait pu, en plus de soupirer, avoir le droit de pleurer en criant ; mais alors, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires et les habits mouillés des bambini ?

Tradabordo a dit…

Elle découvrit ses dents, de jolies dents pleines de vie sur lesquelles se reflétait la vie, et elle secoua la tête, comme si elle voulait lui signifier que tout allait si bien, que pour elle, cela tenait du rêve que cette chose merveilleuse, ce bonheur à l’état pur, ne s’effondre pas ; cependant, elle pouvait également vouloir lui indiquer que si une femme soupire, seule dans un des wagons d'un train, quand il est à peine deux heures de l’après-midi et qu’elle rentre chez elle avec ses trois enfants – rien que ses trois enfants (capito ?) –, c’est qu’elle aurait pu, en plus de soupirer, avoir le droit de pleurer en criant ; mais alors, et les enfants, les vêtements, la nourriture, les pleurs, les rires et les habits mouillés des bambini ?

OK.