mercredi 21 août 2013

Projet Justine / Céline – phrases 86-87

Por la ventana saqué las manos con mi revólver de señorita,  cerré un ojo y apreté el gatillo, que se deslizó como si lo hubiese lubricado con mantequilla —¿por qué tuve esa sensación? La detonación no me asustó para nada; me recordó un estornudo metálico.

Traduction temporaire :
J’ai passé mes mains et mon revolver de demoiselle par la fenêtre, j’ai fermé un œil et appuyé sur la gâchette, qui a glissé comme si je l’avais lubrifiée avec du beurre. Pourquoi ai-je eu cette sensation ? La détonation ne m’a absolument pas effrayé ; elle m’a évoqué un éternuement métallique.

7 commentaires:

Unknown a dit…

J’ai sorti mes mains et mon revolver de demoiselle par la fenêtre, j’ai fermé un œil et j’ai appuyé sur la gâchette, qui s’est enfoncée comme si je l’avais lubrifiée avec du beurre. Pourquoi ai-je eu cette sensation ? La détonation ne m’a absolument pas effrayé ; elle m’a évoqué un éternuement métallique.

Tradabordo a dit…

J’ai sorti [ou « tendu » / « avancé » ? J'hésite…………] mes mains et mon revolver de demoiselle par la fenêtre, j’ai fermé un œil et j’ai [nécessaire ?] appuyé sur la gâchette, qui s’est enfoncée [changement nécessaire ?] comme si je l’avais lubrifiée avec du beurre. Pourquoi ai-je eu cette sensation ? La détonation ne m’a absolument pas effrayé ; elle m’a évoqué un éternuement métallique.

Unknown a dit…

J’ai avancé mes mains et mon revolver de demoiselle par la fenêtre, j’ai fermé un œil et appuyé sur la gâchette, qui a glissé comme si je l’avais lubrifiée avec du beurre. Pourquoi ai-je eu cette sensation ? La détonation ne m’a absolument pas effrayé ; elle m’a évoqué un éternuement métallique.

Tradabordo a dit…

J’ai avancé [ou « passé » ?] mes mains et mon revolver de demoiselle par la fenêtre, j’ai fermé un œil et appuyé sur la gâchette, qui a glissé comme si je l’avais lubrifiée avec du beurre. Pourquoi ai-je eu cette sensation ? La détonation ne m’a absolument pas effrayé ; elle m’a évoqué un éternuement métallique.

Unknown a dit…

J’ai passé mes mains et mon revolver de demoiselle par la fenêtre, j’ai fermé un œil et appuyé sur la gâchette, qui a glissé comme si je l’avais lubrifiée avec du beurre. Pourquoi ai-je eu cette sensation ? La détonation ne m’a absolument pas effrayé ; elle m’a évoqué un éternuement métallique.

Tradabordo a dit…

J’ai passé mes mains et mon revolver de demoiselle par la fenêtre, j’ai fermé un œil et appuyé sur la gâchette, qui a glissé comme si je l’avais lubrifiée avec du beurre. Pourquoi ai-je eu cette sensation ? La détonation ne m’a absolument pas effrayé ; elle m’a évoqué un éternuement métallique.

OK.

Justine ?

Justine a dit…

J’ai passé mes mains et mon revolver de demoiselle par la fenêtre, j’ai fermé un œil et appuyé sur la gâchette, qui a glissé comme si je l’avais lubrifiée avec du beurre. Pourquoi ai-je eu cette sensation ? La détonation ne m’a absolument pas effrayé ; elle m’a évoqué un éternuement métallique.

OK.