dimanche 25 août 2013

Projet Manon 2 – phrases 267-269

Ellas estaban embobadas en su tarea, ahora dormidas, cercanas a la muerte. Nasón estaba afuera, atento, esperando a que llegara el silencio de las réplicas. Se sentía ansioso, excitado, su sangre corría por las venas, rápidamente, lleno de dicha.

Traduction temporaire :
Elles étaient littéralement captivées par leur recherche, à présent endormies, proches de la mort. Nasón était dehors, aux aguets, attendant que les conversations laissent place au silence. Il était impatient, excité, le sang bouillait dans ses veines, il se sentait envahi par le bonheur.

10 commentaires:

Unknown a dit…

Elles étaient absorbées par leur affaire, à présent endormies, proches de la mort. Nasón était dehors, aux aguets, attendant que les conversations laissent place au silence. Il se sentait anxieux, excité, le sang bouillait dans ses veines, il était empli de bonheur.

J’ai mis « aux aguets » pour ne pas avoir « attentif »/ « attendant », et je n’ai pas traduit « rápidamente » parce que ça allait avec « correr » mais que ça ne colle pas avec « bouillir ». Ah oui, et je n’ai pas mis « tâche », parce qu’avec « absorber » dans la même phrase, je trouvais que ça faisait lessive OMO.
Et la fin n'est pas géniale...

Tradabordo a dit…

Elles étaient absorbées [pas exactement] par leur affaire [bof], à présent endormies, proches de la mort. Nasón était dehors, aux aguets, attendant que les conversations laissent place au silence. Il se sentait anxieux [j'hésite], excité, le sang bouillait dans ses veines, il était empli de [« empli de » ; bof] bonheur.

Unknown a dit…

Elles étaient captivées par leur tâche, à présent endormies, proches de la mort. Nasón était dehors, aux aguets, attendant que les conversations laissent place au silence. Il était impatient, excité, le sang bouillait dans ses veines, il se sentait envahi de bonheur.

Tradabordo a dit…

Elles étaient [cheville : «littéralement » ?] captivées par leur tâche, à présent endormies, proches de la mort. Nasón était dehors, aux aguets, attendant que les conversations laissent place au silence. Il était impatient, excité, le sang bouillait dans ses veines, il se sentait envahi de [ou « par le » ?] bonheur.

Unknown a dit…

Elles étaient littéralement captivées par leur tâche, à présent endormies, proches de la mort. Nasón était dehors, aux aguets, attendant que les conversations laissent place au silence. Il était impatient, excité, le sang bouillait dans ses veines, il se sentait envahi par le bonheur.

Tradabordo a dit…

Elles étaient littéralement captivées par leur tâche [un peu bizarre, quand même / je pense qu'on devrait arrêter après « captivées »], à présent endormies, proches de la mort. Nasón était dehors, aux aguets, attendant que les conversations laissent place au silence. Il était impatient, excité, le sang bouillait dans ses veines, il se sentait envahi par le bonheur.

Unknown a dit…

Elles étaient littéralement captivées par leur tâche [un peu bizarre, quand même / je pense qu'on devrait arrêter après « captivées » / oui, mais c'est ambigu avec la suite, non ?], à présent endormies, proches de la mort. Nasón était dehors, aux aguets, attendant que les conversations laissent place au silence. Il était impatient, excité, le sang bouillait dans ses veines, il se sentait envahi par le bonheur.

Tradabordo a dit…

Elles étaient littéralement captivées par leur tâche [un peu bizarre, quand même / je pense qu'on devrait arrêter après « captivées » / oui, mais c'est ambigu avec la suite, non ? // dans ce cas : « recherche » ou « quête »], à présent endormies, proches de la mort. Nasón était dehors, aux aguets, attendant que les conversations laissent place au silence. Il était impatient, excité, le sang bouillait dans ses veines, il se sentait envahi par le bonheur.

Unknown a dit…

Elles étaient littéralement captivées par leur recherche, à présent endormies, proches de la mort. Nasón était dehors, aux aguets, attendant que les conversations laissent place au silence. Il était impatient, excité, le sang bouillait dans ses veines, il se sentait envahi par le bonheur.

Et donc pour la suite et fin, j'envoie par mail ? Ou tu n'as pas le temps et on finit rapido ici ?

Tradabordo a dit…

On finit rapido ici ;-)
Il suffit que je sois prévenue et je te mets en priorité pour mes réponses. À toi de jouer ensuite. On peut régler ça demain, si tu veux… Commence à relire le début en attendant (cf « Travaux en cours », comme d'habitude).

Elles étaient littéralement captivées par leur recherche, à présent endormies, proches de la mort. Nasón était dehors, aux aguets, attendant que les conversations laissent place au silence. Il était impatient, excité, le sang bouillait dans ses veines, il se sentait envahi par le bonheur.

OK.