vendredi 9 août 2013

Projet Manon / Nancy – phrases 37-38

Ella levantó delicadamente el párpado de Alejandro, inmediatamente el ojo color verde de su hijo se hizo notar, daba vueltas como si soñara. En el epílogo de la suculenta obra Cocina Humana de René Atri leímos que no era necesario quebrar el cráneo para acceder al cerebro.

Traduction temporaire :
Elle a soulevé délicatement l'une des paupières d'Alejandro ; aussitôt, l’œil vert de votre fils est apparu, tournoyant comme s'il rêvait. Nous avions lu, dans l'épilogue de Cuisine Humaine, l'œuvre succulente de René Atri, qu'il était nécessaire de fracasser le crâne pour accéder au cerveau.

7 commentaires:

Nancy a dit…

Elle souleva délicatement la paupière d'Alejandro, aussitôt, l’œil vert de votre fils est apparu, tournant en rond comme s'il rêvait. Dans l'épilogue de l'œuvre succulente "Cuisine Humaine" de René Atri, nous avions lu qu'il était nécessaire de casser le crâne pour accéder au cerveau.

Tradabordo a dit…

Elle souleva délicatement la paupière [« l'une des paupières » ?] d'Alejandro, [point-virgule pour qu'il soit clair tout de suite que l'adverbe va avec la suite] aussitôt, l’œil vert de votre fils est apparu, tournant en rond [bof] comme s'il rêvait. Dans l'épilogue de l'œuvre succulente "Cuisine Humaine" de René Atri [change la syntaxe ; je ne pense pas que ce soit la meilleure solution], nous avions lu qu'il était nécessaire de casser [« briser » ou – pour insister sur le gore : « fracasser » ?] le crâne pour accéder au cerveau.

Nancy a dit…

Elle a soulevé [passé composé, je me suis trompée] délicatement l'une des paupières d'Alejandro ; aussitôt, l’œil vert de votre fils est apparu, tournoyant comme s'il rêvait. Nous avions lu, dans l'épilogue de l'œuvre succulente "Cuisine Humaine" de René Atri, qu'il était nécessaire de fracasser le crâne pour accéder au cerveau.

Tradabordo a dit…

Elle a soulevé délicatement l'une des paupières d'Alejandro ; aussitôt, l’œil vert de votre fils est apparu, tournoyant comme s'il rêvait. Nous avions lu, dans l'épilogue de l'œuvre succulente "Cuisine Humaine" de René Atri, qu'il était nécessaire de fracasser le crâne pour accéder au cerveau.

Je te propose :

Elle a soulevé [passé composé, je me suis trompée] délicatement l'une des paupières d'Alejandro ; aussitôt, l’œil vert de votre fils est apparu, tournoyant comme s'il rêvait. Nous avions lu, dans l'épilogue de "Cuisine Humaine", l'œuvre succulente de René Atri, qu'il était nécessaire de fracasser le crâne pour accéder au cerveau.

OK ?

Unknown a dit…

Elle a soulevé délicatement l'une des paupières d'Alejandro ; aussitôt, l’œil vert de votre fils est apparu, tournoyant comme s'il rêvait. Nous avions lu, dans l'épilogue de Cuisine Humaine, l'œuvre succulente de René Atri, qu'il était nécessaire de fracasser le crâne pour accéder au cerveau.

Tradabordo a dit…

Elle a soulevé délicatement l'une des paupières d'Alejandro ; aussitôt, l’œil vert de votre fils est apparu, tournoyant comme s'il rêvait. Nous avions lu, dans l'épilogue de Cuisine Humaine, l'œuvre succulente de René Atri, qu'il était nécessaire de fracasser le crâne pour accéder au cerveau.

Nancy ?

Nancy a dit…

OK !