mercredi 21 août 2013

Projet Nancy 3 – phrases 4-5

Por suerte, ese viernes me habían llamado para trabajar en un evento. Gourmet Food Limited operaba así, te telefoneaban cuando te necesitaban, muchas veces uno tenía que llamarles y recordarles que vivir solamente del aire era una tarea difícil.

Traduction temporaire :
Par chance, ce vendredi-là, on m'avait contacté pour faire le service lors d'un événement spécial. Gourmet Food Limited fonctionnait comme ça : ils téléphonaient quand ils avaient besoin de vous. Sauf que souvent, il fallait les rappeler et leur expliquer que quand, pour vivre, on doit se contenter de l'air qu'on respire, ça n'est pas une sinécure.

22 commentaires:

Nancy a dit…

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait appelé pour travailler [ou sans "travailler", j'hésite] lors d'un événement spécial. Gourmet Food Limited fonctionnait comme cela : ils vous téléphonaient quand ils avaient besoin de vous. Souvent, on devait les contacter pour leur mentionner que vivre seulement d'air était une tâche difficile.

Tradabordo a dit…

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait appelé pour un événement spécial. Gourmet Food Limited fonctionnait comme cela : ils vous téléphonaient quand ils avaient besoin de vous. Souvent, on devait les contacter pour leur mentionner que vivre seulement d'air était une tâche difficile.

OK pour le point que tu soulèves… Je trouve le reste assez peu naturel. Essaie de mettre un peu de fluidité dans tout ça.

Nancy a dit…

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait contacté pour un événement spécial. Gourmet Food Limited fonctionnait comme cela : ils téléphonaient quand ils avaient besoin de vous [ou "nous" ?]. Souvent, il fallait leur rappeler que vivre seulement d'air, c'était une tâche difficile.

Tradabordo a dit…

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait contacté pour un événement spécial [avec « événement spécial », je crois quand même qu'on devrait ajouter un verbe… Je n'arrive pas à être convaincue]. Gourmet Food Limited fonctionnait comme cela [« ça » ?] : ils téléphonaient quand ils avaient besoin de vous. [cheville : « mais, »] Souvent, il fallait leur rappeler que vivre seulement d'air, c'était une tâche difficile [la fin ne va pas…].

Nancy a dit…

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait contacté pour faire le service lors d'un événement spécial [est ce que "pour un extra" marcherait ?]. Gourmet Food Limited fonctionnait comme ça : ils téléphonaient quand ils avaient besoin de vous. Mais souvent, on devait leur rappeler que vivre seulement d'air était un travail difficile.

Tradabordo a dit…

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait contacté pour faire le service lors d'un événement spécial [est ce que "pour un extra" marcherait ? Je ne sais pas… Quel est le sens ?]. Gourmet Food Limited fonctionnait comme ça : ils téléphonaient quand ils avaient besoin de vous. Mais souvent, on devait leur rappeler que vivre seulement d'air était un travail difficile [dégage-toi de l'espagnol et ne tiens compte que de la fluidité en français].

Nancy a dit…

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait contacté pour faire le service lors d'un événement spécial [est ce que "pour un extra" marcherait ? Je ne sais pas… Quel est le sens ?/Dans le sens de "mission", de travail ponctuel mais je préfère avec "servir" : "pour servir lors d'un événement spécial", non ?]. Gourmet Food Limited fonctionnait comme ça : ils téléphonaient quand ils avaient besoin de vous. Mais souvent, il fallait les rappeler et leur expliquer que vivre seulement d'air, ce n'était pas facile[dégage-toi de l'espagnol et ne tiens compte que de la fluidité en français/C'est dur…:(].

Tradabordo a dit…

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait contacté pour faire le service lors d'un événement spécial. Gourmet Food Limited fonctionnait comme ça : ils téléphonaient quand ils avaient besoin de vous. Mais [un pb ce « mais » / l'idée, c'est que comme ils appellent rarement, il faut les solliciter…] souvent, il fallait les rappeler et leur expliquer que vivre seulement d'air, ce n'était pas facile [dégage-toi de l'espagnol et ne tiens compte que de la fluidité en français/C'est dur…:( // quelle est l'expression française ?].

Nancy a dit…

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait contacté pour faire le service lors d'un événement spécial. Gourmet Food Limited fonctionnait comme ça : ils téléphonaient quand ils avaient besoin de vous. Mais [un pb ce « mais » / l'idée, c'est que comme ils appellent rarement, il faut les solliciter…/ Je ne comprends pas, c'est toi qui avais proposé le "mais", il faudrait plutôt ", donc" ou peut-être ", du coup" ?] souvent, il fallait les rappeler et leur expliquer que vivre seulement d'air, ce n'était pas une sinécure.

Tradabordo a dit…

Je te propose – tu sais, dans le flot, je ne vois pas tout de suite ce qu'il y a de mieux ;-)

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait contacté pour faire le service lors d'un événement spécial. Gourmet Food Limited fonctionnait comme ça : ils téléphonaient quand ils avaient besoin de vous. Sauf que souvent, il fallait les rappeler et leur expliquer que vivre seulement d'air [pas naturel ; est-ce qu'on va vers « d'amour et d'eau fraîche » ?], ce n'était pas une sinécure.

Nancy a dit…

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait contacté pour faire le service lors d'un événement spécial. Gourmet Food Limited fonctionnait comme ça : ils téléphonaient quand ils avaient besoin de vous. Sauf que souvent, il fallait les rappeler et leur expliquer que seulement d'air [pas naturel ; est-ce qu'on va vers « » ?/ Il reprend l'idée de la première phrase du texte : "Pendant une période, j'ai vécu uniquement de l'air que je respirais." donc j'ai hésité mais, tu as raison, cela évite une répétition, enlève un adverbe et c'est plus clair !], ce n'était pas une sinécure.

Ça donne :

Sauf que souvent, il fallait les rappeler et leur expliquer que vivre d'amour et d'eau fraîche, ce n'était pas une sinécure.

Tradabordo a dit…

J'hésite… Évidemment, l'expression nous tend les bras – et c'est bien pour ça que j'y ai pensé – mais faut-il aller jusque-là ? Quel est ton avis ?

Nancy a dit…

C'est vrai que "vivir solamente del aire", c'est pire que "d'amour et d'eau fraîche", il faudrait respecter la V.O.

Ce serait peut-être mieux formulé ainsi :
"Sauf que souvent, il fallait les rappeler et leur expliquer que quand on ne vit qu'avec de l'air, ce n'est pas une sinécure."

Tradabordo a dit…

Je te propose :

"Sauf que souvent, il fallait les rappeler et leur expliquer que quand, pour vivre, on doit se contenter ne vit qu'avec de l'air qu'on respire, ça n'est pas une sinécure."

OK ?

Nancy a dit…

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait contacté pour faire le service lors d'un événement spécial. Gourmet Food Limited fonctionnait comme ça : ils téléphonaient quand ils avaient besoin de vous.
Sauf que souvent, il fallait les rappeler et leur expliquer que quand, pour vivre, on doit se contenter d'air [pour éviter la répétition de "respirer" de la première phrase ou c'est trop bizarre ?], ça n'est pas une sinécure.

Tradabordo a dit…

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait contacté pour faire le service lors d'un événement spécial. Gourmet Food Limited fonctionnait comme ça : ils téléphonaient quand ils avaient besoin de vous.
Sauf que souvent, il fallait les rappeler et leur expliquer que quand, pour vivre, on doit se contenter d'air [pour éviter la répétition de "respirer" de la première phrase ou c'est trop bizarre ? C'est bizarre… Et dans la première phrase, on peut faire quelque chose. retourne là-bas… je t'y retrouve ;-)], ça n'est pas une sinécure.

Nancy a dit…

OK allons-y !

Tradabordo a dit…

Du coup, ici, remets-moi la bonne phrase…

Nancy a dit…

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait contacté pour faire le service lors d'un événement spécial. Gourmet Food Limited fonctionnait comme ça : ils téléphonaient quand ils avaient besoin de vous. Sauf que souvent, il fallait les rappeler et leur expliquer que quand, pour vivre, on doit se contenter de l'air qu'on respire [ou "pour vivre" ici], ça n'est pas une sinécure.

Tradabordo a dit…

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait contacté pour faire le service lors d'un événement spécial. Gourmet Food Limited fonctionnait comme ça : ils téléphonaient quand ils avaient besoin de vous. Sauf que souvent, il fallait les rappeler et leur expliquer que quand, pour vivre, on doit se contenter de l'air qu'on respire [ou "pour vivre" ici], ça n'est pas une sinécure.

Choisis.

Nancy a dit…

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait contacté pour faire le service lors d'un événement spécial. Gourmet Food Limited fonctionnait comme ça : ils téléphonaient quand ils avaient besoin de vous. Sauf que souvent, il fallait les rappeler et leur expliquer que quand, pour vivre, on doit se contenter de l'air qu'on respire, ça n'est pas une sinécure.

Tradabordo a dit…

Par chance, ce vendredi-là, on m'avait contacté pour faire le service lors d'un événement spécial. Gourmet Food Limited fonctionnait comme ça : ils téléphonaient quand ils avaient besoin de vous. Sauf que souvent, il fallait les rappeler et leur expliquer que quand, pour vivre, on doit se contenter de l'air qu'on respire, ça n'est pas une sinécure.

OK.