mardi 20 août 2013

Projet Nancy 3 – titre + phrases 1-3

Gunter Silva
(Pérou)

LOTTIE

Por una época viví únicamente del aire que respiraba. Debo de reconocer que eran tiempos duros, como en todas las capitales del mundo, en Londres, nadie se paraba a echarte una mano. Debía verme tan mal que ni los vendedores callejeros me asechaban, intuían que no iban a sacar ni un duro de mis bolsillos.

Traduction temporaire :

Gunter Silva (Pérou)

LOTTIE

Pendant une période, j'ai vécu uniquement de l'air que je respirais. Je dois admettre que, comme dans toutes les capitales du monde, les temps étaient durs à Londres : personne ne s'arrêtait pour vous donner un coup de main. Je devais avoir l'air en si mauvais état que même les vendeurs de rue ne m'approchaient pas, devinant qu'ils ne tireraient pas un sou de mes poches.

7 commentaires:

Nancy a dit…

Pendant une période, j'ai vécu uniquement de l'air que je respirais. Je dois reconnaître que, comme dans toutes les capitales du monde, les temps étaient durs à Londres, personne ne s'arrêtait pour vous donner un coup de main. Je devais avoir l'air si mal en point que même les vendeurs de rue ne m'abordaient pas, ils devinaient qu'ils ne tireraient pas un sou de mes poches.

Tradabordo a dit…

N'oublie pas le titre et l'auteur… – que je n'ai plus qu'à faire le copier / coller de l'ensemble.

Pendant une période, j'ai vécu uniquement de l'air que je respirais. Je dois reconnaître [ou « admettre » ?] que, comme dans toutes les capitales du monde, les temps étaient durs à Londres, personne ne s'arrêtait [ou « ne s'arrêtant » ? J'hésite… comme tu veux] pour vous donner un coup de main. Je devais avoir l'air si mal en point [ou cela fait référence à son aspect ?] que même les vendeurs de rue ne m'abordaient [FS ou léger inexact] pas, ils devinaient [ou « devinant » ?] qu'ils ne tireraient pas un sou de mes poches.

Nancy a dit…

Ah oui, décidément…

Gunter Silva (Pérou)
LOTTIE

Pendant une période, j'ai vécu uniquement de l'air que je respirais. Je dois reconnaître [ou « admettre » ?/C'est mieux en français ?] que, comme dans toutes les capitales du monde, les temps étaient durs à Londres : personne ne s'arrêtait pour vous donner un coup de main. Je devais avoir l'air en si mauvais état que même les vendeurs de rue ne m'approchaient pas, devinant qu'ils ne tireraient pas un sou de mes poches.

Tradabordo a dit…

Gunter Silva (Pérou)
LOTTIE

Pendant une période, j'ai vécu uniquement de l'air que je respirais. Je dois admettre que, comme dans toutes les capitales du monde, les temps étaient durs à Londres : personne ne s'arrêtait pour vous donner un coup de main. Je devais avoir l'air en si mauvais état que même les vendeurs de rue ne m'approchaient pas, devinant qu'ils ne tireraient pas un sou de mes poches.

OK.

Nancy a dit…

Pendant une période, seul l'air me permettait de subsister.
Je dois admettre que, comme dans toutes les capitales du monde, les temps étaient durs à Londres : personne ne s'arrêtait pour vous donner un coup de main. Je devais avoir l'air ["paraître"] en si mauvais état que même les vendeurs de rue ne m'approchaient pas, devinant qu'ils ne tireraient pas un sou de mes poches.

Tradabordo a dit…

Pendant une période, seul l'air me permettait de subsister.
Je dois admettre que, comme dans toutes les capitales du monde, les temps étaient durs à Londres : personne ne s'arrêtait pour vous donner un coup de main. Je devais avoir l'air ["paraître"] en si mauvais état que même les vendeurs de rue ne m'approchaient pas, devinant qu'ils ne tireraient pas un sou de mes poches.

OK. Je corrige dans le doc final… Peu importe le post.

Tradabordo a dit…

Cela dit, il faudra qu'on regarde tout ça de près à la relecture parce que ça n'est pas génial.