lundi 16 septembre 2013

Projet Céline – phrase 88

Ella se sonrió, se rió absolutamente alegre, aliviada, despejada, increíblemente sola y libre, como si no tuviera hijos, como si, hacía unos diez años, antes de casarse con el canalla de Ramiro, hubiera debido emprender ese viaje y encontrarse, sola en su vida, en su tren, en su juventud con ese desconocido que había cogido un tren equivocado, pero finalmente no tan equivocado porque la había encontrado a ella.

Traduction temporaire :
Elle sourit, elle rit, absolument joyeuse, soulagée, légère, incroyablement seule et libre, comme si elle n’avait pas d’enfants, comme si, dix ans plus tôt, avant de se marier avec cette canaille de Ramiro, elle avait dû entreprendre ce voyage et rencontrer, seule dans sa vie, dans son train, dans sa jeunesse, cet inconnu qui s’était trompé de train, mais qui ne s’était finalement pas tant trompé que cela puisqu’il l’avait rencontrée, elle.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Elle sourit, elle rit, absolument joyeuse, soulagée, alerte, incroyablement seule et libre, comme si elle n’avait pas d’enfants, comme si, dix ans plus tôt, avant de se marier avec cette canaille de Ramiro, elle avait décidé d’entreprendre ce voyage et de rencontrer, seule dans sa vie, dans son train, dans sa jeunesse, cet inconnu qui s’était trompé de train, mais qui ne s’était finalement pas si trompé que ça puisqu’il l’avait rencontrée, elle.

Tradabordo a dit…

Elle sourit, elle rit, absolument joyeuse, soulagée, alerte [sûre ?], incroyablement seule et libre, comme si elle n’avait pas d’enfants, comme si, dix ans plus tôt, avant de se marier avec cette canaille de Ramiro, elle avait décidé [est-ce que tu ne changes pas le sens ?] d’entreprendre ce voyage et de rencontrer, seule dans sa vie, dans son train, dans sa jeunesse, cet inconnu qui s’était trompé de train, mais qui ne s’était finalement pas si [ça ne va pas avec « si »] trompé que ça [« cela »] puisqu’il l’avait rencontrée, elle.

Unknown a dit…

Elle sourit, elle rit, absolument joyeuse, soulagée, légère, incroyablement seule et libre, comme si elle n’avait pas d’enfants, comme si, dix ans plus tôt, avant de se marier avec cette canaille de Ramiro, elle avait dû entreprendre ce voyage et rencontrer, seule dans sa vie, dans son train, dans sa jeunesse, cet inconnu qui s’était trompé de train, mais qui ne s’était finalement pas tant trompé que cela puisqu’il l’avait rencontrée, elle.

Tradabordo a dit…

Elle sourit, elle rit, absolument joyeuse, soulagée, légère, incroyablement seule et libre, comme si elle n’avait pas d’enfants, comme si, dix ans plus tôt, avant de se marier avec cette canaille de Ramiro, elle avait dû entreprendre ce voyage et rencontrer, seule dans sa vie, dans son train, dans sa jeunesse, cet inconnu qui s’était trompé de train, mais qui ne s’était finalement pas tant trompé que cela puisqu’il l’avait rencontrée, elle.

OK.