samedi 28 septembre 2013

Projet Céline / Sonita – phrase 70

El indio está sentado, y al muerto le lloran sus hijos sin que él lo sepa, pues no oye los ruidos, ni siente al viento correr, ni tampoco la asfixia de su féretro.

Traduction temporaire :
L’Indien est assis, et les enfants du mort le pleurent sans qu’il le sache, car il n’entend pas les bruits, pas plus qu'il ne sent le vent souffler ou l’atmosphère asphyxiante de son cercueil.

5 commentaires:

Unknown a dit…

L’Indien est assis, et les enfants du mort le pleurent sans qu’il le sache, car il n’entend pas les bruits, ni ne sent le vent souffler, ni l’atmosphère asphyxiante de son cercueil.

Sonita a dit…

J'enlèverait seulement le "ne" après le "ni" de la proposition de Céline :

L’Indien est assis, et les enfants du mort le pleurent sans qu’il le sache, car il n’entend pas les bruits, ni sent le vent souffler, ni l’atmosphère asphyxiante de son cercueil.

Tradabordo a dit…

Je vous propose :

L’Indien est assis, et les enfants du mort le pleurent sans qu’il le sache, car il n’entend pas les bruits, pas plus qu'il ne sent le vent souffler ou l’atmosphère asphyxiante de son cercueil.

OK ?

Sonita a dit…


L’Indien est assis, et les enfants du mort le pleurent sans qu’il le sache, car il n’entend pas les bruits, pas plus qu'il ne sent le vent souffler ou l’atmosphère asphyxiante de son cercueil.

OK.

Unknown a dit…

L’Indien est assis, et les enfants du mort le pleurent sans qu’il le sache, car il n’entend pas les bruits, pas plus qu'il ne sent le vent souffler ou l’atmosphère asphyxiante de son cercueil.

OK