vendredi 13 septembre 2013

Projet Émilie – phrase 75

Cuando aprieta llega la noche y aprieta el frío del otoño, la juventud de los barrios se reúne alrededor de la chimenea o del fogón para mirar danzar las llamas y con ellas los funestos personajes, Cecilia Valdés, Amalia, María, Martín Rivas, doña Bárbara, sus charlas, risas, susurros, sollozos, suspiros, intrigas, silencios, etc.

Traduction temporaire :
Quand la nuit et le froid automnal deviennent oppressants, la jeunesse des quartiers se retrouve autour de la cheminée ou du poêle pour regarder danser les flammes, et avec elles, de funestes personnages : Cecilia Valdés, Amalia, María, Martín Rivas, doña Bárbara, leurs conversations, leurs rires, leurs chuchotements, leurs sanglots, leurs soupirs, leurs intrigues, leurs silences, etc.

10 commentaires:

Emilie a dit…

Quand vient la nuit et que le froid automnal transit, la jeunesse des quartiers se retrouve autour de la cheminée ou du poêle pour regarder danser les flammes et, avec elles, les funestes personnages : Cecilia Valdés, Amalia, María, Martín Rivas, doña Bárbara, leurs conversations, leurs rires, leurs chuchotements, leurs sanglots, leurs soupirs, leurs intrigues, leurs silences, etc.

Tradabordo a dit…

Quand vient la nuit [et « aprieta » ?] et que le froid automnal transit, la jeunesse des quartiers se retrouve autour de la cheminée ou du poêle pour regarder danser les flammes et, avec elles, les funestes personnages : Cecilia Valdés, Amalia, María, Martín Rivas, doña Bárbara, leurs conversations, leurs rires, leurs chuchotements, leurs sanglots, leurs soupirs, leurs intrigues, leurs silences, etc.

Emilie a dit…

Mmh... Tu ne penses pas que ça peut être une erreur, ces 2 verbes successifs : "Cuando aprieta llega la noche y aprieta el frío"?

Tradabordo a dit…

Si… mais du coup, est-ce que tu ne crois pas que c'est « aprieta » le plus intéressant ici ?

Emilie a dit…

OK. Oppresser ? assaillir ? Bof... A moins qu'on ne mette qu'un verbe pour les 2 (nuit et froid)...

Quand la nuit oppresse et que le froid automnal transit, la jeunesse des quartiers se retrouve autour de la cheminée ou du poêle pour regarder danser les flammes et, avec elles, les funestes personnages : Cecilia Valdés, Amalia, María, Martín Rivas, doña Bárbara, leurs conversations, leurs rires, leurs chuchotements, leurs sanglots, leurs soupirs, leurs intrigues, leurs silences, etc.

Tradabordo a dit…

OK et du coup, que penses-tu de quelque chose comme « oppresse » ?

Emilie a dit…

Quand la nuit et le froid automnal oppressent, la jeunesse des quartiers se retrouve autour de la cheminée ou du poêle pour regarder danser les flammes et, avec elles, les funestes personnages : Cecilia Valdés, Amalia, María, Martín Rivas, doña Bárbara, leurs conversations, leurs rires, leurs chuchotements, leurs sanglots, leurs soupirs, leurs intrigues, leurs silences, etc.

Tradabordo a dit…

Quand la nuit et le froid automnal oppressent [ou « deviennent oppressantes » ?], la jeunesse des quartiers se retrouve autour de la cheminée ou du poêle pour regarder danser les flammes, et avec elles, les [« de » ?] funestes personnages : Cecilia Valdés, Amalia, María, Martín Rivas, doña Bárbara, leurs conversations, leurs rires, leurs chuchotements, leurs sanglots, leurs soupirs, leurs intrigues, leurs silences, etc.

Emilie a dit…

Quand la nuit et le froid automnal deviennent oppressants, la jeunesse des quartiers se retrouve autour de la cheminée ou du poêle pour regarder danser les flammes, et avec elles, de funestes personnages : Cecilia Valdés, Amalia, María, Martín Rivas, doña Bárbara, leurs conversations, leurs rires, leurs chuchotements, leurs sanglots, leurs soupirs, leurs intrigues, leurs silences, etc.

Tradabordo a dit…

Quand la nuit et le froid automnal deviennent oppressants, la jeunesse des quartiers se retrouve autour de la cheminée ou du poêle pour regarder danser les flammes, et avec elles, de funestes personnages : Cecilia Valdés, Amalia, María, Martín Rivas, doña Bárbara, leurs conversations, leurs rires, leurs chuchotements, leurs sanglots, leurs soupirs, leurs intrigues, leurs silences, etc.

OK.