samedi 14 septembre 2013

Projet Émilie – phrase 78

Quemarle a un escritor un libro llega a ser tan increíble, ensoñador y deseable, que se abren registros al efecto en la biblioteca nacional y en la universidad de Chile, ser autor de libros que son, o serán, quemados es una ambición tan legítimamente esperada como un enorme y jugoso premio de consagración internacional y se recogen conversaciones y advertencias que permanecen: "es un autor tan único y magistral que todos sus libros han sido quemados" (de esta ambición, sueño y anhelo, nacen celos, odios, envidias, zancadillas, delaciones, suicidios, homicidios, toda la suelta condición humana, etc.).

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

6 commentaires:

Emilie a dit…

Brûler un livre à un écrivain est devenu si incroyable, si désirable, et fait tellement rêver, qu’on ouvre des registres à cet effet à la bibliothèque nationale et à l’université du Chili ; être l’auteur de livres qui sont ou seront brûlés est une ambition aussi légitimement briguée qu’une énorme et juteuse récompense apportant une consécration internationale, et on recueille des conversations et des observations qui restent : « c’est un auteur si unique et magistral que tous ses livres ont été brûlés » (cette ambition, ce rêve, ce désir font naître des jalousies, des haines, des envies, des crocs-en-jambe, des délations, des suicides, des homicides, toute la condition humaine livrée à elle-même, etc.).

Tradabordo a dit…

Brûler un livre [ou « l'un de ses » ?] à un écrivain est devenu si incroyable, si désirable, et fait tellement rêver, qu’on ouvre des registres à cet effet à la bibliothèque nationale et à l’université du Chili ;

être l’auteur de livres qui sont ou seront brûlés est [beaucoup de « est » / change, sans trop enrichir d'un point de vue sémantique] une ambition aussi légitimement briguée qu’une énorme et juteuse récompense [« prix » ?] apportant une consécration internationale, et on recueille [j'hésite…] des conversations et des observations qui restent :

Emilie a dit…

Brûler l'un de ses livres à un écrivain est devenu si incroyable, si désirable, et fait tellement rêver, qu’on ouvre des registres à cet effet à la bibliothèque nationale et à l’université du Chili ; être l’auteur de livres qui sont ou seront brûlés fait l’objet d’une ambition aussi légitimement briguée qu’un énorme prix juteux apportant une consécration internationale, et on entend des conversations et des observations qui restent : « c’est un auteur si unique et magistral que tous ses livres ont été brûlés » (cette ambition, ce rêve, ce désir font naître des jalousies, des haines, des envies, des crocs-en-jambe, des délations, des suicides, des homicides, toute la condition humaine livrée à elle-même, etc.).

Tradabordo a dit…

Brûler l'un de ses livres à un écrivain est devenu si incroyable, si désirable, et fait tellement rêver, qu’on ouvre [ou : « qu'on en est à ouvrir » ?] des registres à cet effet à la bibliothèque nationale et à l’université du Chili ; être l’auteur de livres qui sont ou seront brûlés fait l’objet [bof] d’une ambition aussi légitimement briguée qu’un énorme [bof] prix juteux apportant une consécration internationale, et on entend des conversations et des observations qui restent : « c’est un auteur si [ce serait mieux avec « tellement », mais tu l'as avant… Vois si tu ne peux pas changer l'autre] unique et magistral que tous ses livres ont été brûlés » (cette ambition, ce rêve, ce désir font naître des jalousies, des haines, des envies, des crocs-en-jambe [avec « faire naître » ? Soit tu trouves un verbe qui fonctionne avec tous… soit tu déclines], des délations, des suicides, des homicides, toute la condition humaine livrée à elle-même, etc.).

Emilie a dit…

Brûler l'un de ses livres à un écrivain est devenu si incroyable, si désirable, et fait tant rêver, qu’on en est à ouvrir des registres à cet effet à la bibliothèque nationale et à l’université du Chili ; être l’auteur de livres qui sont ou seront brûlés constitue une ambition aussi légitimement briguée qu’un formidable prix juteux apportant une consécration internationale, et on entend des conversations et des observations qui restent : « c’est un auteur tellement unique et magistral que tous ses livres ont été brûlés » (cette ambition, ce rêve, ce désir font naître des jalousies, des haines, des envies, engendrent des crocs-en-jambe, des délations, des suicides, des homicides, toute la condition humaine livrée à elle-même, etc.).

Tradabordo a dit…

Brûler l'un de ses livres à un écrivain est devenu si incroyable, si désirable, et fait tant rêver, qu’on en est à ouvrir des registres à cet effet à la bibliothèque nationale et à l’université du Chili ; être l’auteur de livres qui sont ou seront brûlés constitue une ambition aussi légitimement briguée qu’un formidable prix juteux apportant une consécration internationale, et on entend des conversations et des observations qui restent : « c’est un auteur tellement unique et magistral que tous ses livres ont été brûlés » (cette ambition, ce rêve, ce désir font naître des jalousies, des haines, des envies, engendrent des crocs-en-jambe, des délations, des suicides, des homicides, toute la condition humaine livrée à elle-même, etc.).

OK… C'est bien.