mardi 17 septembre 2013

Projet Émilie – phrase 79

Un autor ya no está nervioso y neurasténico por concluir el libro que ha imaginado, sino neurótico y odioso porque la imprenta no le entrega aun los tres mil libros que han de ser entregados al verdugo oficial –que es, además, ministro de educación pública–, para obtener el reconocimiento, el respeto por su vida y la tranquilidad que precisa para escribir sucesivos libros que, si el destino y la inspiración lo acompañan, con sus llamas iluminarán su nombre y su figura por largo tiempo.

Traduction temporaire :
Un auteur n’est plus nerveux et neurasthénique parce qu’il a hâte de terminer le livre qu’il a imaginé, non, il est névrosé et odieux parce que l’imprimerie tarde à lui livrer les trois mille exemplaires à remettre au bourreau officiel – qui est, du reste, ministre de l’enseignement public – pour obtenir la reconnaissance, le respect à l'égard de sa vie et la tranquillité dont il a besoin pour écrire une succession de livres qui, si la chance et l’inspiration sont avec lui, illumineront longtemps son nom et sa personne avec les flammes qu'ils produiront.

10 commentaires:

Emilie a dit…

Un auteur n’est plus nerveux et neurasthénique parce qu’il a hâte de terminer le livre qu’il a imaginé, mais névrosé et odieux parce que l’imprimerie tarde à lui livrer les trois mille ouvrages à remettre au bourreau officiel – qui est, du reste, ministre de l’enseignement public –, afin qu’il obtienne la reconnaissance, le respect de sa vie et la tranquillité dont il a besoin pour écrire une succession de livres qui, si la chance et l’inspiration l’accompagnent, illumineront de leurs flammes et pour longtemps son nom et sa personne.

Tradabordo a dit…

Un auteur n’est plus nerveux et neurasthénique parce qu’il a hâte de terminer le livre qu’il a imaginé, mais [ou : « non, il est » ?] névrosé et odieux parce que l’imprimerie tarde à lui livrer les trois mille ouvrages [« exemplaires » ?] à remettre au bourreau officiel – qui est, du reste [ou « en outre » ? Comme tu veux], ministre de l’enseignement public –, afin qu’il [on peut pas simplifier ?] obtienne la reconnaissance, le respect de sa vie et la tranquillité dont il a besoin pour écrire une succession de livres qui, si la chance et l’inspiration l’accompagnent, illumineront de leurs flammes et pour longtemps son nom et sa personne.

Emilie a dit…

Un auteur n’est plus nerveux et neurasthénique parce qu’il a hâte de terminer le livre qu’il a imaginé, non, il est névrosé et odieux parce que l’imprimerie tarde à lui livrer les trois mille exemplaires à remettre au bourreau officiel – qui est, du reste, ministre de l’enseignement public – pour obtenir la reconnaissance, le respect de sa vie et la tranquillité dont il a besoin pour écrire une succession de livres qui, si la chance et l’inspiration l’accompagnent, illumineront de leurs flammes et pour longtemps son nom et sa personne.

Tradabordo a dit…

Un auteur n’est plus nerveux et neurasthénique parce qu’il a hâte de terminer le livre qu’il a imaginé, non, il est névrosé et odieux parce que l’imprimerie tarde à lui livrer les trois mille exemplaires à remettre au bourreau officiel – qui est, du reste, ministre de l’enseignement public – pour obtenir la reconnaissance, le respect [cheville : « à l'égard » ?] de sa vie et la tranquillité dont il a besoin pour écrire une succession de livres qui, si la chance et l’inspiration l’accompagnent, illumineront de leurs flammes [ou avec une périphrase un peu explicative : avec les flammes qu'ils produisent… – ou quelque chose comme ça ?] et pour longtemps son nom et sa personne.

Emilie a dit…

Un auteur n’est plus nerveux et neurasthénique parce qu’il a hâte de terminer le livre qu’il a imaginé, non, il est névrosé et odieux parce que l’imprimerie tarde à lui livrer les trois mille exemplaires à remettre au bourreau officiel – qui est, du reste, ministre de l’enseignement public – pour obtenir la reconnaissance, le respect à l'égard de sa vie et la tranquillité dont il a besoin pour écrire une succession de livres qui, si la chance et l’inspiration l’accompagnent, illumineront avec les flammes qu'ils produisent, pour longtemps, son nom et sa personne.

Tradabordo a dit…

Un auteur n’est plus nerveux et neurasthénique parce qu’il a hâte de terminer le livre qu’il a imaginé, non, il est névrosé et odieux parce que l’imprimerie tarde à lui livrer les trois mille exemplaires à remettre au bourreau officiel – qui est, du reste, ministre de l’enseignement public – pour obtenir la reconnaissance, le respect à l'égard de sa vie et la tranquillité dont il a besoin pour écrire une succession de livres qui, si la chance et l’inspiration l’accompagnent, illumineront avec les flammes qu'ils produisent, pour longtemps [syntaxe ; vois si ça ne serait pas mieux placé ailleurs], son nom et sa personne.

Emilie a dit…

Un auteur n’est plus nerveux et neurasthénique parce qu’il a hâte de terminer le livre qu’il a imaginé, non, il est névrosé et odieux parce que l’imprimerie tarde à lui livrer les trois mille exemplaires à remettre au bourreau officiel – qui est, du reste, ministre de l’enseignement public – pour obtenir la reconnaissance, le respect à l'égard de sa vie et la tranquillité dont il a besoin pour écrire une succession de livres qui, si la chance et l’inspiration l’accompagnent, illumineront avec les flammes qu'ils produisent son nom et sa personne, pour longtemps.

Tradabordo a dit…

Un auteur n’est plus nerveux et neurasthénique parce qu’il a hâte de terminer le livre qu’il a imaginé, non, il est névrosé et odieux parce que l’imprimerie tarde à lui livrer les trois mille exemplaires à remettre au bourreau officiel – qui est, du reste, ministre de l’enseignement public – pour obtenir la reconnaissance, le respect à l'égard de sa vie et la tranquillité dont il a besoin pour écrire une succession de livres qui, si la chance et l’inspiration l’accompagnent [« sont avec lui »], illumineront avec les flammes qu'ils produisent son nom et sa personne, pour longtemps [ou : « illumineront longtemps sont nom et sa personne avec les flammes produites » ?].

Emilie a dit…

OK, mais il me semble que la fin est + claire avec une relative, même si ça alourdit la phrase..., non ?

Un auteur n’est plus nerveux et neurasthénique parce qu’il a hâte de terminer le livre qu’il a imaginé, non, il est névrosé et odieux parce que l’imprimerie tarde à lui livrer les trois mille exemplaires à remettre au bourreau officiel – qui est, du reste, ministre de l’enseignement public – pour obtenir la reconnaissance, le respect à l'égard de sa vie et la tranquillité dont il a besoin pour écrire une succession de livres qui, si la chance et l’inspiration sont avec lui, illumineront longtemps son nom et sa personne avec les flammes qu'ils produiront.

Tradabordo a dit…

Un auteur n’est plus nerveux et neurasthénique parce qu’il a hâte de terminer le livre qu’il a imaginé, non, il est névrosé et odieux parce que l’imprimerie tarde à lui livrer les trois mille exemplaires à remettre au bourreau officiel – qui est, du reste, ministre de l’enseignement public – pour obtenir la reconnaissance, le respect à l'égard de sa vie et la tranquillité dont il a besoin pour écrire une succession de livres qui, si la chance et l’inspiration sont avec lui, illumineront longtemps son nom et sa personne avec les flammes qu'ils produiront.

OK.