lundi 23 septembre 2013

Projet Émilie – phrase 84

Cuando, observando sus imperecederos sueños de juventud y su realidad actual, de hombre maduro que peina canas y cava arrugas, que ya no lee libros, que tampoco los escribe, se decide finalmente a escribirlos, cuando ya no puede soportar en la soledad de su encierro su inmensa alegría de saberse escritor, de saber que tenía razón, certeza, temas, cuando se lo cuenta al vecino Pérez y al vecino Pinto, y los invita a beber primero un trago de vino para mostrarles la cantidad de hojas, de miles de hojas que tiene ya escritas y brotadas, lo toman preso, pero no le queman su libro.

Traduction temporaire :
Et quand, observant ses impérissables rêves de jeunesse et sa réalité actuelle, d’homme mûr qui coiffe des cheveux blancs et creuse des rides, ne lit plus de livres, n’en écrit pas non plus, il se décide enfin à en écrire, puis quand, dans la solitude de son enfermement, il ne peut plus supporter son immense joie de se savoir écrivain, de savoir qu’il avait raison, qu’il en était sûr, qu’il avait des sujets, et qu'il raconte ça à ses voisins, Pérez et Pinto, qu’il invite d’abord à boire un verre de vin pour leur montrer la quantité de pages, les milliers de pages qu’il a déjà écrites et produites, on le fait prisonnier, mais on ne brûle pas son livre.

11 commentaires:

Emilie a dit…

Et quand, observant ses impérissables rêves de jeunesse et sa réalité actuelle, d’homme mûr qui coiffe des cheveux blancs et creuse des rides, qui ne lit plus de livres, qui n’en écrit pas non plus, il se décide enfin à en écrire, quand il ne peut plus supporter dans la solitude de son enfermement son immense joie de se savoir écrivain, de savoir qu’il avait raison, qu’il en était sûr, qu’il avait des sujets, quand il raconte ça à ses voisins, Pérez et Pinto, et qu’il les invite d’abord à boire un verre de vin pour leur montrer la quantité de feuilles, les milliers de feuilles qu’il a déjà écrites et produites, on le fait prisonnier, mais on ne brûle pas son livre.

Tradabordo a dit…

Et quand, observant ses impérissables rêves de jeunesse et sa réalité actuelle, d’homme mûr qui coiffe des cheveux blancs et creuse des rides, qui ne lit plus de livres, qui n’en écrit pas non plus, il se décide enfin à en écrire, quand il ne peut plus supporter dans la solitude de son enfermement [avance-le] son immense joie de se savoir écrivain, de savoir qu’il avait raison, qu’il en était sûr, qu’il avait des sujets, quand il raconte ça à ses voisins, Pérez et Pinto, et qu’il les invite d’abord à boire un verre de vin pour leur montrer la quantité de feuilles, les milliers de feuilles qu’il a déjà écrites et produites, on le fait prisonnier, mais on ne brûle pas son livre.

Emilie a dit…

Et quand, observant ses impérissables rêves de jeunesse et sa réalité actuelle, d’homme mûr qui coiffe des cheveux blancs et creuse des rides, qui ne lit plus de livres, qui n’en écrit pas non plus, il se décide enfin à en écrire, quand, dans la solitude de son enfermement, il ne peut plus supporter son immense joie de se savoir écrivain, de savoir qu’il avait raison, qu’il en était sûr, qu’il avait des sujets, quand il raconte ça à ses voisins, Pérez et Pinto, et qu’il les invite d’abord à boire un verre de vin pour leur montrer la quantité de feuilles, les milliers de feuilles qu’il a déjà écrites et produites, on le fait prisonnier, mais on ne brûle pas son livre.

Tradabordo a dit…

Et quand, observant ses impérissables rêves de jeunesse et sa réalité actuelle, d’homme mûr qui coiffe des cheveux blancs et creuse des rides, qui ne lit plus de livres, qui n’en écrit pas non plus, il se décide enfin à en écrire, quand [ça m'ennuie ces deux « quand »… Sont-ils sur le même plan ?], dans la solitude de son enfermement, il ne peut plus supporter son immense joie de se savoir écrivain, de savoir qu’il avait raison, qu’il en était sûr, qu’il avait des sujets, quand il raconte ça à ses voisins, Pérez et Pinto, et qu’il les invite d’abord à boire un verre de vin pour leur montrer la quantité de feuilles, les milliers de feuilles qu’il a déjà écrites et produites, on le fait prisonnier, mais on ne brûle pas son livre.

Emilie a dit…

En fait, il y a 3 "quand", qui correspondent à 3 moments successifs.
Je ne sais pas si ça passe mieux avec "Et quand... puis que... et que"... J'essaie :

Et quand, observant ses impérissables rêves de jeunesse et sa réalité actuelle, d’homme mûr qui coiffe des cheveux blancs et creuse des rides, qui ne lit plus de livres, qui n’en écrit pas non plus, il se décide enfin à en écrire, puis que, dans la solitude de son enfermement, il ne peut plus supporter son immense joie de se savoir écrivain, de savoir qu’il avait raison, qu’il en était sûr, qu’il avait des sujets, et qu'il raconte ça à ses voisins, Pérez et Pinto, qu’il invite d’abord à boire un verre de vin pour leur montrer la quantité de feuilles, les milliers de feuilles qu’il a déjà écrites et produites, on le fait prisonnier, mais on ne brûle pas son livre.

Tradabordo a dit…

Et quand, observant ses impérissables rêves de jeunesse et sa réalité actuelle, d’homme mûr qui coiffe des cheveux blancs et creuse des rides, qui ne lit plus de livres, qui n’en écrit pas non plus, il se décide enfin à en écrire, puis que, dans la solitude de son enfermement, il ne peut plus supporter son immense joie de se savoir écrivain, de savoir qu’il avait raison, qu’il en était sûr, qu’il avait des sujets, et qu'il raconte ça à ses voisins, Pérez et Pinto, qu’il invite d’abord à boire un verre de vin pour leur montrer la quantité de feuilles [ou « pages » ?], les milliers de feuilles qu’il a déjà écrites et produites, on le fait prisonnier, mais on ne brûle pas son livre.

Emilie a dit…

Et quand, observant ses impérissables rêves de jeunesse et sa réalité actuelle, d’homme mûr qui coiffe des cheveux blancs et creuse des rides, qui ne lit plus de livres, qui n’en écrit pas non plus, il se décide enfin à en écrire, puis que, dans la solitude de son enfermement, il ne peut plus supporter son immense joie de se savoir écrivain, de savoir qu’il avait raison, qu’il en était sûr, qu’il avait des sujets, et qu'il raconte ça à ses voisins, Pérez et Pinto, qu’il invite d’abord à boire un verre de vin pour leur montrer la quantité de pages, les milliers de pages qu’il a déjà écrites et produites, on le fait prisonnier, mais on ne brûle pas son livre.

Emilie a dit…

Tu crois qu'on pourrait enlever les 2 "qui" du début ?

Et quand, observant ses impérissables rêves de jeunesse et sa réalité actuelle, d’homme mûr qui coiffe des cheveux blancs et creuse des rides, ne lit plus de livres, n’en écrit pas non plus, il se décide enfin à en écrire, puis que, dans la solitude de son enfermement, il ne peut plus supporter son immense joie de se savoir écrivain, de savoir qu’il avait raison, qu’il en était sûr, qu’il avait des sujets, et qu'il raconte ça à ses voisins, Pérez et Pinto, qu’il invite d’abord à boire un verre de vin pour leur montrer la quantité de pages, les milliers de pages qu’il a déjà écrites et produites, on le fait prisonnier, mais on ne brûle pas son livre.

Tradabordo a dit…

Et quand, observant ses impérissables rêves de jeunesse et sa réalité actuelle, d’homme mûr qui coiffe des cheveux blancs et creuse des rides, ne lit plus de livres, n’en écrit pas non plus, il se décide enfin à en écrire, puis que [« quand » ?], dans la solitude de son enfermement, il ne peut plus supporter son immense joie de se savoir écrivain, de savoir qu’il avait raison, qu’il en était sûr, qu’il avait des sujets, et qu'il raconte ça à ses voisins, Pérez et Pinto, qu’il invite d’abord à boire un verre de vin pour leur montrer la quantité de pages, les milliers de pages qu’il a déjà écrites et produites, on le fait prisonnier, mais on ne brûle pas son livre.

Emilie a dit…

Et quand, observant ses impérissables rêves de jeunesse et sa réalité actuelle, d’homme mûr qui coiffe des cheveux blancs et creuse des rides, ne lit plus de livres, n’en écrit pas non plus, il se décide enfin à en écrire, puis quand, dans la solitude de son enfermement, il ne peut plus supporter son immense joie de se savoir écrivain, de savoir qu’il avait raison, qu’il en était sûr, qu’il avait des sujets, et qu'il raconte ça à ses voisins, Pérez et Pinto, qu’il invite d’abord à boire un verre de vin pour leur montrer la quantité de pages, les milliers de pages qu’il a déjà écrites et produites, on le fait prisonnier, mais on ne brûle pas son livre.

Tradabordo a dit…

Et quand, observant ses impérissables rêves de jeunesse et sa réalité actuelle, d’homme mûr qui coiffe des cheveux blancs et creuse des rides, ne lit plus de livres, n’en écrit pas non plus, il se décide enfin à en écrire, puis, quand, dans la solitude de son enfermement, il ne peut plus supporter son immense joie de se savoir écrivain, de savoir qu’il avait raison, qu’il en était sûr, qu’il avait des sujets, et qu'il raconte ça à ses voisins, Pérez et Pinto, qu’il invite d’abord à boire un verre de vin pour leur montrer la quantité de pages, les milliers de pages qu’il a déjà écrites et produites, on le fait prisonnier, mais on ne brûle pas son livre.

OK.