samedi 28 septembre 2013

Projet Émilie – phrase 87

El verdugo, al verlo agonizante, se acercó a su oreja, o a lo que había sido una oreja y le susurró, amparado en el brillar de las llamas y en la soledad sin testigos que él también escribía y que ahora, ahora mismo, le envidiaba su destino.

Traduction temporaire :
Le voyant à l’agonie, le bourreau s’est approché de son oreille, ou plutôt de ce qui avait été son oreille, et lui a murmuré, protégé par l’éclat des flammes et la solitude sans témoins, que lui aussi écrivait, et qu’à présent, à cet instant précis, il enviait son sort.  

4 commentaires:

Emilie a dit…

Le bourreau, en le voyant à l’agonie, s’est approché de son oreille, ou de ce qui avait été son oreille, et lui a murmuré, protégé par l’éclat des flammes et la solitude sans témoins, que lui aussi écrivait, et qu’à présent, à cet instant précis, il enviait son sort.

Tradabordo a dit…

Le bourreau, en [nécessaire ? J'hésite] le voyant à l’agonie [au début ?], s’est approché de son oreille, ou de ce qui avait été son oreille, et lui a murmuré, protégé par l’éclat des flammes et la solitude sans témoins, que lui aussi écrivait, et qu’à présent, à cet instant précis, il enviait son sort.

Emilie a dit…

Le voyant à l’agonie, le bourreau s’est approché de son oreille, ou plutôt de ce qui avait été son oreille, et lui a murmuré, protégé par l’éclat des flammes et la solitude sans témoins, que lui aussi écrivait, et qu’à présent, à cet instant précis, il enviait son sort.

Tradabordo a dit…

Le voyant à l’agonie, le bourreau s’est approché de son oreille, ou plutôt de ce qui avait été son oreille, et lui a murmuré, protégé par l’éclat des flammes et la solitude sans témoins, que lui aussi écrivait, et qu’à présent, à cet instant précis, il enviait son sort.

OK.

Je mets ça dans le stock… On fera les relectures d'ici quelque temps – histoire de bien laisser reposer.