vendredi 13 septembre 2013

Projet Émilie – phrases 76-77

Y en algún cuartel lejano, ministerio central u hospital rural, se escuchan tranquilas reiteradas órdenes:
—No le peguen en la cabeza, no le pongan corriente en las sienes, tampoco en las yemas o en las unas, necesitamos libros: muchos libros, cada vez más, este invierno llegará más temprano y según el diario El Mercurio, será el más inclemente y frío desde que asesinaron a Allende.

Traduction temporaire :
Et dans une caserne lointaine, un ministère central ou un hôpital rural, on entend des ordres tranquilles réitérés : — Ne le frappez pas à la tête, ne lui envoyez pas de décharges sur les tempes, ni au bout des doigts ou sur les ongles, il nous faut des livres, beaucoup de livres, toujours plus, cette année, l'hiver sera non seulement précoce, mais aussi, d’après le journal El Mercurio, le plus rude et le plus froid depuis l'assassinat d’Allende.

10 commentaires:

Emilie a dit…

Et dans une caserne lointaine, un ministère central ou un hôpital de campagne, on entend des ordres tranquilles réitérés : — Ne le frappez pas à la tête, ne lui envoyez pas de décharges sur les tempes, ni au bout des doigts ou sur les ongles ; il nous faut des livres : beaucoup de livres, toujours plus ; cet hiver arrivera plus tôt et, d’après le journal El mercurio, sera le plus rude et le plus froid depuis qu’Allende a été assassiné.

Tradabordo a dit…

Et dans une caserne lointaine, un ministère central ou un hôpital de campagne [je me demande si en le traduisant comme ça, tu n'évoques pas autre chose… Les hôpitaux improvisés pendant les guerres, etc. ; vérifie, je ne sais pas trop…], on entend des ordres tranquilles réitérés :
— Ne le frappez pas à la tête, ne lui envoyez pas de décharges sur les tempes, ni au bout des doigts ou sur les ongles ; il nous faut des livres : [non… pas de deux points dans les dialogues + pas sûre pour le point-virgule… En fait, est-ce qu'il y a un lien logique entre les deux idées : ne lui faites pas ceci et nous avons besoin de livre ?] beaucoup de livres, toujours plus ; cet hiver arrivera plus tôt et, d’après le journal El mercurio, sera le plus rude et le plus froid depuis qu’Allende a été assassiné.

Emilie a dit…

Oui, tu as raison.
J'ai enlevé les deux points-virgule que j'avais ajoutés.

Et dans une caserne lointaine, un ministère central ou un hôpital rural, on entend des ordres tranquilles réitérés :
— Ne le frappez pas à la tête, ne lui envoyez pas de décharges sur les tempes, ni au bout des doigts ou sur les ongles, il nous faut des livres, beaucoup de livres, toujours plus, cet hiver arrivera plus tôt et, d’après le journal El mercurio, sera le plus rude et le plus froid depuis qu’Allende a été assassiné.

Tradabordo a dit…

Et dans une caserne lointaine, un ministère central ou un hôpital rural, on entend des ordres tranquilles réitérés :
— Ne le frappez pas à la tête, ne lui envoyez pas de décharges sur les tempes, ni au bout des doigts ou sur les ongles, il nous faut des livres, beaucoup de livres, toujours plus, cet hiver arrivera plus tôt [« cette année, l'hiver sera précoce » ? Comme tu veux…] et, d’après le journal El mercurio [pas de maj à Mercurio ?], sera le plus rude et le plus froid depuis qu’Allende a été assassiné [ou avec le substantif, pour éviter le « que » ?].

Emilie a dit…

Du coup, on a 2 "sera", mais je ne suis pas sûre qu'on puisse se passer du second...

Et dans une caserne lointaine, un ministère central ou un hôpital rural, on entend des ordres tranquilles réitérés :
— Ne le frappez pas à la tête, ne lui envoyez pas de décharges sur les tempes, ni au bout des doigts ou sur les ongles, il nous faut des livres, beaucoup de livres, toujours plus, cette année, l'hiver sera précoce et, d’après le journal El Mercurio, sera le plus rude et le plus froid depuis l'assassinat d’Allende.

Tradabordo a dit…

Et dans une caserne lointaine, un ministère central ou un hôpital rural, on entend des ordres tranquilles réitérés :
— Ne le frappez pas à la tête, ne lui envoyez pas de décharges sur les tempes, ni au bout des doigts ou sur les ongles, il nous faut des livres, beaucoup de livres, toujours plus, cette année, l'hiver sera précoce et, d’après le journal El Mercurio, sera [nécessaire ?] le plus rude et le plus froid depuis l'assassinat d’Allende.

Emilie a dit…

Oui, je n'arrive pas à savoir si ça tient debout sans :

Et dans une caserne lointaine, un ministère central ou un hôpital rural, on entend des ordres tranquilles réitérés :
— Ne le frappez pas à la tête, ne lui envoyez pas de décharges sur les tempes, ni au bout des doigts ou sur les ongles, il nous faut des livres, beaucoup de livres, toujours plus, cette année, l'hiver sera précoce et, d’après le journal El Mercurio, le plus rude et le plus froid depuis l'assassinat d’Allende.

Tradabordo a dit…

Et dans une caserne lointaine, un ministère central ou un hôpital rural, on entend des ordres tranquilles réitérés :
— Ne le frappez pas à la tête, ne lui envoyez pas de décharges sur les tempes, ni au bout des doigts ou sur les ongles, il nous faut des livres, beaucoup de livres, toujours plus, cette année, l'hiver sera précoce et, d’après le journal El Mercurio, le plus rude et [c'est bon… En revanche, essaie de trouver une solution pour ces « et »] le plus froid depuis l'assassinat d’Allende.

Emilie a dit…

Et dans une caserne lointaine, un ministère central ou un hôpital rural, on entend des ordres tranquilles réitérés :
— Ne le frappez pas à la tête, ne lui envoyez pas de décharges sur les tempes, ni au bout des doigts ou sur les ongles, il nous faut des livres, beaucoup de livres, toujours plus, cette année, l'hiver sera non seulement précoce, mais aussi, d’après le journal El Mercurio, le plus rude et le plus froid depuis l'assassinat d’Allende.

Tradabordo a dit…

Et dans une caserne lointaine, un ministère central ou un hôpital rural, on entend des ordres tranquilles réitérés :
— Ne le frappez pas à la tête, ne lui envoyez pas de décharges sur les tempes, ni au bout des doigts ou sur les ongles, il nous faut des livres, beaucoup de livres, toujours plus, cette année, l'hiver sera non seulement précoce, mais aussi, d’après le journal El Mercurio, le plus rude et le plus froid depuis l'assassinat d’Allende.

OK.