lundi 23 septembre 2013

Projet Justine / Céline – phrase 108

La infancia a oscuras lo ayudó a levantarse en medio de la siesta, bajar las escaleras, deambular por los corredores y las habitaciones de la casa silenciosa, aburrido, hasta abrir la gaveta donde estaba el revólver que parecía un bonito juguete último modelo, de los que les trae San Nicolás a los niños buenos para que de una vez se enfrenten al rey Mecencio y le pregunten el porqué de sus atrocidades —o no le pregunten nada y, sin más rodeos, le den lo que se merece, a quemarropa.

Traduction temporaire :
Son enfance dans le noir l'a aidé à se lever au milieu de sa sieste, à descendre les escaliers, à déambuler dans les couloirs et dans les pièces de la maison silencieuse, pour tromper son ennui, jusqu'à ouvrir le tiroir où se trouvait le revolver qui ressemblait à un joli jouet dernier cri, comme ceux que saint Nicolas apporte aux enfants sages, pour qu'ils affrontent une fois pour toutes le roi Mézence et lui demandent la raison des atrocités qu'il a commises – ou qu'ils ne posent aucune question et, sans plus de détours, lui infligent le châtiment qu'il mérite, à bout portant.

8 commentaires:

Justine a dit…

son enfance dans le noir l'a aidé à se lever au milieu de sa sieste, à descendre les escaliers, à errer dans les couloirs et dans les pièces de la maison silencieuse, pour tromper son ennui, jusqu'à ouvrir le tiroir où se trouvait le revolver qui ressemblait à un joli jouet dernier cri, comme ceux qu'apporte Saint Nicolas aux enfants sages, pour qu'ils affrontent une fois pour toutes le roi Mecencio et lui demande la raison des atrocités qu'il a commises – ou qu'ils ne posent aucune question et sans détours, lui infligent le châtiment qu'il mérite, à bout portant.

Tradabordo a dit…

son [majuscule ?] enfance dans le noir l'a aidé à se lever au milieu de sa sieste, à descendre les escaliers, à errer [pourquoi pas littéral ?] dans les couloirs et dans les pièces de la maison silencieuse, pour tromper son ennui, jusqu'à ouvrir le tiroir où se trouvait le revolver qui ressemblait à un joli jouet dernier cri, comme ceux qu'apporte Saint Nicolas [syntaxe] aux enfants sages, pour qu'ils affrontent une fois pour toutes le roi Mecencio [tu as cherché ?] et lui demande la raison des atrocités qu'il a commises – ou qu'ils ne posent aucune question et sans détours, lui infligent le châtiment qu'il mérite, à bout portant.

Justine a dit…

Oui, j'ai cherché pour le roi Mecencio.

Son enfance dans le noir l'a aidé à se lever au milieu de sa sieste, à descendre les escaliers, à déambuler dans les couloirs et dans les pièces de la maison silencieuse, pour tromper son ennui, jusqu'à ouvrir le tiroir où se trouvait le revolver qui ressemblait à un joli jouet dernier cri, comme ceux qu'apporte Saint Nicolas aux enfants sages, pour qu'ils affrontent une fois pour toutes le roi Mézence et lui demande la raison des atrocités qu'il a commises – ou qu'ils ne posent aucune question et sans détours, lui infligent le châtiment qu'il mérite, à bout portant.

Tradabordo a dit…

Son enfance dans le noir l'a aidé à se lever au milieu de sa sieste, à descendre les escaliers, à déambuler dans les couloirs et dans les pièces de la maison silencieuse, pour tromper son ennui, jusqu'à ouvrir le tiroir où se trouvait le revolver qui ressemblait à un joli jouet dernier cri, comme ceux qu'apporte Saint [pas de majuscule] Nicolas aux enfants sages, pour qu'ils affrontent une fois pour toutes le roi Mézence et lui demande la raison des atrocités qu'il a commises – ou qu'ils ne posent aucune question et [virgule] sans détours, lui infligent le châtiment qu'il mérite, à bout portant.

Justine a dit…

Son enfance dans le noir l'a aidé à se lever au milieu de sa sieste, à descendre les escaliers, à déambuler dans les couloirs et dans les pièces de la maison silencieuse, pour tromper son ennui, jusqu'à ouvrir le tiroir où se trouvait le revolver qui ressemblait à un joli jouet dernier cri, comme ceux que saint Nicolas apporte aux enfants sages, pour qu'ils affrontent une fois pour toutes le roi Mézence et lui demande la raison des atrocités qu'il a commises – ou qu'ils ne posent aucune question et sans détours, lui infligent le châtiment qu'il mérite, à bout portant.

Tradabordo a dit…

Son enfance dans le noir l'a aidé à se lever au milieu de sa sieste, à descendre les escaliers, à déambuler dans les couloirs et dans les pièces de la maison silencieuse, pour tromper son ennui, jusqu'à ouvrir le tiroir où se trouvait le revolver qui ressemblait à un joli jouet dernier cri, comme ceux que saint Nicolas apporte aux enfants sages, pour qu'ils affrontent une fois pour toutes le roi Mézence et lui demande la raison des atrocités qu'il a commises – ou qu'ils ne posent aucune question et, sans plus de détours, lui infligent le châtiment qu'il mérite, à bout portant.

Avec une petite modif à la fin… OK.

Céline ?

Unknown a dit…

Le verbe « demander » ne s’accorde pas avec « enfants » ?

Son enfance dans le noir l'a aidé à se lever au milieu de sa sieste, à descendre les escaliers, à déambuler dans les couloirs et dans les pièces de la maison silencieuse, pour tromper son ennui, jusqu'à ouvrir le tiroir où se trouvait le revolver qui ressemblait à un joli jouet dernier cri, comme ceux que saint Nicolas apporte aux enfants sages, pour qu'ils affrontent une fois pour toutes le roi Mézence et lui demandent la raison des atrocités qu'il a commises – ou qu'ils ne posent aucune question et, sans plus de détours, lui infligent le châtiment qu'il mérite, à bout portant.

Tradabordo a dit…

Oui, tu as raison.

Son enfance dans le noir l'a aidé à se lever au milieu de sa sieste, à descendre les escaliers, à déambuler dans les couloirs et dans les pièces de la maison silencieuse, pour tromper son ennui, jusqu'à ouvrir le tiroir où se trouvait le revolver qui ressemblait à un joli jouet dernier cri, comme ceux que saint Nicolas apporte aux enfants sages, pour qu'ils affrontent une fois pour toutes le roi Mézence et lui demandent la raison des atrocités qu'il a commises – ou qu'ils ne posent aucune question et, sans plus de détours, lui infligent le châtiment qu'il mérite, à bout portant.