dimanche 27 octobre 2013

Projet Chloé 2 – phrase 16

La única manera de seguir. Las cuentas se las saca de encima de un plumazo porque vive oprimida por la sensación de que el tiempo le falta, a pesar de que la campanada de las seis la encuentra siempre vagando por la yerma inmensidad del dos ambientes sin propósito ni destino.

Traduction temporaire :
La seule manière de continuer. Elle règle les frais liés à la maison d'un trait de plume, parce qu'elle vit avec la sensation oppressante qu'elle manque de temps, même si à la sonnerie de six heures, elle est toujours en train d'errer dans les deux salles immenses et désertes, sans but ni point d'arrivée.

14 commentaires:

Chloé a dit…

C'est la seule manière de continuer. Elle se débarrasse de ses corvées au plus vite, parce qu'elle vit avec la sensation oppressante qu'elle manque de temps, même si à la sonnerie de six heures, elle est toujours en train d'errer dans les deux salles immenses et désertes, sans but ni destination.

Tradabordo a dit…

C'est [nécessaire ?] la seule manière de continuer. Elle se débarrasse de ses corvées [sûre ? Tu as vérifié ?] au plus vite [pourquoi ce changement ? Attention à la tentation de la réécriture à partir d'une compréhension globale de la phrase…], parce qu'elle vit avec la sensation oppressante qu'elle manque de temps, même si à la sonnerie de six heures, elle est toujours en train d'errer dans les deux salles immenses et désertes, sans but ni destination [bof].

Chloé a dit…

La seule manière de continuer. Elle se débarrasse de ses obligations rapidement, parce qu'elle vit avec la sensation oppressante qu'elle manque de temps, même si à la sonnerie de six heures, elle est toujours en train d'errer dans les deux salles immenses et désertes, sans but ni point d'arrivée.

Tradabordo a dit…

La seule manière de continuer. Elle se débarrasse de ses obligations rapidement [tu changes trop ; il y a une expression en V.O., il faut une expression en français…], parce qu'elle vit avec la sensation oppressante qu'elle manque de temps, même si à la sonnerie de six heures, elle est toujours en train d'errer dans les deux salles immenses et désertes, sans but ni point d'arrivée.

Chloé a dit…

La seule manière de continuer. Elle se débarrasse de ses obligations d'un trait de plume, parce qu'elle vit avec la sensation oppressante qu'elle manque de temps, même si à la sonnerie de six heures, elle est toujours en train d'errer dans les deux salles immenses et désertes, sans but ni point d'arrivée.

Tradabordo a dit…

La seule manière de continuer. Elle se débarrasse de ses obligations [juste un doute : sûre que « sacar las cuentas », ça veut dire ça ? Je ne dis pas non, je veux être sûre…] d'un trait de plume, parce qu'elle vit avec la sensation oppressante qu'elle manque de temps, même si à la sonnerie de six heures, elle est toujours en train d'errer dans les deux salles immenses et désertes, sans but ni point d'arrivée.

Chloé a dit…

En décortiquant la phrase, j'ai trouvé plusieurs définitions :

"sacar cuentas" : faire ses comptes

"sacar la cuenta" : Aprender, averiguar, resolver algo por medio del estudio.

"la cuenta" : Cuidado, incumbencia, cargo, obligación, deber.

"quitarse o sacar de encima" : Librarse de una cosa o de una persona que molesta.

Du coup, avec le contexte, j'en ai déduit : "elle se débarrasse de ses obligations"...



Tradabordo a dit…

Demande à Elena.

Chloé a dit…

D'accord, mais comment le lui demander ?
Je pose la question dans la rubrique "Lexique" ?

Tradabordo a dit…

Je te fais passer son mail par mail.

Chloé a dit…

Après la réponse très instructive d'Elena sur le système bancaire argentin, ça change de sens :

La seule manière de continuer. Elle règle les frais de la maison d'un trait de plume, parce qu'elle vit avec la sensation oppressante qu'elle manque de temps, même si à la sonnerie de six heures, elle est toujours en train d'errer dans les deux salles immenses et désertes, sans but ni point d'arrivée.

Tradabordo a dit…

Je m'en doutais un peu ;-)

La seule manière de continuer. Elle règle les frais de [ou « liés à » ?] la maison d'un trait de plume, parce qu'elle vit avec la sensation oppressante qu'elle manque de temps, même si à la sonnerie de six heures, elle est toujours en train d'errer dans les deux salles immenses et désertes, sans but ni point d'arrivée.

Chloé a dit…

La seule manière de continuer. Elle règle les frais liés à la maison d'un trait de plume, parce qu'elle vit avec la sensation oppressante qu'elle manque de temps, même si à la sonnerie de six heures, elle est toujours en train d'errer dans les deux salles immenses et désertes, sans but ni point d'arrivée.

Tradabordo a dit…

La seule manière de continuer. Elle règle les frais liés à la maison d'un trait de plume, parce qu'elle vit avec la sensation oppressante qu'elle manque de temps, même si à la sonnerie de six heures, elle est toujours en train d'errer dans les deux salles immenses et désertes, sans but ni point d'arrivée.

OK.