lundi 21 octobre 2013

Projet Sarah 5

« Homo rizus »


No fue miedo sino más bien curiosidad lo que sentí al descubrir a esos hombrecillos que habitan en mis rizos. Por aquel entonces eran medio salvajes. Iban desnudos, lucían una espesa mata de pelo por todo el cuerpo y andaban a cuatro patas. Fui observando día a día su evolución en el reflejo de los escaparates. Primero comenzaron a andar de pie, luego les vi crear rudimentarios refugios con mis pelos e incluso taparon sus partes pudendas con trozos de cabello. No me molestaban, la verdad. Hacía tiempo que no me sentía tan acompañado. Pero hoy han descubierto el fuego.

Traduction temporaire :

« Homo frisus »

Ce ne fut pas de la peur, mais de la curiosité que j’éprouvai en découvrant les petits bonshommes qui habitent mes boucles. En ce temps-là, ils étaient à moitié sauvages. Ils se promenaient nus. Leur corps était couvert d‘une épaisse touffe de poils et ils marchaient à quatre pattes. Jour après jour, j’ai observé leur évolution dans le reflet des vitrines. D'abord, ils ont commencé à marcher debout, puis je les ai vus se construire des refuges rudimentaires avec mes cheveux et ils ont même caché leurs parties intimes avec des mèches. À vrai dire, ils ne me dérangeaient pas. Il y avait bien longtemps que je ne m’étais pas senti aussi bien accompagné. Sauf qu'aujourd’hui, ils ont découvert le feu.

8 commentaires:

Unknown a dit…

« Homo frisus »

Ce ne fut pas de la peur mais plutôt de la curiosité que j’éprouvai en découvrant ces petits bonshommes qui habitent dans les boucles de mes cheveux. En ce temps-là, ils étaient à moitié sauvages. Ils se promenaient nus, leur corps était couvert d‘une épaisse touffe de cheveux et ils marchaient à quatre pattes. Jour après jour, j’ai observé leur évolution dans le reflet des vitrines. En premier lieu, ils ont commencé à marcher debout, puis je les ai vu créer des refuges rudimentaires avec mes cheveux et ils ont même recouvert leurs parties intimes avec des bouts de cheveux. Ils ne me dérangeaient pas, à vrai dire. Il y avait bien longtemps que je ne m’étais pas senti aussi bien accompagné. Mais aujourd’hui ils ont découvert le feu.

Unknown a dit…

Il n'y a que mon commentaire qui s'affiche, c'est normal?

Unknown a dit…

Il n'y a que mon commentaire qui s'affiche, c'est normal?

Tradabordo a dit…

Oui, je t'avais simplement oubliée dans le lot… Désolée. Quand tu vois que ça bouge chez les autres et pas chez toi, c'est effectivement qu'il y a un pb.

Ce ne fut pas de la peur [virgule] mais plutôt [je me demande si le « plutôt » est nécessaire… Fais comme tu veux] de la curiosité que j’éprouvai en découvrant ces [« les » ?] petits bonshommes qui habitent dans les boucles de mes cheveux [l'ajout est-il nécessaire ?].

Unknown a dit…

Ce ne fut pas de la peur, mais de la curiosité que j’éprouvai en découvrant les petits bonshommes qui habitent mes boucles.

Tradabordo a dit…

Remets bien le titre à chaque fois.

Ce ne fut pas de la peur, mais de la curiosité que j’éprouvai en découvrant les petits bonshommes qui habitent mes boucles.
OK.

En ce temps-là, ils étaient à moitié sauvages.
OK.

Ils se promenaient nus, [point ?] leur corps était couvert d‘une épaisse touffe de cheveux [« poils » ?] et ils marchaient à quatre pattes.

Jour après jour, j’ai observé leur évolution dans le reflet des vitrines.

En premier lieu [« d'abord » ?], ils ont commencé à marcher debout, puis je les ai vu [grammaire ?] créer [le verbe est-il le plus adapté ici ?] des refuges rudimentaires avec mes cheveux et ils ont même recouvert [« caché » ?] leurs parties intimes avec des bouts de cheveux.

Ils ne me dérangeaient pas, à vrai dire [ou au début ?]. Il y avait bien longtemps que je ne m’étais pas senti aussi bien accompagné. Mais [« Sauf que » ?] aujourd’hui [ponctuation nécessaire] ils ont découvert le feu.

Unknown a dit…

« Homo frisus »

Ce ne fut pas de la peur, mais de la curiosité que j’éprouvai en découvrant les petits bonshommes qui habitent mes boucles. En ce temps-là, ils étaient à moitié sauvages. Ils se promenaient nus. Leur corps était couvert d‘une épaisse touffe de poils et ils marchaient à quatre pattes. Jour après jour, j’ai observé leur évolution dans le reflet des vitrines. D'abord, ils ont commencé à marcher debout, puis je les ai vus se construire des refuges rudimentaires avec mes cheveux et ils ont même caché leurs parties intimes avec des bouts de cheveux. A vrai dire, ils ne me dérangeaient pas. Il y avait bien longtemps que je ne m’étais pas senti aussi bien accompagné. Sauf qu'aujourd’hui, ils ont découvert le feu.

Tradabordo a dit…

« Homo frisus »

Ce ne fut pas de la peur, mais de la curiosité que j’éprouvai en découvrant les petits bonshommes qui habitent mes boucles. En ce temps-là, ils étaient à moitié sauvages. Ils se promenaient nus. Leur corps était couvert d‘une épaisse touffe de poils et ils marchaient à quatre pattes. Jour après jour, j’ai observé leur évolution dans le reflet des vitrines. D'abord, ils ont commencé à marcher debout, puis je les ai vus se construire des refuges rudimentaires avec mes cheveux et ils ont même caché leurs parties intimes avec des mèches. À vrai dire, ils ne me dérangeaient pas. Il y avait bien longtemps que je ne m’étais pas senti aussi bien accompagné. Sauf qu'aujourd’hui, ils ont découvert le feu.

Avec une petite modif… OK. Bon travail.