mardi 26 novembre 2013

Projet Morgane – phrases 87-88

Pese a las molestias del desvelo, una de las cosas que más lo unían a ella eran momentos así. Mauro se sentía útil cuando Rebeca sufría alguna nueva alucinación; sabía entonces que, en su desvarío, lo necesitaba como nunca antes.

Traduction temporaire :
En dépit de la gêne occasionnée par l'insomnie, une des choses qui l'unissaient le plus à elle était des moments comme ceux-là. Mauro se sentait utile quand Rebeca était victime d'une nouvelle hallucination ; il savait alors que dans son délire, elle avait plus que jamais besoin de lui.

10 commentaires:

Unknown a dit…

En dépit des gênes occasionnées par l'insomnie, c'était des moments comme ceux-là qui les unissaient le plus. Mauro se sentait utile quand Rebeca était victime d'une nouvelle hallucination ; il savait bien que, dans son délire, elle avait besoin de lui plus que jamais.

Tradabordo a dit…

En dépit des gênes occasionnées par l'insomnie, c'était des moments comme ceux-là qui les unissaient le plus.

Ça n'est pas formulé comme ça en V.O.

Mauro se sentait utile quand Rebeca était victime d'une nouvelle hallucination ; il savait bien que, dans son délire, elle avait besoin de lui plus que jamais.

Unknown a dit…

En dépit des gênes occasionnées par l'insomnie, une des choses qui le liaient le plus à elle était des moments comme ceux-là. Mauro se sentait utile quand Rebeca était victime d'une nouvelle hallucination ; il savait bien que, dans son délire, elle avait besoin de lui plus que jamais.

Tradabordo a dit…

En dépit des gênes occasionnées par l'insomnie, une des choses qui le liaient [ou « unir » ? J'hésite… évalue et tranche] le plus à elle était des moments comme ceux-là. Mauro se sentait utile quand Rebeca était victime d'une nouvelle hallucination ; il savait bien [pour « entonces » ?] que, [sans cette virgule] dans son délire, elle avait besoin de lui plus que jamais [change la syntaxe de la fin ; ce sera sans doute plus naturel].

Unknown a dit…

En dépit des gênes occasionnées par l'insomnie, une des choses qui l'unissaient le plus à elle était des moments comme ceux-là. Mauro se sentait utile quand Rebeca était victime d'une nouvelle hallucination ; il savait donc que dans son délire, elle avait plus que jamais besoin de lui.

Tradabordo a dit…

En dépit des gênes occasionnées par l'insomnie, une des choses qui l'unissaient le plus à elle était des moments comme ceux-là. Mauro se sentait utile quand Rebeca était victime d'une nouvelle hallucination ; il savait donc [FS ici] que dans son délire, elle avait plus que jamais besoin de lui.

Unknown a dit…

En dépit des gênes occasionnées par l'insomnie, une des choses qui l'unissaient le plus à elle était des moments comme ceux-là. Mauro se sentait utile quand Rebeca était victime d'une nouvelle hallucination ; il savait pertinemment que dans son délire, elle avait plus que jamais besoin de lui.

Tradabordo a dit…

En dépit des gênes occasionnées [au fait : au pluriel ou au singulier en français ?] par l'insomnie, une des choses qui l'unissaient le plus à elle était des moments comme ceux-là. Mauro se sentait utile quand Rebeca était victime d'une nouvelle hallucination ; il savait pertinemment [FS] que dans son délire, elle avait plus que jamais besoin de lui.

Unknown a dit…

En dépit de la gêne occasionnée par l'insomnie, une des choses qui l'unissaient le plus à elle était des moments comme ceux-là. Mauro se sentait utile quand Rebeca était victime d'une nouvelle hallucination ; il savait alors que dans son délire, elle avait plus que jamais besoin de lui.

Tradabordo a dit…

En dépit de la gêne occasionnée par l'insomnie, une des choses qui l'unissaient le plus à elle était des moments comme ceux-là. Mauro se sentait utile quand Rebeca était victime d'une nouvelle hallucination ; il savait alors que dans son délire, elle avait plus que jamais besoin de lui.

OK.