jeudi 21 novembre 2013

Projet Sarah – phrases 35-36

De ese crimen hacía como tres años y, desde entonces, lo venía haciendo cada cuatro o cinco meses. Los remordimientos, que se convirtieron con los meses, en agudas depresiones, no solamente lo acechaban después de cada crimen, sino también lo asaltaban cuando algún cliente o alguna persona en la calle, se parecía físicamente a una de sus víctimas.

Traduction temporaire :
Ce crime-là remontait à environ trois ans et, depuis ce jour, il remettait ça tous les quatre à cinq mois. Les remords ont peu à peu laissé place à de profondes dépressions et l’assaillaient non seulement après chaque crime, mais aussi quand un client, ou une personne dans la rue, ressemblait physiquement à l’une de ses proies.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Ce crime remontait à environ trois ans et, depuis ce jour-là, il recommençait tous les quatre à cinq mois. Les remords, qui au fil des mois sont devenus de profondes dépressions, ne le guettaient pas seulement après chaque crime, mais l’assaillaient aussi quand un client, ou une personne dans la rue ressemblait physiquement à l’une de ses proies.

Tradabordo a dit…

Ce crime [« -là » ?] remontait à environ trois ans et, depuis ce jour-là, il recommençait [ou « remettait ça » ?] tous les quatre à cinq mois. Les remords, qui [virgule] au fil des mois sont devenus [pas un autre adjectif ?] de profondes dépressions, ne le guettaient pas seulement après chaque crime, mais l’assaillaient aussi quand un client, ou une personne dans la rue [virgule] ressemblait physiquement à l’une de ses proies.

Unknown a dit…

Ce crime-là remontait à environ trois ans et, depuis ce jour-là, il remettait ça tous les quatre à cinq mois. Les remords, qui, au fil des mois ont laissé place à de profondes dépressions, ne le guettaient pas seulement après chaque crime, mais l’assaillaient aussi quand un client, ou une personne dans la rue, ressemblait physiquement à l’une de ses proies.

Tradabordo a dit…

Ce crime-là remontait à environ trois ans et, depuis ce jour-là, il remettait ça tous les quatre à cinq mois. Les remords, qui, au fil des mois ont laissé place à de profondes dépressions, ne le guettaient pas seulement après chaque crime, mais l’assaillaient aussi quand un client, ou une personne dans la rue, ressemblait physiquement à l’une de ses proies [et en construisant avec « Outre » placé en début de phrase ? Non pas que ça n'aille pas, mais c'est quand même un tantinet laborieux].

Unknown a dit…

Ce crime-là remontait à environ trois ans et, depuis ce jour, il remettait ça tous les quatre à cinq mois. Les remords ont peu à peu laissé place à de profondes dépressions et l’assaillaient non seulement après chaque crime, mais aussi quand un client, ou une personne dans la rue, ressemblait physiquement à l’une de ses proies.

[j'ai essayé avec "outre" mais la phrase devenait encore plus lourde... J'ai changé "au fil des mois" par "peu à peu" parce que "mois" est déjà dans la phrase précédente]

Tradabordo a dit…

Ce crime-là remontait à environ trois ans et, depuis ce jour, il remettait ça tous les quatre à cinq mois. Les remords ont peu à peu laissé place à de profondes dépressions et l’assaillaient non seulement après chaque crime, mais aussi quand un client, ou une personne dans la rue, ressemblait physiquement à l’une de ses proies.

OK. Ça me paraît être une bonne solution.