dimanche 19 janvier 2014

Projet Manon / Justine – phrase 45

El espíritu de Café seguía atado al pensamiento monjil, en las manos de Francisco, el aventurero, quien escogió las laderas apropiadas; vio las tierras rojizas, amarillentas y negruzcas, y se decidió por las faldas para sembrarlo y darle orden de que levantara del suelo todo lo que quisiera, con la única condición de que no se asoleara mucho para que guardara las fragancias y no se amargara con las nostalgias de los parajes orientales.

Traduction temporaire :
L'âme de café restait ancrée dans l'esprit monacal, désormais entre les mains de Fransisco, l'aventurier, qui lui choisit les coteaux appropriés ; il considéra les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres et opta finalement pour les flancs, le sema et lui ordonna de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition que Café ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer à cause de la nostalgie des régions orientales.

30 commentaires:

Justine a dit…

L’esprit de Café, restait ancré dans la pensée des moines, entre les mains de Francisco l’aventurier, qui choisit les coteaux appropriés ; il vit les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres, mais choisit les flancs pour le semer et lui ordonner de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition qu’il ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer en éprouvant de la nostalgie à l’égard des régions orientales.

Tradabordo a dit…

L’esprit de Café, [pourquoi cette virgule après le sujet ?] restait ancré dans la pensée des moines [pas un adjectif ?],

entre les mains de Francisco l’aventurier, qui choisit les coteaux appropriés ; il vit les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres, mais choisit les flancs pour le semer et lui ordonner de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition qu’il ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer en éprouvant de la nostalgie à l’égard des régions orientales.

Justine a dit…

L’esprit de Café restait ancré dans la pensée monacale, entre les mains de Francisco l’aventurier, qui choisit les coteaux appropriés ; il vit les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres, mais choisit les flancs pour le semer et lui ordonner de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition qu’il ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer en éprouvant de la nostalgie à l’égard des régions orientales.

Tradabordo a dit…

L’esprit de Café restait ancré dans la pensée monacale [ou l'inverse : les pensées + l'esprit ? Essaie et dis-moi], entre les mains de Francisco l’aventurier, qui choisit les coteaux appropriés ; il vit les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres, mais choisit les flancs pour le semer et lui ordonner de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition qu’il ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer en éprouvant de la nostalgie à l’égard des régions orientales.

Justine a dit…

Dans les pensées monacales restait ancré l'esprit de Café, entre les mains de Francisco l’aventurier, qui choisit les coteaux appropriés ; il vit les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres, mais choisit les flancs pour le semer et lui ordonner de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition qu’il ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer en éprouvant de la nostalgie à l’égard des régions orientales.

Unknown a dit…

Je crois que je préfère avec "l'esprit de Café" en premier. La deuxième phrase n'est pas très claire je trouve (on ne sait pas trop quand il s'agit de Francisco et quand il s'agit de Café) + répétition de "choisir". Je vous propose quelques modifications (je pense qu'il faudra aussi changer la fin, c'est un peu long, non ?) :

L'esprit de Café restait ancré dans les pensées monacales, entre les mains de Francisco l’aventurier, qui choisit les coteaux appropriés ; il considéra les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres et se décida pour les flancs, le sema et lui ordonna de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition qu’il ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer en éprouvant de la nostalgie à l'égard des régions orientales.

Tradabordo a dit…

L'esprit de Café restait ancré dans les pensées [mais est-ce vraiment de cela qu'il s'agit ? Vérifiez bien le sens de « pensamiento » au singulier dans le dico unilingue] monacales, entre les mains de Francisco l’aventurier, qui choisit les coteaux appropriés ; il considéra les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres et se décida pour les flancs, le sema et lui ordonna de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition qu’il ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer en éprouvant de la nostalgie à l'égard des régions orientales.

Unknown a dit…

Je préfère tout copier ici :

pensamiento.
1. m. Potencia o facultad de pensar.
2. m. Acción y efecto de pensar.
3. m. Idea inicial o capital de una obra cualquiera.
4. m. Cada una de las ideas o sentencias notables de un escrito.
5. m. Conjunto de ideas propias de una persona o colectividad.
6. m. Sospecha, malicia, recelo.
7. m. Planta herbácea anual, de la familia de las Violáceas, con muchos ramos delgados, hojas sentadas, oblongas, festoneadas y con estípulas grandes, flores en largos pedúnculos y con cinco pétalos redondeados, de tres colores, que varían del blanco al rojo negruzco, pero generalmente amarillos con una mancha central purpúrea los dos superiores, pajizos los de en medio y morado oscuro aterciopelado el inferior, y fruto seco capsular con muchas semillas. Es planta de jardín, común en España.
8. m. taberna.
9. m. Esc. y Pint. Bosquejo de la primera idea o invención, que forman los profesores de las bellas artes para componer una obra.
beberle a alguien los ~s.
1. loc. verb. coloq. Adivinárselos para ponerlos prontamente en ejecución.
como el ~.
1. loc. adv. Con suma ligereza o prontitud.
derramar el ~.
1. loc. verb. Divertirlo, ocuparlo con ideas diversas y cosas diferentes.
encontrarse con, o en, los ~s dos o más personas.
1. locs. verbs. Pensar a la vez algo sin habérselo comunicado recíprocamente.
en un ~.
1. loc. adv. Brevísima e instantáneamente.
ni por ~.
1. expr. U. para explicar que algo ha estado tan lejos de ejecutarse, que ni aun se ha ofrecido a la imaginación.
no pasarle a alguien por el ~ algo.
1. loc. verb. No ocurrírsele, no pensar en ello.
□ V.
libertad de pensamiento

Pour moi, ca correspond à cette définition :
5. m. Conjunto de ideas propias de una persona o colectividad.

Mais je doute de plus en plus. Demande-t-on son avis à Elena ?

Tradabordo a dit…

Justine ?
Oui, le cas échéant, demandez son avis à Elena. Mettez-moi une solution quand vous êtes d'accord, etc.

Justine a dit…

Après bien des réflexions, des tergiversations, puis la consultation d'Elena, que nous remercions chaleureusement, voici ce que nous proposons :

L'esprit de Café restait attaché à la logique monacale, entre les mains de Francisco l’aventurier, qui choisit les coteaux appropriés ; il considéra les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres et se décida pour les flancs, le sema et lui ordonna de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition qu’il ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer à cause de la nostalgie des régions orientales.

Tradabordo a dit…

L'esprit de Café restait attaché à la logique monacale, entre les mains de Francisco l’aventurier [je ne comprends pas ; c'est quoi reste dans entre les mains du type ?], qui choisit les coteaux appropriés ; il considéra les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres et se décida pour les flancs, le sema et lui ordonna de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition qu’il ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer à cause de la nostalgie des régions orientales.

Justine a dit…

Ce sont visiblement les plants de café, qu'il choisit où planter.

Tradabordo a dit…

Bon… alors ça n'est pas du tout clair ainsi formulé.

Justine a dit…

L'esprit de Café restait attaché à la logique monacale ; sa plantation était entre les mains de Francisco l’aventurier, qui choisit les coteaux appropriés ; il considéra les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres et se décida pour les flancs, le sema et lui ordonna de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition qu’il ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer à cause de la nostalgie des régions orientales.

Tradabordo a dit…

Je voudrais l'avis de Manon sur ta proposition.

Unknown a dit…

J'avais laissé un long commentaire, tout s'est effacé plusieurs fois, je retente...
Pour moi, Café retrouve l'esprit monacal (des moines du début) avec Francisco, de qui il dépend (il est entre ses mains). Donc avec ton idée, Justine, j'ai l'impression qu'on s'éloigne de l'idée (il est tout entier entre les mains de Francisco, pas seulement sa plantation), mais ce n'est pas évident de tout concilier sur cette phrase !! Je propose d'ajouter un "là" (ce qui nécessite de remplacer le "là" de la phrase 41 par un "ici"...). J'ai aussi répété une fois "Café" car on finit par confondre et ne plus savoir si "il" renvoie à Café ou à Francisco :

L'esprit de Café restait attaché à la logique monacale, là, entre les mains de Francisco l’aventurier, qui choisit les coteaux appropriés ; il considéra les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres et se décida ["finalement" ?] pour les flancs, le sema et lui ordonna de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition que Café ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer à cause de la nostalgie des régions orientales.

Tradabordo a dit…

L'esprit de Café restait attaché à la logique [est-ce adapté de parler de « logique » dans ce contexte ?] monacale, là [pourquoi cet ajout ? Je ne dis pas non, c'est juste que je ne comprends pas], entre les mains de Francisco [virgule] l’aventurier, qui choisit les coteaux appropriés ;

il considéra les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres et se décida ["finalement" ?] pour les flancs, le sema et lui ordonna de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition que Café ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer à cause de la nostalgie des régions orientales.

Justine a dit…

Je ne suis pas certaine qu'on ait besoin d'ajouter « là »

L'esprit de Café restait attaché à la doctrine monacale, entre les mains de Francisco, l’aventurier, qui choisit les coteaux appropriés ; il considéra les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres et opta finalement pour les flancs, le sema et lui ordonna de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition que Café ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer à cause de la nostalgie des régions orientales.

Tradabordo a dit…

L'esprit de Café restait attaché à la doctrine monacale, entre les mains de Francisco [qu'est-ce qui est entre ses mains ? C'est ambigu, ainsi formulé], l’aventurier, qui choisit les coteaux appropriés ; il considéra les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres et opta finalement pour les flancs, le sema et lui ordonna de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition que Café ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer à cause de la nostalgie des régions orientales.

Unknown a dit…

C'est l'esprit de Café qui reste entre les mains de Francisco. C'était pour lever cette ambigüité que j'avais ajouté le "là".
Quant à "doctrine", je trouve le mot un peu fort. On en revient au débat du début... On peut revenir alors à "les pensées monacales" (cf les définitions de l'unilingue) ?

L'esprit de Café restait attaché aux pensées monacales


Pour la suite, j'attends votre avis sur le "là", ou si jamais tu as une autre solution, Justine, je suis preneuse aussi, cette phrase est un vrai casse-tête.

Unknown a dit…

Je viens de laisser un commentaire mais j'ai eu un message d'erreur, j'espére qu'il est passé !!

Tradabordo a dit…

L'esprit de Café restait attaché aux pensées [dans ce cas, je préfère « esprit » // Justine, ton avis ?] monacales

Pour la suite, j'attends votre avis sur le "là", ou si jamais tu as une autre solution, Justine, je suis preneuse aussi, cette phrase est un vrai casse-tête.

Alors, Justine ?

Justine a dit…

Le problème c'est que le commencement de la phrase, c'est "l'esprit de café"

Dans ce cas, je propose :

L'âme de café restait ancrée dans l'esprit monacal, aux bons soins de Fransisco, l'aventurier, qui lui choisit les coteaux appropriés ; il considéra les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres et opta finalement pour les flancs, le sema et lui ordonna de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition que Café ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer à cause de la nostalgie des régions orientales.

Tradabordo a dit…

Manon, que penses-tu de la proposition de Justine ?

Unknown a dit…

Pour "âme"/"esprit" : OK !!! Super.

En revanche, pour moi, le problème reste le même que l'on mette "entre les mains" ou "aux bons soins" : il y a ambigüité, on a l'impression que c'est l'esprit monacal qui est aux bons soins de Francisco, non ? Je pense qu'il faut une cheville. J'en propose plusieurs car il me semble que "là" ne vous plaisait pas.
Pour le reste de la phrase, ok pour moi.

L'âme de café restait ancrée dans l'esprit monacal, ["là";"ici";"désormais";"à présent"]entre les mains de Fransisco, l'aventurier, qui lui choisit les coteaux appropriés ; il considéra les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres et opta finalement pour les flancs, le sema et lui ordonna de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition que Café ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer à cause de la nostalgie des régions orientales.

Tradabordo a dit…

Justine ?

Justine a dit…

OK pour une cheville, si tu la trouves nécessaire, Manon :
L'âme de café restait ancrée dans l'esprit monacal, désormais entre les mains de Fransisco, l'aventurier, qui lui choisit les coteaux appropriés ; il considéra les terres rougeâtres, jaunâtres et noirâtres et opta finalement pour les flancs, le sema et lui ordonna de sortir du sol tant qu’il voudrait, à la seule condition que Café ne s’expose pas trop au soleil pour conserver ses parfums et ne pas devenir amer à cause de la nostalgie des régions orientales.

Tradabordo a dit…

Donc, tu valides ça, Manon ?

cams a dit…

OK !!!!!!!!!

Unknown a dit…

Ok !!!!!