mardi 28 janvier 2014

Projet Marie-G. 2 – phrase 17

Tomaría la siesta sobre la proa y soñaría con un montón de baluartes que en realidad se parecerían bastante a los pulpos excepto que serían de color dorado y habría miles de ellos rodeándome y subiendo hacia la superficie del mar buscando yo no sé qué.

Traduction temporaire :
Je ferais la sieste à la proue et rêverais d’un tas de bastions qui, en fait, ressembleraient assez aux pieuvres, sauf qu’ils seraient dorés et qu’il y en aurait des milliers, m’entourant et remontant à la surface, à la recherche de je ne sais quoi.

4 commentaires:

Maria a dit…

Je ferais la sieste sur la proue et rêverais d’un tas de bastions qui, en fait, ressembleraient assez aux pieuvres, sauf qu’ils seraient couleur doré et qu’il y en aurait des milliers, m’entourant et remontant à la surface de la mer, à la recherche de je ne sais quoi.

Tradabordo a dit…

Je ferais la sieste sur [ou « à » ?] la proue et rêverais d’un tas de bastions qui, en fait [ou « à bien y regarder » ?], ressembleraient assez aux pieuvres, sauf qu’ils seraient couleur [nécessaire ?] doré et qu’il y en aurait des milliers, m’entourant et remontant à la surface de la mer [nécessaire ?], à la recherche de je ne sais quoi.

Maria a dit…

Je ferais la sieste à la proue et rêverais d’un tas de bastions qui, en fait, ressembleraient assez aux pieuvres, sauf qu’ils seraient dorés et qu’il y en aurait des milliers, m’entourant et remontant à la surface, à la recherche de je ne sais quoi.

Tradabordo a dit…

Je ferais la sieste à la proue et rêverais d’un tas de bastions qui, en fait, ressembleraient assez aux pieuvres, sauf qu’ils seraient dorés et qu’il y en aurait des milliers, m’entourant et remontant à la surface, à la recherche de je ne sais quoi.

OK.