jeudi 27 février 2014

Projet Aurélie – titre + phrase 1

Fernando Iwasaki (Pérou)
Las memorias de madame Quiñónez

Abre los ojos, Lulú, sé que no estás dormida...  Almudena Grandes

Cada domingo a las doce después de la misa, los dormitorios de «La Nené» eran habitados por borrosos fantasmas que parecían brotar de las desvencijadas camas, como si volvieran a la vida en busca de antiguos rastros prisioneros por las sábanas almidonadas de amor.

Traduction temporaire :


Fernando Iwasaki (Pérou)

« Les mémoires de madame Quiñónez »

Ouvre les yeux, Lulú, je sais que tu ne dors pas… Almudena Grandes

Chaque dimanche à midi, après la messe, les dortoirs de « La Nené » étaient hantés par des fantômes flous qui semblaient surgir des lits déglingués, comme si, prisonniers des draps amidonnés d'amour, ils revenaient en quête d'anciennes traces.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Les mémoires de madame Quiñonez

Ouvre les yeux, Lulu, je sais que tu n'es pas endormie... Almudena Grandes

Chaque dimanche à midi après la messe, les dortoirs de "La Nené" étaient hantés par d'obscurs fantômes qui semblaient surgir des lits déglingués, comme s'ils revenaient à la vie à la recherche d'anciennes traces prisonnières des draps amidonnés d'amour.

(Je n'ai pas réussi à restituer les accents sur "Quiñonez" et "Lulu".)

Tradabordo a dit…

Nom de l'auteur + pays (nécessaire… car après, je ferai directement un copier/coller dans « Travaux en cours » – cf colonne de droite du blog)

Il faut que tu trouves le raccourci clavier des accents espagnol.

Les mémoires de madame Quiñónez [guillemets français pour les titres des nouvelles : « »]

Ouvre les yeux, Lulú, je sais que tu n'es pas endormie... [raccourci clavier pour les points de suspension] Almudena Grandes

Chaque dimanche à midi [virgule] après la messe, les dortoirs de "La Nené" étaient hantés par d'obscurs [FS ?] fantômes qui semblaient surgir des lits déglingués, comme s'ils revenaient à la vie [virgule] à la [une autre solution que cet enchaînement de « à la » ? Sinon, tant pis… mais au moins, réfléchis-y] recherche d'anciennes traces prisonnières des draps amidonnés d'amour [ou en inversant la syntaxe ?].

Unknown a dit…

Fernando Iwasaki (Pérou)

« Les mémoires de madame Quiñónez »

Ouvre les yeux, Lulú, je sais que tu n'es pas endormie… Almudena Grandes

Chaque dimanche à midi, après la messe, les dortoirs de « La Nené » étaient hantés par des fantômes flous qui semblaient surgir des lits déglingués, comme si, prisonniers des draps amidonnés d'amour, ils revenaient en quête d'anciennes traces.

Tradabordo a dit…

Fernando Iwasaki (Pérou)

« Les mémoires de madame Quiñónez »

Ouvre les yeux, Lulú, je sais que tu n'es pas endormie [ou « ne dors pas » ; je trouve que c'est plus naturel, mais dis-moi…]… Almudena Grandes

Chaque dimanche à midi, après la messe, les dortoirs de « La Nené » étaient hantés par des fantômes flous qui semblaient surgir des lits déglingués, comme si, prisonniers des draps amidonnés d'amour, ils revenaient en quête d'anciennes traces.

Unknown a dit…

Instinctivement, j'avais moi aussi traduit par "ne dors pas". Et puis j'ai pensé qu'il fallait peut-être rester plus près du texte (mais je pense trop au capes là !). Je pense comme vous, "ne dors pas" est plus naturel

Tradabordo a dit…

OK… alors remets-moi la bonne version – que je n'ai plus qu'à faire le copier-coller dans ton doc définitif.

Unknown a dit…

Fernando Iwasaki (Pérou)

« Les mémoires de madame Quiñónez »

Ouvre les yeux, Lulú, je sais que tu ne dors pas… Almudena Grandes

Chaque dimanche à midi, après la messe, les dortoirs de « La Nené » étaient hantés par des fantômes flous qui semblaient surgir des lits déglingués, comme si, prisonniers des draps amidonnés d'amour, ils revenaient en quête d'anciennes traces.

Tradabordo a dit…

Fernando Iwasaki (Pérou)

« Les mémoires de madame Quiñónez »

Ouvre les yeux, Lulú, je sais que tu ne dors pas… Almudena Grandes

Chaque dimanche à midi, après la messe, les dortoirs de « La Nené » étaient hantés par des fantômes flous qui semblaient surgir des lits déglingués, comme si, prisonniers des draps amidonnés d'amour, ils revenaient en quête d'anciennes traces.

OK.